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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Rome:Une vraie politique Exterieure adaptée à notre decennie
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Rome:Une vraie politique Exterieure adaptée à notre decennie
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BUSTOS Dominicus
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Se lève et applaudit fortement le discours du Consul, marquant ses applaudissements par la remarque

La grandeur de Rome, et non plus plier l'échine devant Carthage...

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ORLENUS Arturus
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hoche la tete a pusieurs reprise

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FUGITIVUS Felix
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/le consulaire fugitivus ne dit mot, il semble attendre la suite.../

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81 ans. - Flamine de Mercure de 346 à 368. Pontifex Maximus de 369 a 376.
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POUSSINUS Actarus
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/le consul Poussinus semble agité sur son siège,puis se detend au fur et a mesure de l'intervention de son collègue/

/une fois tubbsarius fini,actarus se lève pour prendre la parole/


Patres,

je crois que le consul Tubbsarius vient de dévoiler ce qu'il avait au plus profond de lui depuis des années et je suis un des premier étonné de le voir enfin aussi expressif et parler pour enfin dire quelques chose d'important pour l'avenir de Rome.

/sourire/

/sérieux, face a son tour à l'assemblée/

Nombreux d'entres vous me connaissent depuis des années et savent mes orientations politiques.

Vous me savez un grand partisan d'une relation avec Carthage.
Vous me savez un grand opposant de Massalia.Meme si je suis conscient de la possible influence de cette cité sur les tribus gauloises,mais je la considère comme une cité actuellment génante a Rome et bien trop hautaine.
Vous me savez mitigé avec l'alliance hellène qui malgré notre dernier traité, ces cités grecs restent pour moi encore...trop grec...et ont donc beaucoup a prouver.
Vous me savez aussi opposé à des relations avec Reghium,meme si je suis bien conscient que cette province a un role primordial vis a vis de nos provinces du sud...et partisan de l'alliance avec l'Egypte comme alliée lointaine.
Vous avez tous aussi que je suis un des citoyens qui a contribué à l'arrestation et le jugement de decimus, jeté de la Roche il y a quelques années déja.

On me considère comme trop belliqueux, trop optimate,trop impie...mais depuis des années ne suis je pas le grand investigateur d'une illyrie pacifiée, moderne,pieuse et romanisée?

Tout comme le consul Tubbsarius, je suis un défenseur de la République!

/lève les mains comme le consul Tubbsarius tout a l'heure pour éviter a son tour des interventions/

Il est clair que Rome,c'est 40 dernières années,a retrouvé une certaine influence et un certain prestige tant coté adriatique que mediterrannéen.

Le consul Tubbsarius a tout a fait raison sur ce point.

Rome a une alliance avec l'alliance hellène.
Rome a une alliance avec des peuples gaulois.
Rome a une alliance avec l'Egypte.

Il est clair que nous avons cependant une place a prendre dans ce monde!

Oui il faut voir grand,
oui il faut construire,
oui il faut installer la stabilité,
oui il faut agir et se positionner.

Pour ce que vient d'annoncer le consul Tubbsarius,je vous propose,a mon tour, MA vision:

Je suis d'accord pour qu'on négocie comme il se doit un traité qui place Massalia comme protectorat romain.

En ce qui concerne le traité avec Carthage...il est clair, qu'en lisant notre codex, qu'il y a conflit entre le nouveau traité avec Carthage et Massalia...Mais nos dieux ne l'ont ils pas validé?

Allons consul Tubbsarius,comptes tu encore mettre notre panthéon en colère?

Toi le citoyen le plus pieux de notre sénat?

Après notre pontife bien sur...si il est présent dans la curie... /sourire/

Et bien pourtant je ne peux que te suivre dans cette entreprise!

/regard vers les pro-punique/

Je lis dans vos yeux pourquoi...Et bien tout simplement parce que si nous voulons avoir les mains libres pour avoir une massalia protectorat romaine, il nous faut rompre ce traité...

/main sur le pectoraux/

Je suis avant tout Romain que pro-punique.

Nous devons,comme l'a si bien dis le consul Tubbsarius,choisir notre destin et ne plus plier l'échine devant Carthage comme on a pu le faire auparavant.

/marque une légère pause/

/sourire machiavélique/

Pour Reghium...je vais profiter de cette séance fermée pour vous parler un peu des informations que les consuls ont reçu.

