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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Des félicitations du Sénat aux combattants
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Des félicitations du Sénat aux combattants
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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Mer 30 Déc 2009    

Encore une fois, le Navarque, incapable de s'incliner en raison de ses blessures, ne peut répondre que d'un signe de tête... La remarque de ce sénateur qu'il ne connait pas semble cependant lui remettre un peu de baume au coeur après l'altercation...

"Merci... Mais, Sénateur, n'oublie pas non plus les légionnaires marins, sans qui rien de ce que j'ai fait n'aurait été possible ! C'est à eux que tout le mérite revient...!"

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
Navarque 358-362, Navarque Maximus 363, puis Navarque de la Zone Ouest 364-367,
Navarque-Adjoint 347-358.
°Légat-Adjoint lors de la campagne 364 au Samnium. Surnommé "l'Avatar" par ses hommes°

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ANTONIUS EUGENIUS Titus
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Posté le : Mer 30 Déc 2009    

-Bien entendu, l'honneur revient également à nos braves soldats. Mais il est important qu'ils soient menés par un patricien courageux et noble sur lequel ils puissent prendre exemple.

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Sénateur 364 ab Urbe Condita
Légat en Luceria et commandant de la légion Pluton II 365
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CARNEUS Tiberius
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Inscrit le : Sam 14 Juil 2007
Posté le : Mer 30 Déc 2009    

Tiberius pose la main sur son coeur et incline de nouveau la tête en fermant les yeux...

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

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DARUS BASSUS Brutus
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Posté le : Mer 30 Déc 2009    

Sénateur Urbanis, je n'apprécie pas particulièrement l'idée de l'assassinat moi non plus, ce ne sont pas des manières de Romain. Quelle sera la suite ? Inviter les chefs ennemis à des banquets empoisonnés ?
Seulement l'on ne se montre honorable qu'avec ceux qui le sont. Les Samnites et Caudinae en particulier ne le méritaient pas. Ils ont pillé et enlevé. Ils ont égorgé des femmes et des enfants sans défense. Ils ont poussé devant eux leurs prisonniers pour nous forcer à les massacrer.
Face à des barbares pareils pourquoi se priver de tous nos atouts ?

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Brutus Darus, dit le grassouillet.
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Inscrit le : Mer 18 Nov 2009
Posté le : Mer 30 Déc 2009    

Irrité :

Encore une fois, je pose une question et l'on en déduit à ma place l'avis que j'ai dessus. Pour rappel, le débat sur les espions en territoire étranger avait porté naturellement sur l'assassinat et j'avais à l'époque envisagé l'idée d'encadrer de telles pratiques ce à quoi le consul Flavius avait répondu non en invoquant les valeurs romaines contraires à cela. Profitant du rapport du navarque, je souhaiterais savoir si l'avis du consul a changé au vu de ce sujet ou s'il estime que les choses sont incomparables ou bien même si son avis n'a pas changé du tout.

Je dirais à cette auguste assemblée également que ma question précédente sur la légalité des actions du navarque et des marins ne visaient pas à porter atteinte à leur courage ou leur vaillance mais à déterminer dans le temple même de la loi qu'est le Sénat, ce qui pouvait constituer de futures lois, de m'inspirer de vos avis, peut-être une faute de ma part à en juger par vos réactions, que je souhaite connaître précisément parce que je les juges expérimentés. Le navarque a cru que je lui lançais une attaque et j'ai moi même réagi à sa réponse, étant immédiatement après rappelé à l'ordre par vous.

Alors Patres, une fois encore, ne vous méprenez pas de mes questions qui ne sont que des questions. Les débats précedents auxquels j'ai pu participer devraient pouvoir vous indiquer que quand j'exposer une idée, j'ai pour habitude de la développer.
Pour couper court aux railleries propres aux sénateurs, aux idées reçues si vite clamées et aux attaques ad hominem qui viendraient à me porter atteinte, je félicite les marins de leurs actes courageux et je ne déplore certainement pas la mort du chef de guerre samnite. Je peux me tromper et les intéressés me le diront, calmement j'espère, j'ai l'impression qu'il y a eu un manque de coordination entre le navarque et le général Poussinus et je reste, mais cela n'est pas un manque de respect envers le navarque Carneus, sur l'idée que la loi sur le navarcat n'attribue pas aux navarques les prérogatives d'aller en campagne terrestre avec des marins. Là aussi, et j'insiste, je cherche à établir des constats que j'eprouve à vos points de vue afin d'établir si des lois existantes pourraient être améliorées ou s'il faut les créer ou tout simplement si je me trompe, ce que je n'exclus pas.

