| Situation de guerre avec les lucaniens |
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Inscrit le : Mer 18 Nov 2009
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 Posté le : Mar 15 Déc 2009 |
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Quelques jours après l'attaque contre Rome, le sénateur Flavius Urbanis s'en vient au Sénat, relativement bien remis des blessures légères et apparemment reposé. Parvenu sur les marches de l'imposant édifice, le jeune homme se retourne vers la cité et regarde autour de lui les séquelles du siège, particulièrement vis à vis de la population et des réfugiés. Après un soupir, il entre dans l'hémicycle sénatorial et se lève pour prendre la parole. Debout, il regarde autour de lui et semble compter les absents, les sénateurs blessés, disparus ou morts ... Enfin, Flavius entame le débat :
Nobles sénateurs, le dernier assaut des samnites et des lucaniens s'est terminé récemment et chacun, nous comptons nos blessés, nos morts et pour beaucoup, nos propres blessures. Chacun, nous souhaitons nous reposer et prendre soin de ceux qu'on aime et du peuple romain qui souffre encore de cette tragique trahison.
Pourtant, valeureux patriciens, nous savons tous que la Res Publica nous impose de passer outre et de continuer d'avancer, pour Rome. La situation actuelle est chaotique entre les blessés et les morts, les destructions et les raids que provoquent encore, apparemment, des bandes de barbares dispersées dans le Latium. Plus loin au sud, la Lucanie existe toujours et elle n'est toujours pas punie.
Il est tôt, nos pensées ne sont pas forcément là bas et nous avons tous vu plus que notre compte de sang et entendu plus de cris d'agonie et d'horreur qu'on ne peut en supporter. Pourtant, nous sommes le gouvernement de la République en tant que membres du Sénat et la Lucanie doit être, je pense, notre prochain objectif.
L'Edilité voir le consulat pourrait-elle nous donner un aperçu des dégats et des pertes en hommes ? Et l'un de nos consuls pourrait-il nous indiquer ses vues sur la Lucanie pour les semaines à venir ?
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Gens Urbanii : On n'a pas d'argent mais on a des idées !
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POUSSINUS Actarus
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Inscrit le : Lun 28 Aoû 2006
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Posté le : Mar 15 Déc 2009 |
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/C'est le consul Poussinus qui rentre le premier dans l'hemicycle, salue ses amis optimates,et viens s'assoir à sa place/
/Sa joue est encore boursouflée et il est clair qu'il portera a jamais une magnifique cicatrice.../
/Le consul Poussinus attend paisiblement l'arrivée de son collègue avant de commencer/
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Une famille, 3 cousins,Pirus,Dobrasus,Poussinus
Sénateur Patricien  |
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FLAVIUS VERUS Philippus
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Posté le : Mar 15 Déc 2009 |
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Le Consul Flavius Verus arrive dans la Curie, accompagné pars quelques Sénateurs. Il salue son collègue et prend place.
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ANTONIUS EUGENIUS Titus
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Posté le : Mar 15 Déc 2009 |
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Encore quelque peu souffrant, Antonius pénétra à son tour dans l'assemblée du sénat. Il ne manquait pas de se faire remarquer avec sa toge déchirée et salie, mais il ignorait les regards hautains que lui lançaient certains vieux sénateurs très à cheval sur l'étiquette. Le sénateur Urbanis, sous les ordres duquel il avait servi durant le siège de Rome, déclamait un discours passionnant sur la suite des évènements récents et sur la poursuite de la guerre contre les agresseurs de la cité. Antonius choisit de s'asseoir à côté de la place vide de l'orateur, l'écoutant patiemment et attendant l'intervention des consuls.
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Sénateur 364 ab Urbe Condita
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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Mar 15 Déc 2009 |
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La démarche de Bustos par sa raideur trahit les douleurs qu'il doit à un belle entaille sur le flanc. A sa manière précautionneuse de s'asseoir, un Sénateur proche de son siège d'Edile lui dit d'un ton rigolard
Décidément, tu nous reviens abimé dès que tu quittes les murs, t'es tombé sur le Navarque lors de la cohue?
Bustos rit mais grimace immédiatement en se tenant le flanc tandis que son interlocuteur rit méchamment.
Il écoute ensuite le débat, prenant peu de notes. Il demande cependant la parole pour indiquer
Je pense que des inspections seront nécessaires, mais vu l'avancement de l'année les prochains Ediles pourront sans doute s'en charger.