Antarès a réagi aux interventions des rostres du prétorien Aetius, a mis en état d'alerte ses troupes et est pret a recevoir les aigles Romains...jusque la pas de problème et c'est compréhensible...
La ou ca devient inquiétant c'est que d'après nos sources sures,il aurait des visions sur nos provinces du sud et envisagerait de les envahir!

Allons nous signer un traité avec un archonte qui a de telles visions?

/poing rageur/


Il en est hors de question!

Le sénat compte t il suivre le consul Tubbsarius dans cette entreprise d'unir notre République avec un homme ambitieux, qui déteste Rome?

/marque une longue pause fixant les sénateurs du premier rang/

La disparition du gouverneur Drissus?

Un homme vertueux et désireux de vouloir pacifier le sud qui disparait...Dans un sud remplis d'ombres alliées à Antarès qui y circulent...

Va t'on longtemps cautionner cela?

Que le consul Tubbsarius prenne des légions et qu'il marche sur Reghium!!
Qu'il explique aux provinces du sud, qu'il explique aux dirigeants de ces provinces que c'est Antarès qui tire les ficelles des ombres qui polluent et empechent le sud d'etre paisible!
Qu'il explique que Rome ne peut tolerer cela et qu'il est primordial d'arreter ce fou d'Antarès!

Et pas besoin de nos amis puniques...Ainsi plus de problème de traité avec les puniques...Ni pour reghium, ni pour Massalia.

/se calme un peu/

Que l'on continue notre travail auprès des gaulois.
Que l'on continue notre travail auprès de l'alliance hellène et de l'Egypte pour empecher la Perse de trop prendre de l'importance.

Que l'on montre a Carthage que nous sommes bien plus a la hauteur qu'il ne le pense.

Que l'on s'occupe d'Antarès et de Regium.
Que l'on fasse de Massalia un protectorat romain.

Patres,

je dis moi,actarus Poussinus,autant ocnsul de Rome que mon collègue ici présent...que c'est dans cette vision du monde que nous devons construire l'avenir de la République.

Moi aussi je souhaite que Rome, le sénat et l'OE suivent cette ligne directrice...

Le sénat a le choix ici de son avenir et tout comme le consul Tubbsarius que j'ai toujours su admirer,c'est ensemble que nous devons le construire.

Il propose une chemin, j'en propose un autre.

Rome doit arreter de tourner en rond et choisir SON chemin.

/fixant ses pairs/

Quelque soit le chemin que le sénat et le peuple prendra,sachez que je serai a vos cotés pour la grandeur de notre république.

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CARNEUS Tiberius
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Surpris de la soi-disante vision d'Antarès et de ses projets vus par le Consul... Le Navarque s'exclame, fort et ironique :

"Ah, pas trop tôt ! Depuis le temps que la République faisait tout ce qu'elle pouvait pour pousser Antarès à la faute ! C'était à vous désespérer de vous comporter comme des sans-couilles qui refusent d'assumer leur petit côté barbare qui consiste à voler des terres qui les intéressent."

"On va pouvoir dormir tranquille, du sommeil du juste qui envahit avec la certitude d'avoir le bon droit et les dieux avec lui... Je vous avouerais que j'en avais des sueurs froides !"

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
Navarque 358-362, Navarque Maximus 363, puis Navarque de la Zone Ouest 364-367,
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POUSSINUS Actarus
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/calme/

Si tu crois que je dis ca pour que l'on se lance sur reghium,demande donc au consul Tubbsarius si mes dires sont faux...Il a reçu les meme informations.

Et je te rappelle que la reghium d'Antarès n'aurait jamais dut voir le jour si nos généraux n'avaient pas fait complétement leur travail.

Antarès est un mercenaire ambitieux et dangereux pour Rome.


Citer
On va pouvoir dormir tranquille, du sommeil du juste qui envahit avec la certitude d'avoir le bon droit et les dieux avec lui... Je vous avouerais que j'en avais des sueurs froides !"



/glacial/

Si tu ne vas pas bien navarque,retourne donc en mer et arrete de nous sortir ton ironie qui ne fait rien avancé.

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MARCELLUS Marcus claudius
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Le Sénateur Marcellus prend la parole à son tour après avoir applaudit les paroles du Consul Poussinus.

Deux grandes visions se sont exprimés de deux hommes donc la clairvoyance politique justifie pleinement leur rôle de Consuls pour cette année. Par respect pour l'autoritas et la dignitas de ces hommes l'on ne peut se permettre un discours qui serait aussi une ligne directrice.

Mais il y a des points qui peuvent être soulever donc l'éclaircisemment serait favorable au Sénat. Avant cela, je dirais que je soutient pour ma part la vision du Consul Poussinus.

