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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Ambassade à Reghium
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Ambassade à Reghium
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ORLENUS Arturus
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Posté le : Mer 08 Sep 2010    

automne 369



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Je tenais en premiers lieux exprimer ma sympathie au peuple de Rome et aux familles qui ont été malmenées par la peste.
Je ne sais pas a quel point elle a pu être meurtrière, mais les échos que j'en ai eu ne me rassurent guère.
Je n'ai pour ma part pas été affecté par ce fléau, pas plus que les autres membres de l'ambassade. Je loue les Dieux pour Cela.

La Peste a touché Rhégium en 367. Elle a été meurtrière. Un dixième de la population a été emporté. Les pertes sont principalement causées à Rhégium même ou la promiscuité a favorisé la prorogation du mal.
Les récoltes n'ont été quasiment pas affectée par le manque de main d'œuvre. La citée se remets plutôt bien du fléau. et le commerce n'a été affecté que très peu de temps. Un an après tout semble revenu à la normale.

Le pouvoir d'Antares ne s'est pas affaiblit suite à cette crise. La population Rhegiote est toujours sous contrôle. ses "prêtres" exercent toujours leur pouvoir avec autant de zèle. D'autant que l'arrivée de Hercule, le héros providentiel a été largement utilisé pour conforter le pouvoir d'Antares. Hercule devrait devenir ambassadeur à Rome pour l'Archonte dès l'année prochaine.
Je compte rentrer à Rome pour l'inauguration de l'ambassade Rhégiote. Je ferai un rapport plus détaillé devant le sénat.

Je vous confirme le décès de l'ancien Archonte Eaque. Il est mort dans sa résidence surveillée. Il semble s'être suicidé.

Enfin sur le plan diplomatique, je vous confirme ce que j'ai évoqué dans mon précédent rapport. Les liens commerciaux avec les citées Grecques vont en croissant. Il semblerait que nouveaux ports soient aménagé a ses fins commerciales.

Que les Dieux veillent sur la République

SPQR

Caïus OVATORIUS



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Officier de l’Ordre de Cincinnatus

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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Mer 27 Oct 2010    

Rapport de l'Ambassadeur Arius Saxa depuis Rhégium


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Ave Consuls. Je vous écris ce rapport en hâte, dans la frénésie du départ de la flotte, et dominé par l'inquiétude dans laquelle me plongent les dernières nouvelles que j'ai pu recevoir. Je n'ose croire ce que je viens d'apprendre : aurait-on tenté d'arrêter un ambassadeur étranger ? Je vous prie de me faire parvenir au plus vite des informations complètes sur la réalité des faits, afin que je puisse au mieux discuter de la question avec les autorités rhégiotes.

Je compile ici quelques informations élémentaires que j'ai pu recueillir durant les premières semaines de mon ambassade.

La cité est prospère, son commerce est vif avec les autres nations grecques. La cité développe trois ports francs qui doivent attirer encore plus de commerçants grecs, et notamment ceux que nous voyions jusqu'à présent dans nos ports. Ces mesures commerciales représentent sans doute une concurrence qu'il devrait être relativement aisé d'amortir.
L'archonte Antarès domine la cité, sa voix fait loi. Les conseillers qui l'appuient dans son travail ne sont que des excroissances de sa volonté, même le premier conseiller Grypus ne me semble pas être un homme de caractère. Il en découle que la prospérité de la cité parait totalement émaner de l'archonte, ce qui accroit encore son prestige et donc son pouvoir et lui gagne le soutien des forces vives de la cité.

Ainsi, je crois qu'il faut renoncer à créer, comme nous l'avons fait ailleurs, un parti pro-romain qui entretiendrait une certaine opposition politique, et pourrait le moment venu se rallier à notre République. Le pouvoir de l'archonte restera absolu aussi longtemps que la cité sera prospère. Nous ne pourrons pas contourner la personne d'Antarès.