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Né patricien, né pour servir |
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COMNIUS Drusus
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Posté le : Mar 15 Déc 2009 |
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[Le flamine de Mars fait son entrée dans la salle du sénat. Il avance lentement, progressant grace a une canne. Arrivant a sa place habituelle, il s' installe avec maladresse n'ayant pas encore l'habitude de transporter ses dossiers et tenir une canne avec deux doigts. il se retourne ensuite pour parler avec ses voisins, comme a son habitude, mais il se rend compte alors que les sièges sont vides. Il Réalise que les rangs du sénat sont quasi déserts]
"Par Mars, ils sont tous partis rendre une petite visite a Pluton ou sont ils chez Esculape ? Consuls, avant de commencer cette discussion primordiale, avez vous des informations sur les membres de cette assemblée ? Combien de morts, de disparus ?
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Organisateur des jeux latins 363
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Alors que les magistrats s'avancent et s'installent pendant que Flavius déclame sa tirade, le sénateur voit arriver le jeune antonius qui s'installe à ses côtés. Flavius, une fois son propos terminé, adresse un signe de tête aux nouveaux arrivants et se rassied avant de saluer Antonius d'un murmure :
Ave sénateur, je suis bien heureux que tu ailles mieux. Après la bataille j'avais envoyé un esclave s'assurer de ton état qui n'était pas brillant mais je constate que tu as trouvé la force d'entamer un nouveau combat, ici, au Sénat.
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DARUS BASSUS Brutus
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Tonitruant, sans même attendre la réponse des consuls à la question posée par le sénateur Urbanis :
Nous ne pouvons avoir qu'une seule vue sur la Lucanie : son écrasement total ! Ces barbares fourbes nous ont attaqué sous le couvert de paroles mielleuses, cette trahison ne peut pas rester impunie.
Les consuls devraient regrouper les troupes qu'il nous restent après les dernières batailles, les renforcer et marcher avec elles sur nos ennemis pour détruire ce qu'il reste de ses armées et annexer ses terres.
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Brutus Darus, dit le grassouillet.
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ORLENUS Arturus
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Le censeur se place au lui aussi au sein de l'assemblé et attend la reponse des consuls, tout en regardant darus
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Officier de l’Ordre de Cincinnatus
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ANTONIUS EUGENIUS Titus
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Antonius sourit à Urbanis et lui rendit son salut. Il se mit alors à murmurer à son voisin.
-Je ne suis pas du genre à me laisser abattre pour si peu, mes blessures ne sont rien comparées à celles de certains soldats. Mais la convalescence m'a permis d'apprécier la beauté et la gentillesse des femmes romaines. Je te remercie de ta sollicitude et je te dois une faveur.
Il marqua un temps pour écouter quelques bribes du discours en cours. Puis il revint à Urbanis.
-Je n'allais pas rater mon premier débat à la curie.
Sans rien ajouter de plus, Antonius se leva à son tour et prit place au centre de l'assemblée pour demander la parole.
-Sénateurs, consuls ! La plupart d'entre vous ne me connaissent pas, ce qui est évidemment aussi mon cas envers vous. Je suis Titus Antonius Eugenius, de la gens des Antonii. Je suis arrivé à Rome ces derniers jours parmi une masse de réfugiés alors que cette cité subissait le terrible siège des Lucrétiotes. J'ai vu le désespoir, la terreur, et la tristesse dans les yeux des citoyens. Et j'ai haï nos ennemis pour ça. Mais j'ai également vu la fierté, le courage, et la férocité romaines. Patriciens et plébéiens se sont battus avec acharnement et ont mis leurs luttes de côté, et bientôt je proposerai une loi qui récompensera ce sacrifice.
Rome a survécu à une terrible bataille. Mais Rome n'est toujours pas en sécurité. Je dis que Rome ne sera véritablement protégée que lorsqu'elle sera maîtresse de toute la péninsule italienne !
A l'instar de certains d'entre vous, j'ai été blessé à la bataille, je porte la cicatrice d'une flèche reçue à l'épaule, et je souffre encore d'une atroce migraine. Mais je compte bien pardonner mon ennemi. Cependant, avant de parler de pardon, il est capitale pour notre sécurité et celle de nos familles, que les derniers bastions de résistance en Italie soit écrasés et soumis au droit romain. Faisons de ces barbares des romains, et ensuite nous pourrons envisager le pardon !
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Sénateur 364 ab Urbe Condita
Légat en Luceria et commandant de la légion Pluton II 365 |
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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Bustos hoche un peu la tête, puis se lève doucement
Ne mélangeons pas tout jeune Sénateur... la péninsule ne compte pas que des Romains et des ennemis des Romains pour le moment. Si notre expansion se fait trop vite, nous risquons de devoir nous lancer dans d'incessants conflits, et cela n'est pas désirable. Il faut que chaque chose soit faite en son temps.
Grimaçant quand il se tient droit, le bandage se discerne sous la toge sénatoriale.
Nous avons tous ici payé de notre personne pour que ce siège soit levé le plus vite possible. La très belle coordination entre nos actions dans les murs, en dehors soit possible avec le retour des troupes du Consul Poussinus.