Puisque Carthage est notre alliée, eh bien profitons de cette alliance avec elle, et faisons de Massilia une conquête mutuelle, ce qui nous ouvrira le commerce avec la gaule, un pied vers l'ibérie, et débassera Rome de toute ces hésitations avec cette cité. Le Consul à raison, cette cité est genante à Rome, genante pour notre traité avec Carthage. Et je crois que Carthage n'hésitera pas tot ou tard à la liquider, seule si il faut. Ou serons les romains alors? Qu'obtiendrons nous? Nous avons une puissante alliance, profitons en!

Le sud est plus particulier, que l'on abatte Antarès, il s'en trouvera un autre pour le remplacer. Seule la stabilité de la paix et de l'ordre nous sera favorable. Il faut avoir les nerfs solides, savoir vivre avec les tensions, et ne pas tomber dans les va-en-guerre à chaque escalade. Nous pouvons prendre Reghium par les armes, mais ce que nous voulons c'est la reconnaissance du pouvoir de Rome par les populations de Rome dans cette région, et pour cela il faut garder notre sang-froid. Pour tenir tête à Antarès il suffit de rester déterminé et sévère.

Sur des points plus techniques....

L'alliance avec Carthage est une bonne chose, mais "la politique de zonage" des territoires à d'avantage favoriser Carthage que Rome, elle fut peut-être le prix à payer pour la conquête du Sud. Cela est fait maintenant, alors cessons de continuer a payer le prix, car c'est absurde. C'est une faiblesse du Sénat. Ces limitations ne veulent rien dire pour Rome. Pour Cartage c'est une facon de contenir Rome et asseoir sa propre puissance, rien de plus. Le Consul parle que nous tournons en Rome, pour cause les zones d'influences ont réduit les possibilités de Rome à un territoire réduit, alors que Carthage parcours de vastes horizons sans réserve.

Rome est engouffré aussi dans des situations diplomatiques à causes des traités sans fin. Comment un traité peut-il durer plus de 60 ans? La situation n'était pas la même jadis. Dernièrement il a été parler des épines dans la diplomatie, certaines dispositions sur les ambassadeurs en sont, mais cela aussi. Un traité doit avoir une limite dans le temps. Ainsi les deux parties peuvent renégocier sans que cela soit percu comme une offense. Peut-être n'y aurait-il pas de contradiction entre les traités en ce moment si cette règle serait de mise et nous forcerait à établir nos propres positions plutot que de continuer a vivre dans celles du passé.

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Patricien Gens Claudii
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CARNEUS Tiberius
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Le Navarque ricane...

"Allons, Consul. Je te savais déjà pour des raisons que nous connaissons tout deux homme sans honneur dans ta vie privée, et tu me prouves ce dont j'étais persuadé (Bien que les événements du printemps me l'avaient déjà confirmé) ! Un homme qui n'a pas d'honneur et de civilité dans sa vie privée ne peut pas en avoir plus sur la scène politique !"

"La vérité, c'est que ton hypocrisie s'accommode fort bien de ces informations qui confirment que, en toute occasion, Rome récolte toujours ce qu'elle a elle-même semé. Tu n'avais même pas le courage de dire publiquement ta position lors du premier vote ! Tu es bien trop heureux de pouvoir t'exprimer maintenant en prenant le rôle beaucoup plus confortable de l'offensé !"

"Ne t'inquiète pas pour mon retour en mer... Il est prévu pour la mi ou la fin automne. Cela dit, si tu trouves que c'est encore trop long, je suis un homme discipliné... Un ordre, une mission... Comme le dit très bien la devise que j'ai choisie pour notre flotte, nous n'avons pas besoin d'agir avec honneur en tout temps, nous nous contentons, malheureusement ou heureusement, d'agir pour la patrie."

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BUSTOS Dominicus
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Le Questeur prend des notes... notamment au sujet de ses hypothétiques inspections provinciales puis se lève calmement..

Cela fait plaisir de voir qu'enfin on peut discuter de ce qui doit faire Rome et de ce qui est important. Cela fait plaisir de voir qu'enfin nous pouvons constater l'éloquence de notre nouveau Consul, impressionnant de voir face à nous ... l'investigateur de l'Illyrie...