Se tournant vers le censeur :

Voila censeur, le fond de ma pensée. Si tu juges cela immoral ou indigne, donnes moi une amende mais tu le vois, j'essaie de développer mes idées du mieux que je peux et de prendre l'avis de mes confrères, ce qui n'empêche pas le ton de monter lors même que l'intention semble bonne.

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Gens Urbanii : On n'a pas d'argent mais on a des idées !
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FLAVIUS VERUS Philippus
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Posté le : Mer 30 Déc 2009    

Le Consul prend la parole.

Sénateur Urbanis Iustus, j’ai bien dis, que je ne pratiquerais pas de telle procédé et je le répète, jamais ! Mais sous mon commandement direct uniquement ou si je suis au faite de l’affaire. La dessus, sur cette affaire je n’y vois ni l’un ni l’autre. C’est du ressort de mon collègue, mais je ne connais aucune loi sur un tel sujet, surtout en temps de guerre.

Mes paroles futur et passée n’on pas force de loi et de mœurs… heureusement pour certain d’entre vous, votre foie ne supporterait pas… godgrace.gif

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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Jeu 31 Déc 2009    

Le Navarque, calmé :

"Très bien, je vais te répondre pour ma part, Sénateur Urbanis... Vois cela comme une explication et une justification de mes propos, bien que je me sois déjà justifié sur l'ensemble de mes actes, et que je les assume tous, du premier jusqu'au dernier. Et que si c'était à refaire, je le referai de la même manière..."

"De toute manière, le Sénateur Darus a plus ou moins exposé la vision que j'avais des événements...!"

"L'idée de l'assassinat en temps de paix ne m'enchante guère. Mais ici, nous parlons d'un temps exceptionnel. Nous parlons d'un temps de guerre, nous parlons d'un homme qui ne cessait de s'attaquer à nos civils sur leur terre, qui a enlevé des Romains et pire, des Romaines. La fille du Sénateur Copernicus, pour ne parler que d'elle puisque je l'ai ramenée chez moi après l'avoir délivrée, a dû subir les outrages des hommes de Caudinae.
Nous parlons d'un homme qui ne cherchait que la guerre et la mort des Romains, plutôt que la paix, contrairement à Campanae, dont en passant j'attends encore et toujours des nouvelles..."

"Le Sénateur Darus a dit une phrase qui est ma ligne de conduite depuis longtemps, et qui aidera peut-être les jeunes Sénateurs à comprendre mes réactions : on ne se montre honorable qu'avec ceux qui le sont. Dans ma conception des choses, le respect n'est jamais dû. Il se mérite !"

"J'avais des hommes entraînés. Des hommes capables, par leur action, de sauver la vie de milliers d'autres Romains. D'empêcher Rome de s'embourber dans une guerre interminable dans ces montagnes traîtresses. Devais-je y renoncer ? Certainement pas ! Si, par le sacrifice d'une poignée d'hommes admirables, la marine pouvait sauver des milliers d'autres vies, alors il fallait tenter cette chance."

"De plus, pour ce qui est de l'aspect légal..."

"La loi précise que les légionnaires marins "jouent un rôle actif dans les activités militaires de la flotte." Les activités listées par la suite ne sont pas exclusives."

"Quant à un supposé manque de coordination, il est inexistant, puisque le collègue du Consul Flavius ne pouvait rien ni pour moi, ni pour mes hommes. Nous n'avions besoin d'aucun soutien quelconque. Ensuite, dès que j'ai obtenu des informations décisives pour la campagne, je les ai instamment transmises à celui qui était présent sur le terrain : le Gouverneur Vanstenus, ce qui a permis les succès que l'on sait. Succès pour lesquels le même collègue du Consul Flavius me félicitait alors qu'aujourd'hui il me menace. Mais il faut dire que ses félicitations ne m'étaient pas directement adressées mais se trouvaient dans une lettre pour le Gouverneur Vanstenus que ce dernier m'a montré. J'avais refusé ces félicitations les sachant hypocrites, et la réaction d'aujourd'hui me montre que j'avais raison."

"J'ajouterai enfin que le Consulat devait être prévenu, et qu'il l'a été. Le Censeur Orlenus a d'ailleurs indiqué que j'ai agi conformément à ce que je devais. Le Consul Tubbsarius n'a pas transmis cette information à son collègue. Acte délibérée ? Ou effet regrettable de sa maladie qui le prit peu après ? Je n'en sais rien, mais ce n'est déjà plus de mon ressort...!"

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Jeu 31 Déc 2009    

D'accord, merci navarque et merci consul.