Si action martiale il doit y avoir envers la Luceria, prenons plus de temps pour la préparer. Pansons nos plaies, pansons celles de Rome, et ensuite punissons les Lucériotes, sévèrement. Montrons que si nous respectons nos traités, la rupture unilatérale et la traitrise ne restent pas impunis.
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Respublica Defensor
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Parfaitement, honorable Edile,
Flavius se lève à son tour :
Tu as raison à différents points de vue. Il ne faut pas se lancer n'importe comment dans n'importe quelle voie. La politique que nous adopterons à l'égard de nos voisins sera toujours scrutée et analysée par nos voisins. Réagir contre la Lucéria est une évidence mais il convient de réflechir à comment mener une telle action. Trop exagérée, elle sera prise comme une menace à l'égard des autres peuplades de la péninsule et risquerait de se finir en une confédération de tribus dirigée contre nous et trop timorée, elle serait perçue comme un abandon de notre statut actuel de puissance régionale.
Voila donc tout l'intérêt de ce débat. Comment réagir face à cette attaque qui, je pense que tous seront d'accord, ne doit pas rester impunie. L'avantage que nous avons est que nous avons vaincu ici à Rome et que nous disposons de légions tandis que la Lucéria y a perdu de nombreuses troupes. L'initiative est de notre côté mais réclame du sang froid, de la reflexion et de la coordination.
Nous détenons le Samnium mais il nous faut y laisser des troupes car la région doit encore être pacifiée, on ne peut y exclure des troubles dans les mois voir les années à venir. Nous devons veiller également à la sécurité intérieure et notamment à ces bandes de pillards car Rome a été touchée en son coeur et cela pourrait réveiller des antagonismes mais aussi à nos frontières Nord où rien n'est jamais tout à fait sur.
Mon avis est que nous devons porter le fer en Lucéria assez rapidement pour ne pas les laisser reprendre leur souffle. Je crois que nous devrions attaquer et mettre à genou Lucéria sans forcément chercher à l'annexer au bout du compte car cela ferait peut-être beaucoup à admettre pour les gaulois du Nord voir Massalia. Que des troupes assiègent la capitale de Lucéria et que d'autres pillent les terres alentours, les villages et les cultures. Amenons l'ennemi à reconnaître sa défaite et à venir lui-même réclamer la paix, une paix dont nous fixerons les termes, bien entendu.
Alors certes, le temps est aux soins, au recueillement et au deuil mais ne trainons pas sous peine de rencontrer deux fois plus de résistance que prévu en Lucéria. Quels sont les avis des consuls sur cette affaire ?
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Gens Urbanii : On n'a pas d'argent mais on a des idées !
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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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/Le consul Poussinus se lève doucement et se met face à ses pairs/
Patres,
Avant toute chose, je tenais à tous vous féliciter pour vos actes de bravoure tout au long de cette lourde nuit, face à des lucériotes enragés et déterminés.
Tous ensemble, vous avez résistés difficilement jusqu'à mon arrivée dans des conditions extremes et en urgence.
Tous y avons laissé quelques chose:
/se tournant vers le flamaine de Mars/
des doigts...
/vers l'édile Bustos/
Des cotes cassés...
/se mettant la main sur sa joue balafrée/
Un visage...
/regardant nombreux sénateurs/
D'autres ont meme perdu leur âme...
/Laisse un silence lourd dans l'hemicycle,la tête baissée/
/reprend doucement/
L'heure est en effet à panser nos plaies,au repos des guerriers...
Cependant,comme vous l'avez tous très bien soulevé,un bilan se doit d'être fait,des actions préparées pour la suite des opérations.
Les chiffres grossissent de jour en jour et je n'aurais que les chiffres finaux que dans les jours a venir.
Pour l'instant,voici ce que le sénat soit retenir:
/sort une première tablette/
La capitale Samnite Beneventes est tombée. Le chef rebelle Campanae a été capturé.D'après le légat Severus,il y aurai très peu de mort coté romain( 1000 légionnaires) et très lourd coté samnite ( 6000).
La cité sacrée d'Aquilona est quand à elle détruite.Le chef rebelle caudinae a été abattu.Les pertes sont lourde cotés romains ( 3500 morts et environ 2800 bléssés), coté samnite c'est 7200 samnites tués, 1500 prisonniers...Reste 1300 samnites qui ont réussi a s'enfuir et se sont bien entendu dirigés vers le luceria.
La légion sarkos a été à moitié décimé.2200 survivants sur les 5000.
Le samnium est quasiment sous controle,reste quelques petits villages au sud dont le gouverneur Vanstenus devrait s'occuper rapidement.
surles 3 légions dirigées par le gouverneur Vanstenus,2 pourront surement etre recomposées pour la suite des opérations.
/prend une seconde tablette/
Pour la légion du préfet de campanie,sa légion doit etre intacte.