Prenant son rouleau comme s'il lisait un texte

Dois je vous rappeler ce qui est arrivé lors de la première campagne contre Tarente? Les pro Grecs de l'époque, qui ne sont pas sans rappeler nos pro Carthage avec la volonté tenace de ne pas s'attaquer au bon ennemi, ont assuré le Sénat que l'alliance grecque ne bougerait pas. En UNE SEULE NUIT, oui Patres, UNE SEULE NUIT, ce sont près de 70000 hoplites qui ont fondu sur nos troupes, causant un désastre tel que le Trésor de Jupiter a du être utilisé pour nous sortir de ce mauvais pas.

Reposant son rouleau, allant au centre de la pièce

Et maintenant j'entends un refrain qui me rappelle les années du passé. Encore un Consul très sûr de lui, "l'investigateur" d'une Illyrie dont certains d'entre nous nous posons encore la question de l'utilité, nous indique qu'il faut aller attaquer un homme qui prépare ses troupes.

Quoi de plus normal qu'il prépare ses troupes sachant qu'ici même à Rome la guerre et le sang ont été appelés sur son peuple? Quoi de plus normal que l'on nous juge inconséquents quand on aborde les questions stratégiques en plein milieu de la Curie, sans contexte aucun comme le fait le Consul? Il s'est plaint du Prétorien Aetius, mais il en fait de même avec nous tous ici Patres.

Alors c'est bien beau de parler d'Illyrie, de Rhégium et de Massilia. Mais ce sont de faux problèmes.

Le vrai problème est que Rome est vue par Carthage non pas comme un partenaire de discussion mais comme un faire valoir pour son action au plus près de notre frontière. Vous avez un peu examiné les actions de leur ambassadeur? Ferait il cela s'il avait la moindre considération pour les moeurs Romaines ou s'il avait recu ordre de nous respecter?

Alors si même un ambassadeur nous manque à ce point de respect, imaginez en quels termes on parle de nous à Carthage. Ils se moquent de l'illégalité de nos traités avec eux, ils ne veulent revenir dessus, mais celà intéresse certainement moins notre "investigateur de l'Illyrie" que les lopins de terre du Rhégium.

L'aigle Romain doit prendre son envol. Pas pour aller vers de petites proies comme le font les poussins. Mais pour bâtir une République forte et digne, ne craignant pas les grands et étant capable de comprendre les petits.

Pointant le Consul Tubbsarius du doigt, alors qu'il ne se tient pas bien loin de lui

Voici un homme qui a parlé par son expérience. Toutes les charges au sein de notre assemblée, il les a assumées avec diligence, honneur et fidélité. Il connaît plus que quiconque la nécessité d'AUCTORITAS de notre Curie, car oui Consul Poussinus contrairement à la devise de ta Gens que tu as volé au parti des vrais Optimates qu'était l'ARG, auctoritas prend un C comme bien d'autres termes...

Alors que ferons nous? Nous recroquevillerons nous sur des conflits mineurs comme celui avec Rhégium? Ou nous montrerons nous sages et nous opposerons nous enfin à Carthage qui se rit de nous depuis tant d'années?

Une fois son allocution finie, Bustos retourne s'asseoir.

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POUSSINUS Actarus
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/restant calme/

Navarque Carneus,

Ton ricanement montre encore que tu as beaucoup a apprendre au sein de notre curie et que tu es bien plus puérile que je ne le pensais...

Je pourrais te répondre sur tes attaques personnelles, mais ferais je avancer le débat?

J'en doute.

Insulter un consul de Rome de sans honneur et de civilité n'est pas une marque de grandeur de ta part,mais ca je suis certain que nos pairs ne tomberont pas dans cette spirale débile.

Par contre,

je suis entierement daccord sur le fais que Rome récolte que ce qu'elle sème.Reste a aller au bout de cette récolte et ne pas faire comme nos généraux et ne pas s'arreter en cours de route.

/se tourne vers le questeur Bustos/

Mon pauvre questeur Bustos,tu ne vaut pas mieux que le navarque et tout les deux vous faites la pair.

Lorsque je parle d'investigateur de l'illyrie, je sous entendais, mais ca tu es tellement obnubilé a provoquer qu'a comprendre les subtilités, que depuis 330,depuis sa conquête, jamais un seul illyrien ne sait soulevé,jamais un seul illyrien ne sait plaind,jamais un seul illyrien n'a craché sur un romain...Mais ca c'est trop subtile pour toi et tout le monde sais dans ce sénat que tu lèche les fesses du consul Tubbsarius donc je n'épiloguerai pas plus la dessus.

A ta gouverne questeur Bustos,

Le suffète Hannibal est au courant des agissements de son ambassadeur et je ne compte pas en rester la sur son irrespect sur nos terres.