Je crois pour ma part que nous pourrions partir de ce rapport du navarque pour établir un corps spécial dont l'objectif serait précisément de se rendre derrière les lignes ennemies en petit nombre et sans renforts ni soutien afin d'y effectuer des missions qu'une armée ne pourrait mener à bien du fait même de sa lenteur, de son manque de discretion et de ses propres objectifs qui sont la destruction de l'armée ennemie ou la prise de points stratégiques.
Revenons sur la campagne samnite dont je ne suis pas un spécialiste, étant arrivé pendant son déroulement, mais dont il m'a semblé entendre que la géographie n'était pas entièrement connue du Sénat. La ville sacrée entre autre mais aussi la topographie incomplète que nous en avions. Des hommes déterminés et sachant vivre seuls en terrain ennemis pourraient, outre l'élimination de chefs de guerre ennemis, faire oeuvre d'unités de reconnaissance et par la même occasion de saboteurs. Ils pourraient en effet être les yeux de nos armées sur des kilomètres en avant, détruire des infrastructures ennemies comme des ponts ou bien gâter les récoltes, apeurer la population ...

Que penser de tels soldats qu'on spécialiseraient essentiellement dans ce genre de mission ? Un pont détruit, ça peut être des jours de marche supplémentaires pour une armée adverse, un grenier qui brûle peut raccourcir un siège de plusieurs journées ...
Le point le plus délicat, à mon avis, serait l'utilisation de tels soldats comme tueurs des généraux adverses car il y a là, je le reconnais, question éthique. Cependant, je suis de l'avis du navarque ou du sénateur Darus qu'en temps de guerre, la chose devrait être envisagée.

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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Jeu 31 Déc 2009    


Citer
pour établir un corps spécial dont l'objectif serait précisément de se rendre derrière les lignes ennemies en petit nombre et sans renforts ni soutien afin d'y effectuer des missions qu'une armée ne pourrait mener à bien du fait même de sa lenteur, de son manque de discretion et de ses propres objectifs qui sont la destruction de l'armée ennemie ou la prise de points stratégiques.



Pardonne moi Sénateur Urbanis, mais cela relève de ceux qui ont l'Imperium Miltiae, que ceux qui le possèdent fasse comme bon leur semble sur ces dispostions, mais la durée de leur mandat et sur le territoire auquel ils exercent leur autorité. Chaque général organise ses troupes de la facon qu'il croit que cela lui servirait le mieux. Si il juge qu'il a besoin d'un corps du genre il l'établira avec l'imperium. Si il est prévoyant il le fera, mais si il n'en n'a cure c'est aussi son droit.

Les politiques et les stratégies doivent rester flexibles, car de toute facon elles sont difficiles à maintenir dans le temps. On ne peut pas légiférer sur la conduite des opérations militaire et écrire un manuel pour tirer du mieux de chaque situation...c'est du ressor d'un stratège, pas d'un législateur. Le dernier sénateur tacticien que nous avons vu à fini dévorer par ces propres chiens de guerres. *sourire en coin pour lui même.*

Tout ce qu'on peut tirer du récit du navarque, hormis son caractère d'épopée héroique à faire pleurer les Furies, c'est qu'il à fait le nécessaire avec les moyens qu'il disposait, et le sort à bien voulu l'ammene à cette opporturnité. C'était la volonté de Minerva. Un navarque trouve toujours un bon vent pour le mener à bon port dit-on... *regard en coin au navarque*

Je ne pleurais pas la mort de Caudinae qui a jeté son peuple dans une bataille insensé pour satisfaire ses appétits orgeuilleux. Peut-être par contre voulais-il donner une fin digne à ses gens, plutot que de voir son peuple décrépir et s'appauvrir à l'ombre de Rome. Mieux vaut périr à la guerre comme un beau seigneur plein de vitalité et d'assurance (regard vers Crisjerikos.) que comme un esclave dans une écurie, ou comme un viellard sénile donc la peau déssèché lui colle sur son regard hébété. Mars me préserve d'une telle fin...

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Patricien Gens Claudii
marcellus_mc@yahoo.fr
Consul en exercice
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Jeu 31 Déc 2009    