Il m'avait été suggéré, lors de mon départ, de travailler à créer un courant de sympathie parmi l'élite de la cité par des interventions culturelles ; j'ai tenté d'initier un rapprochement entre les grands esprits de Rhegium et ceux de nos municipes du Sud. Je crains malheureusement que ces efforts ne soient réduits à néant, à présent.
Il semble qu'un homme se distingue autant par son ambition que par son esprit : il s'agit d' Adeimanthos Philopator, le chef du "culte à Antarès". Il demeure pour l'heure un de ses fidèles lieutenants, chargé de la paix civile quand l'archonte fait la guerre à l'extérieur ; mais il semble suffisamment cynique et orgueilleux pour ne pas se suivre aveuglément Antarès. Il a peu d'estime pour Rome, mais je pense, à peine moins que pour ses compatriotes. Il se pourrait qu'il vise l'archontat pour lui-même.

Lors de mes premiers contacts avec le conseiller Grypus, j'ai pu avancer l'idée d'un droit de préemption de Rome sur les esclaves pris en Crête. Bien que la discussion ait été caractérisée par la frigidité du premier conseiller, cette idée a été positivement accueillie.
J'ai appris lors de cette entrevue que Rhegium n'aurait pas reçu de visite de la part d'un ambassadeur de Delphes ! Je laisse au Sénat le loisir de savourer toute l'importance de cette information anodine... pour autant qu'on puisse se fier à quelques mots échangés en fin de conversation, entre deux étrangers. Mais il semblerait que si on excepte l'Epire et peut-être la Macédoine, Rhegium se trouve isolée diplomatiquement. L'ambassade romaine est la seule permanente.

Je n'ai pu encore me pencher sur l'armée rhégiote, mais je sais par le précédent ambassadeur qu'elle compte plusieurs dizaines de milliers de mercenaires, et une minorité seulement seraient partis pour la Crête, mais il seraient accompagnés par les principaux chefs militaires, et bien sûr par l'archonte. Je tenterai dans les jours qui viennent de me renseigner de manière plus pointue sur ces combattants, ainsi que sur les protections de la cité - mais je doute qu'on me laisse les approcher.
Le port de Rhegium était, aux dernières nouvelles, vide de navires militaires. Ceux-ci mouillent à Leucopetra.

Par ailleurs, je tiens à vous signaler que l'archonte de Siris, qui m'a chaleureusement accueilli lors de mon voyage, m'a fait part de son intérêt, de son soucis à ce qu'un ambassadeur de Lucanie soit reçu à Rome. Il m'apparait indispensable d'accéder à cette demande parfaitement légitime, et qui renforcera à coup sûr la relation de Rome avec cet allié du Sud.

Dans l'attente d'informations, je demeure à mon poste d'ambassadeur auprès de la cité de Rhegium, pour la République. Les dieux protègent Rome et les Romains.

Ambassadeur Arius Saxa à Rhegium,
automne 370.



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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Mer 02 Fév 2011    


Citer : SEVERUS Licius
Sénateurs, Patres, je vous livre le rapport de l'Ambassadeur Arius Saxa, il livre plusieurs pistes de réflexion très intéressante. Je vous laisse prendre connaissance du document avant de vous donner le fond de ma pensée.



Aux consuls Junius et Severus à Rome,
Ave.

Je suis arrivé quelques jours avant le retour en grandes pompes de l'archonte Antarès dans sa cité. Il a été magistralement fêté et honoré comme vainqueur par une population plus acquise que jamais à son nom. Il est à noter qu'Hercule fut à ses côtés alors qu'il traversait la cité durant son triomphe.
Quelques jours après son arrivée, j'ai été reçu en privé par l'archonte.