Mais la encore tu t'emportes tout en ne sachant rien...Celane m'étonne guère vu ce que tu as produit aux rostres.

Mais je mettrais tes propos sur le compte de ta jeunesse...

Dernier point.


Citer
Alors si même un ambassadeur nous manque à ce point de respect, imaginez en quels termes on parle de nous à Carthage. Ils se moquent de l'illégalité de nos traités avec eux, ils ne veulent revenir dessus, mais celà intéresse certainement moins notre "investigateur de l'Illyrie" que les lopins de terre du Rhégium.



Je crois que tu ne m'as pas écouter.As tu des problemes d'audition?

Je n'ai jamais dit que l'on devais rester accrocher aux puniques et que nous devions meme rompre le traité qui a été signé dernierement.

Mais la encore tu as entendu ce qu'il t'arrangeait pour essayer des attaques puériles sur ma personne.

Essayes donc de construire avec tes interventions,pas de te défouler.

Pour finir,


Citer
Alors que ferons nous? Nous recroquevillerons nous sur des conflits mineurs comme celui avec Rhégium? Ou nous montrerons nous sages et nous opposerons nous enfin à Carthage qui se rit de nous depuis tant d'années?



La encore tu te fourvois et montres que tu es bien jeune!

/amusé/

Reghium un conflit mineur?

Je ne dirai rien,et je laisse le sénat tout entier réfléchir sur cette belle parole dont meme le consul Tubbasrius pourrait te répondre...

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POUSSINUS Actarus
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Citer
Puisque Carthage est notre alliée, eh bien profitons de cette alliance avec elle, et faisons de Massilia une conquête mutuelle, ce qui nous ouvrira le commerce avec la gaule, un pied vers l'ibérie, et débassera Rome de toute ces hésitations avec cette cité. Le Consul à raison, cette cité est genante à Rome, genante pour notre traité avec Carthage. Et je crois que Carthage n'hésitera pas tot ou tard à la liquider, seule si il faut. Ou serons les romains alors? Qu'obtiendrons nous? Nous avons une puissante alliance, profitons en!



Sénateur Marcellus,

J'ai parlé de faire de Massalia un protectorat romain, pas une cité romaine conquise avec les puniques.

Par ailleurs,le temps d'appeler Carthage à l'aide ou en soutien est passé,il est temps de se défaire d'elle et de prendre NOTRE chemin.

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ORLENUS Arturus
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Regarde les senateurs qui ont pris tour à tour la parole

Senateurs, magistrats, ne retombons pas dans les travers de cette assemblé qui nous empeche vraiment d avancer, restons concentré surle sujet du debat et evitons les attaques personnelles et les conflits d'egos.

Le sujet que nous a presenté le consul Tubbsarius est un sujet important qui ne doit pas etre pris à la legere.
Nos deux consuls nous ont presentés des propositions differentes qui ne sont pas denuée de sens.

Massalia qui est effectivement une epine dans notre pied depuis un petit moment deja. Qui se permet de n'etre qu alliée peut fiable de part sa position entre de sphere d'influence. Nous devons de faire une pierre deux coups.

La placer sous protectorat romains dans notre zone d'influence pour qu'elle se sente redevable mais aussi pour montrer à Carthage que Rome n'est pas la disciple de Carthage.

Nous devrions apres redefinir un traité avec Carthage, il sera alors de la charge de notre envoyé consulaire ou meme des consuls en chargent à ce moment la de negocier, de demander et meme pourquoi pas de dicter ce qui revient à Rome et pas selement les miettes que nous laissent carthage.

Quand a Reghium soupire
Qui reprocherait à un dirigeant, à un homme de proteger ses biens alors que d'apres des faits et des rumeurs recentes son voisin veut le voler?
Merci a Decinus pour son veto et à Aetius pour ses belles paroles, les rumeurs et les paroles se propagent.

Une guerre peutencore etre evité, le traité au vote peut calmer la situation et permettrai de faire rapidemment d'une pierre deux coups. Calmer le sud et definir Reghium directement dans notre zone d'influence ce qui renforcerait nos positions pour le futur bras de fer que nous allons avoir avec Carthage.

Un bras de fer ne sera envisageable qui si Rome n'est en conflit nul part, ni avec Reghium, ni sur ses propres terres, se serait sinon le marque d'une republique qui ne serait pas au mieux pour negocier puisque ses ressources seraient occupées sur un autre front.