Se tourne vers Claudius

Sénateur Marcellus, tu soulèves des aspects très intéressants et qui appellent en moi de nombreuses reflexions néanmoins, je ne pensais pas imposer une quelconque stratégie à nos généraux ni même écrire de nouvelles tactiques mais, au contraire, leur apporter une arme supplémentaires dans leur arsenal, une arme polyvalente qui plus est et qui pourrait même servir la République en temps de paix.
En effet, je pense à un corps d'une centaine d'hommes divisés en dix groupes de dix et dont la valeur serait plus ou moins modélisée sur les légionnaires marins, à savoir des hommes payés pour faire ce métier et non pas seulement mobilisés en temps de guerre.
En guerre, ils seraient placés sous les ordres du consulat et chaque légion recevrait un groupe de ces hommes qui serait placé sous les ordres du légat. De là, ils pourraient servir d'éclaireurs pour l'armée, repérant le terrain, les passages et les forces ennemies à des heures de marches à la ronde. Naturellement, ils pourraient saboter les infrastructures adverses et mener des embuscades bien que ce ne seraient pas forcément leur tâche principale. Leur apport serait une bien meilleure connaissance de la topographie de la région et des forces ennemies tandis que leur entraînement particulier leur assurerait une meilleure précision, une meilleure performance en terme de reconnaissance et d'actes de guerres.
En temps de paix, ils seraient placés sous les ordres des édiles et serviraient à toute mission faisant appel à une connaissance approfondie du territoire et de la géographie en général comme le cadastre, l'exploration ou la détermination avec les ingénieurs des meilleurs emplacements pour les cités ou les colonies. Ils pourraient également servir de courriers pour les magistrats quand le message relève de l'importance capitale car ils bénéficieraient justement d'une excellente formation martiale.

Prenons la vie de tous les jours. Nous reconnaissons le rôle éminent des marchands dans le commerce, la spécialisation des agriculteurs dans la culture de nos terres ou le monopole des prêtres sur la religion. Chaque aspect de notre vie est placé sous la maîtrise d'un certain type de personne. Nous mêmes, sénateurs, nous gouvernons et sommes reconnus comme les dirigeants naturels de la République parce que nos capacités, nos compétences sont jugés primordiales à notre état.
Un soldat mobilisé, un fonctionnaire par exemple, serait-il aussi bon à reconnaître le territoire ennemi qu'un forestier ou qu'un montagnard ? Nous partons d'une armée de citoyens mais nous avons la capacité de la soutenir et de la renforcer par l'adjonction de spécialistes qui ne la remplaceront pas mais qui l'appuiront.

Voila ma pensée là dessus et elle a, à mon sens, l'avantage d'être utile également en temps de paix bien qu'il ne s'agisse pas d'un projet pharaonique mais plutôt d'une touche dans l'organisation de nos armées et de notre fonction publique.

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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Ven 01 Jan 2010    

Surpris, à son voisin :

"Les Prêtres, un monopole ? En tant que Pater Familias ou en tant que Commandant, je n'ai jamais eu besoin d'eux pour mener à bien les sacrifices qui s'imposent..."

Reprenant :

"Le problème comme tu peux le voir Sénateur Urbanis, c'est que le Sénat n'a jamais été capable de prendre une décision sur ce sujet comme je l'ai déjà dit. Si on regarde la position du Sénateur Marcellus qui considère que c'est du ressort du Général. Autant dire qu'avec cette position, Rome ne bénéficiera jamais de troupes d'élites, le Général n'étant nommé que pour une campagne, avec des hommes levés pour la même occasion..."

"Pourtant, la République a déjà tous les outils dont elle a besoin, comme je pense que la campagne samnite et le rôle de mes hommes l'ont démontré... Les hommes d'élites sont là, ils sont une réalité, et vous avez pu voir de quoi ils sont capables..."

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Ven 01 Jan 2010    

/Lui aussi calmé/

Pour ce groupe d'élite sénateur Urbanis,

Je tenais a soulever que lors de la campagne samnite, j'ai fait parvenir au gouverneur vanstenus un groupe d'un millier d'Illyriens qui ont remplis en quelques sorte ce que tu préconisais: Ils ont servis d'éclaireurs et ont permis aux troupes romains d'avancer plus aisement.

Les montagnes illyriennes étant très proches de celles du samnium,les illyriens convenaient parfaitement a ce type d'opération.

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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Sam 02 Jan 2010    

Hochant la tête :

Les avis d'hommes aguerris et expérimentés sont forcément à prendre en compte. Afin d'éclairer le Sénat sur l'idée exacte que j'ai en tête, je vous présenterais un début de projet de loi qui mettra en avant les avantages d'un tel corps en temps de guerre mais aussi ceux en temps de paix et si je ne parviens pas à convaincre la majorité des sénateurs de se rallier à ce projet, alors il sera retiré comme il se doit. Vos critiques, vos ajustements permettront peut-être d'obtenir un consensus favorable à l'institution d'un corps d'éclaireurs permanent et aguerri.

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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Sam 02 Jan 2010    

Il y a un projet de groupement d'Elite de nos soldats, dévolu à la Défense de l'Urbs certes, mais dont les membres seront sans doute mobilisables par le Consulat.

Pourquoi donc ne pas y adjoindre quelque idée?

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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Sam 02 Jan 2010    

Eh bien sénateur, j'y travailles en ce moment, de nombreux débats me prennent du temps et j'essaie de parfaire mes interventions au Sénat cependant, j'ai commencé à en lire les tablettes et j'interviendrais certainement sous peu de temps.

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