Pour le groupement Severus-barezzus, il devrait rester environ 6000 légionnaires.
Pour ma part,étant revenu avec 7500 légionnaires,le décompte est entrain d'etre effectué par mes tribuns militaires.
En première conclusion,Sur les 7 légions engagées dans cette campagne, nous disposerons encore de plus de 5 légions pretes a foncer sur le luceria.
Mes légats ont remplis leurs missions et nous pouvons etre fiers d'eux.
Bravo au sénateur Severus,Barezzus,sarkos,au préfet tiserius et au gouverneur vanstenus et au navarque carneus...
Grande pensée à mon ami sénateur Copernicus qui a rejoint les siens...
/regard dans le vide/
/range les deux tablettes/
Sous peu,après avoir reglé nombreux points avec le consul Flavius verus,je partirai retrouver les légats Barezzus-severus et le gouverneur vanstenus a Beneventes pour la suite des opérations: La campagne Luceriote.
Je menerai cette campagne comme j'ai mené celle ci.
/un peu agacé/
Je tenais cependant a soulever un point important et me permettre une petite retrospective...
/ironique/
Tout dabord je tenais à remercier l'ex tribun Darus de nous avoir demandé,au nom de la plèbe, de retirer la légion habituellement postée en Latium.
Nous venons de voir concretement l'importance de celle ci.
J'espère bien que tout les futurs candidats tribuns se souviendront de ce jour en guise de rappel.
Une légion ennemie bien préparée peut en 15 jours etre sur Rome!
/net/
Rome se doit d'etre munie d'une légion chaque année positionnée en Latium.
/se calmant/
Pour le futur du Samnium, je pense que le consul Flavius verus ouvrira sous peu une salle pour un débat.
Pour ce qui est de la rétrospective,avant de partir j'avais annoncé que cette campagne samnite ne prendrait qu'un an,voila ca c'est fait.
/petit clin d'oeil à l'édile Bustos/
Patres,
Luceria sera sévèrement punie,soyez en sûr.
Maintenant je suis pret pour vos questions.
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Sénateur Patricien |
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Inscrit le : Mer 18 Nov 2009
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Flavius se lève le premier et désigne de la main le consul Poussinus :
Consul, je pense que les sénateurs seront d'accord avec moi pour te féliciter de ton action en pays samnites et pour féliciter tous les acteurs de cette campagne pour la victoire obtenue. Je ne doute pas que des questions surviendront et pourquoi pas des critiques mais j'aime l'équité et des félicitations s'imposent envers le vainqueur.
Pour cette campagne de Lucéria dont c'est le sujet, j'aimerais connaître ton avis et ce que tu attends que le Sénat décide. Es tu pour une campagne éclair ou pointilleuse, une solution diplomatique ou une annexion pure et simple ... Tant de points qu'il reste à éclaircir entre nous pour parler d'une même voix face à l'ennemi.
Enfin, tu envisageais tout à l'heure de rejoindre les troupes pour la campagne à venir mais quels légats partiraient à tes côtés ? Et quelles troupes envisages tu d'envoyer là bas, quel nombre de soldats j'entends car nous devrons reconstituer des légions complètes à partir des légions décimées ou en lever de nouvelles.
Désignant par la suite Flavius Verus :
Ces questions se posent également à l'estimé consul Flavius
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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Mer 16 Déc 2009 |
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Bustos regarde fixement le Consul Flavius Verus puis se lève
Sachez Consuls, que je suis dans une situation étrange et bien que je n'aime pas épancher mes sentiments en public, ceux ci ne seront, je pense, aucunement étrangers aux hommes de guerre qui sont dans la pièce.
J'ai été nommé dans l'urgence certes, mais nommé par le Consul Légat de notre République, à la tête d'une Légion Mars Vengeur qui aura combattu certes, mais mes amis dans quelle cohue nous l'avons fait. De mes hommes, je ne crois en avoir emmené qu'une dizaine en plus de la douzaine d'hommes qui avons servi un somptueux banquet empoisonné aux Lucériotes... qui leur a coûté en une heure 200 hommes.
Alors je demande solennellement de pouvoir partir lorsque nos Légions partiront en Lucéria avec nos troupes, que ce soit comme Maître de Cavalerie, Légat... où autre si les élections me donnent un Imperium.
Puisque certains Sénateurs ici ont demandé un programme avant le siège pour les élections, malgré le fait que les salles de votes soient closes, j'annonce dès maintenant que si jamais je suis Préteur, je mettrai mon Imperium au service de la République afin de punir Luceria la traitresse de sa forfaiture.
Bien évidemment je me soumets à la décision de nos Consuls, actuels, ou futurs. Ceci dit, la Justice même nous demande la tête de la Lucéria, alors je mets d'ores et déjà mes bras aux service de cette même Justice.
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