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CARNEUS Tiberius
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"Ah, la bonne vieille tactique de l'esquive... Répondre par des questions... Certains l'utilisent, d'autres non..."

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JUSTUS Flavius
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L'Edile JUSTUS , prit à son tour la parole :

Le devenir de la politique extérieure romaine vaste sujet... Nous sommes alliés avec les principales nations du bassin méditérannéen.

Je voudrai parler de l'alliance avec les cités hellènes premièrement. Nous avons réussi en dix ans , à éloigner sur le long terme, la menace d'une quelconque vengeance ou hégémonie grecque. L'Epire est ainsi contenu et la Thessalie isolé, n'attend que la mort de son roi.

L'égypte est une nation lointaine avec lesquelles nous avons des relations cordiales mais qui est d'un intérêt stratégique mineur pour la république.

Massilia et Rhegium, des cités et archontat ne représentant pas une puissance majeure mais une capacité de nuisance suffisante pour qu'on se préoccupe. La force est ici proscrite car nous avons plus à perdre qu'à gagner. Une politique subtile doit être mise en place , si on veut que ces petites nations deviennent un jour des protectorats de Rome.

Carthage ou l'empire punique. Des côtes de l'afrique à l'ibérie, elle a acquis sa puissance du fait de son monopole commerciale, longtemps admis par Rome, sur l'ouest de la méditérannée. Sur le long terme , cette nation est un danger, mais là encore l'attaquer de front, la brusquer en provoquant un casus belli, mettrait la république dans une situation impossible. Pourquoi cela me dirait vous?

Parce que en cas de Casus Belli, il est probable que la première chose que ferait le suffète serait de retourner les nations gauloises, anares, vénètes, lingons contre Rome. Il est logique de penser que nous pourrions pas nous battre sur deux fronts. Les puniques attaqueraient par le Sud, tandis que les gaulois et autres peuples envahirait l'étrurie, une province que l'on sait encore instable aujourd'hui et dont la fidélité à Rome en cas de conflit n'est pas assuré.

Pourquoi les nations du Nord attaqueraient Rome ? Tout simplement parce que loin d'être bête leurs rois réfléchissent comme nous. Quel est leur intérêt d'avoir une nation majeure à leurs portes ? Aucun. Si les puniques leur proposent or et terre romaine en cas de victoire, ils n'y regarderont pas à deux fois.

Donc, je pense que nous devons actuellement être subtile dans notre diplomatie globale et surtout avec les puniques. Et vraiment, faire attention aux dangers que représente les nations du nord, sur le long terme pour la sécurité de la république.Merci de m'avoir ecouté.

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Patricien, ancien sénateur
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DARUS BASSUS Brutus
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Posté le : Dim 14 Jui 2009    

N'importe quoi...
Les Gaulois sont pour une bonne part nos alliés. Dumnorix des Anares nous doit tout, Fradetix des Lingons et Brennus des Boïens nous ont assisté dans plus d'une guerre. S'ils ont si peur que ça d'une nation puissante à leurs portes pourquoi nous auraient-ils aidé à prendre l'Illyrie ? Pourquoi n'auraient-ils pas soutenu les prétention de Vercassivelaun, un ami de Carthage ?

Un danger plus grand qu'une nation puissante à ses portes c'est une nation puissante et hostile. Si Carthage et les Gaulois nous attaquaient nous serions bien sûr vaincus... mais quelques années plus tard nous chercherions à nous venger. Mais contre qui ? Une Carthage plus puissante encore ? Non, nous irions au nord, et les Gaulois sont bien conscient que des Puniques prêts à se tourner contre leurs anciens alliés ne seraient pas pressés de les secourir.

Et quoi de plus dangereux qu'une nation puissante et hostile si ce n'est deux ? Quand mon père est parti en ambassade chez les Vénètes il a rapporté à Rome des informations sur un peuple jusque là peu connu : les Germains. A cette époque où nos voisins du nord méprisaient encore notre valeur guerrière après la difficile conquête de l'Illyrie ils redoutaient les Germains, des guerriers qu'ils considèrent leurs égaux dans la bataille, un peuple nombreux, féroce et avide d'expansion dans ces plaines fertiles. Si d'aventure les Gaulois s'attaquaient à l'Etrurie ils y perdraient quelques plumes, et cela ne ferait que les affaiblir sur leur autre frontière.

Non, les Gaulois sont désormais des amis de Rome, qui ont eux-même les yeux tournés vers le nord et se défient de Carthage. Le danger ne viendra pas d'eux.

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Brutus Darus, dit le grassouillet.
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