Message des consuls
J'ai délivré le message que lui avaient adressé les consuls. Il a été reçu avec circonspection. L'archonte refuse de libérer entièrement le commerce entre Rome et Rhegium, en revanche il accepte de négocier une diminution des taxes, voire une exonération sur certains produits, à la condition qu'elle soit réciproque. Il s'appuie en cela sur l'article 4 du traité.
Je demande donc qu'on m'envoie pour négocier des directives quant à ce que Rome peut désirer ou refuser lors de ces négociations commerciales. Il pourrait être avisé d'envoyer un membre de la sodalité de Mercure qui pourra à cette occasion poser un regard de connaisseur sur le commerce à Rhegium.

Campagne en Crête
J'ai pu en apprendre plus sur la campagne menée en Crête. Antarès aurait trouvé l'appui de la flotte d'Epire, de guerriers de Sparte (en petit nombre ?), puis de guerriers et de navires égyptiens la seconde année, pour mater les pirates crétois, eux-mêmes soutenus par des soldats rhodiens. La participation de Rhodes s'explique par le fait que de nombreux pirates viendraient de cette cité, c'est également là-bas qu'ont fuit les chefs crétois. La capitale Hania semble avoir été la clé du contrôle de l'île.
Antarès n'a pas l'intention de poursuivre les opérations contre Rhodes, attaché qu'il se dit à la "liberté des peuples". Nous verrons s'il applique ce crédo aux crétois, avec lesquels des négociations sont en cours pour déterminer leur futur statut.
Une source avinée a également évoqué la présence de Macédoniens. Peut-être ne faut-il pas y accorder plus d'attention qu'elle n'en mérite, je l'évoque malgré tout à toute fin utile.

Position de Rhegium
Puisque Rhegium a réglé l'affaire crétoise sans Rome, Antarès considère n'avoir pas besoin de nous. Romains et Rhégiotes ne sont pas ennemis, mais ils ne peuvent être amis, selon ses mots. Le leitmotiv d'Antarès est la liberté de sa cité et il n'acceptera aucune alliance si celle-ci doit le mettre en situation de soumission. De fait, il refuse de reconnaitre la souveraineté de Rome sur toute l'Italie, Rhégium serait en quelque sorte un "petit village d'irréductibles grecs". Il réaffirme cependant n'avoir aucune visée expansionniste sur nos territoires du Sud et il n'a pas l'intention de nous retirer le droit de passer le détroit de Messine. Son attitude ambivalente marque à la fois un désir farouche d'indépendance et un désir d'être reconnu comme un égal par Rome. Ainsi, à aucun moment l'archonte vainqueur ne s'est-il montré arrogant à mon égard, bien qu'il ait émis des critiques sur notre système politique et sur nos motivations.

Armée rhégiote
J'ai pu estimer à environ 15 000 le nombre de mercenaires actuellement casernés près de Rhegium, cependant cette estimation reste aléatoire. Les mercenaires semblent disciplinés et intégrés à la population, ils accueillent même certains rhégiotes dans leurs rangs. La cité conserve un grand secret sur leurs entrainements. Au besoin, l'archonte peut également mobiliser une armée de citoyens.

Présence romaine à Rhégium
Le départ de la flotte romaine a été commenté d'une façon bien étrange par l'archonte : "En revanche, je remercie la République pour avoir retiré sa flotte de Rhegium... Le geste fut apprécié." Je ne sais s'il faut y lire de l'ironie, une remarque sur l'hostilité qu'afficherait Rome. Nous apparaissons, de l'avis des Rhégiotes, toujours comme une menace. En règle générale, les Rhégiotes semblent incapables de comprendre les Romains.
A Leucopetra, le départ de la flotte, et de tant de soldes de marins, a peiné les commerçants de la cité. Il est possible qu'on y trouve plus de partisans de Rome qu'ailleurs, je compte d'ailleurs rencontrer l'héritier d'Eaque de Leucopetra.
La statue de Neptune érigée par l'ancien navarque Carneus à Leucopetra est le seul bâtiment romain du territoire.

Les négociations sur les taxes commerciales seront l'occasion d'avancer la question d'un nouveau traité entre Rome et Rhegium. Je suis donc preneur de nouvelles instructions à ce sujet si elles diffèrent de la ligne établie à mon départ. Par ailleurs, je ne peux qu'encourager toute action qui vise à isoler diplomatiquement Rhegium de l'Epire, ainsi que le projet de ports francs romains qui avait été discuté au Sénat. Pour le reste, les dieux protègent Rome et les Romains.

Ambassadeur Arius Saxa à Rhegium
Automne 371



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Patricien Gens Claudii
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Consul en exercice
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FLAVIUS VERUS Philippus
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Posté le : Lun 21 Mar 2011    

Rapport du Sénateur Arius SAXA



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Ce rapport va être fort simple puisqu'il ne s'est pas passé grand chose depuis le précédent, que j'ai adressé au consul Severus au printemps 372.

J'ai appris que ma visite à Nereus de Leucopetra avait provoqué la colère de l'archonte Antarès, ce qui l'a apparemment décidé à m'ignorer en tant qu'ambassadeur. Je ne sais pas s'il s'agit d'une manoeuvre destinée une fois de plus à faire passer Rome pour le méchant, ou si les Rhégiotes sont véritablement crispés par cette histoire. Toujours est-il que de mon point de vue, il n'y avait pas matière à créer un incident diplomatique.
La crispation, c'est le mot qui résume le mieux mes trois années d'ambassade. Il est vrai que je n'ai pas fait dans le langage consensuel. Toujours est-il que jamais les Rhégiotes n'ont paru enclins à faire confiance à un Romain. Le refus de Rome de participer aux actions à Rhégium m'a été systématiquement reproché, chaque fois que je rencontrais un officiel. Ils sont bien plus forts à pointer les erreurs des autres plutôt qu'à reconnaitre les leurs. Cela m'amène à douter de l'opportunité d'un ambassadeur romain sur place. Il m'a été dit que l'archontat préférait "traiter avec les dieux plutôt qu'avec leurs messagers".
Mes relations avec la population étaient plus décontractées. Les Rhégiotes sont intéressés par Rome, après tout, nous sommes voisins... mais ils sont aussi souvent désemparés par notre façon de penser et d'agir. Ils sont curieux mais loin d'être séduits. J'ai tenté de désamorcer cela en invitant des Romains de langue grecque, venus de nos territoires du sud. Je crois que ces "réunions" ont été appréciées par les uns et par les autres. Un professeur de Croto m'a dit que les ouvrages rhégiotes étaient lus à l'Académie. La réciproque est moins vraie... et il faut ajouter l'apparition récente de la déesse Athéna qui ajoute encore au prestige de la ville.

J'ai également appris qu'Antarès avait passé des accords - ou était sur le point de passer des accords, ce n'est pas très précis - commerciaux, avec Carthage.

Voici un rapport schématique de mes dernières actions. Le consul Severus m'avait donné certaines consignes que je n'ai pas pu suivre, du fait des mauvaises relations que j'ai entretenu sur la fin avec l'archontat.



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Pro-Consul à Bovianum 366-367
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En Campagne chez les Anares en 354-355
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BARREZUS Patronus Collegius
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Posté le : Jeu 12 Mai 2011    


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"Consuls,



Je tenais à faire part au Sénat des dernières nouvelles en ma possessions.

J'ai rencontré deux fois l'Archonte Antares depuis mon précédent rapport.

J'ai été convoqué à la fin de l'hiver, Antares m'a demandé des nouvelles, que son ambassadeur à Rome lui avait déjà fourni, du traité entre Rome est Réghium, mais surtout manifester des signes d'impatience quant aux délais de ratification. Antares a expliqué que si Rome refusait un texte comme celui ci, il s'interegerait sur nos intentions à l'égard de Rhégium.



J'ai rencontré Antares aux premiers jours du printemps. Il m'a annoncé le désir de la Lucanie de gagner son indépendance. Il m'a aussi annoncé la venue toute proche d'un ambassadeur Lucanien.

Et enfin m'a transmis un message pour le sénat.



"Nous souhaitons que ce traité aille à son terme, avec toute la célérité possible. Que Rome prenne et tienne les engagements contenus dans ce texte le plus rapidement possible. De la sorte, nous garantirons à nouveau notre totale neutralité dans cette affaire, ne souhaitant ni encourager ni décourager quelque mouvement lucanien que ce soit..."



N'hésitez pas à me tenir informé du devenir du traité. Ma position actuelle n'est pas des plus confortable. N'était plus liés par l'ancien traité, je ne suis donc plus un ambassadeur aux yeux d'Antares, mais un invité. Et les invités ne doivent pas rester trop longtemps. Mes actions seraient plus efficace lorsque le texte aura été ratifié.



Par ailleurs, toute nouvelle de l'Illyrie et de l'Etrurie me serait fort utile.



Que les Dieux veillent sur la République"



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Inexpérimenté jusqu'en 350.
Administrateur des travaux dans le sud 350- 352, 355.
Secrétaire de la coopérative de Cérès 353-359.
Quaestor 356, 357, 358 ; surnommé le financier, puis le Questeur.
Aedilis 360, 361, 362.
Légat en Samnium 364, surnommé Patronus.
Préteur 366, 367, surnommé la Mule.
Gouverneur du Samnium 368, 369, 371.
Consul 374, 375, 376.
Retraité 377-380.
Pontife 381-
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PETRONIUS SABINUS Publius
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Inscrit le : Dim 01 Avr 2007
Posté le : Jeu 07 Juil 2011    


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"Consuls,

Cette année a été assez compliquée à gérer sur le plan diplomatique.

Les positions de Lucanie ont interféré dans nos relations diplomatiques avec Réghium.
Les lucaniens ont envoyé des émissaires afin d'établir des relations diplomatiques avec Réghium.
Je ne sais pas s'ils ont eu des demandes particulières et si ils ont obtenus satisfaction.

La ratification du traité de neutralité entre Reghium et Rome ont permis que Reghium ne prenne pas parti dans le différent qui oppose la République à la Lucanie.

Il m'est apparu toutefois que la sympathie des réghiotte allait plus facilement aux Lucaniens.
Les différents issus de la guerre en Crète et la lenteur législative de la République quant au traité, pousse Antares à une certaine méfiance.

Antares à mobilisé une partie de son armée sur notre frontière commune.
Je suis autorisé à me rendre à la frontière.
La raison de se déploiement est, outre la méfiance envers Rome, la crainte d'un afflux de réfugié en cas de conflit en Lucanie.
L'archonte insiste pour que ce déploiement ne soit pas interprété comme une menace pour la République. Je ne pense pas qu'Antares souhaite entrer en conflit.
Je vous ferai parvenir des éléments si mon analyse de la situation devait évoluer.

J'ai du par ailleurs faire face à la colère d'Antares quant à certains propos maladroits tenu à l'ambassadeur reghiotte à Rome par certains magistrats de Rome. Ces propos ont été perçu comme des insultes et des menaces.
La ligne directrice de notre diplomatie ne me parait pas évidente. Je n'arrive pas à savoir si le sénat souhaite être en paix avec Réghium ou provoquer une guerre.
Un éclaircissement ne serait pas superflu.

Reghium redoute une volonté de la République de devenir maitre de l'Italie tout entière.
J'ai tenté de rassurer l'Archonte Antares autant qu'il m'a été possible de le faire.

Marcus OVATORIUS

SPQR"



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Delégué auprès des Anares en 352, Envoyé consulaire chez les Lingons en 353,354,355
En campagne chez les Anares 354,355, Envoyé consulaire dans le Nord (Insubres et Helvetes)356
Lingons 357 à 360, Anares 361, 363, 364, 378, 365, 366, 368, 374, 375, Etrurie 371, 379 - 384 ,Mercure 369 - 386, 386 -
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