| Rapport 332 |
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Voici le rapport transmis par le sénateur Pirus :
| Citer | Le rapport PIRUS a été construit a l’image des rapports TIBERE (317) et FUGITIVUS (329).
Concernant les infrastructures religieuses :
Toutes nos provinces ne sont pas égales.
Cette situation est du a de multiples facteurs que nous n’allons pas énumérer ici.
Certaines de nos provinces sont totalement délaissées.
Afin de remédier à cette situation je préconise la construction immédiate de deux Autels dédiés à JUPITER dans les provinces du Spoletium et de Marses.
Dépenses prévues : 90 000 as.
Concernant le besoin des provinces en greniers :
Apres avoir connu de nombreux problèmes d’ordre alimentaire je propose :
Une politique de construction de grenier a grande échelle pour pouvoir atteindre 15 jours d’autosuffisance alimentaire dans chaque province.
Sur les 16 provinces énumérées ci-dessus, 8 remplissent les conditions de 15 jours d’autosuffisance alimentaire.
Les provinces ayant 15 jours d’autosuffisance assurées sont : Latium (15 jours), Sabine (15 jours), Pérouse (16 jours), Arezzo (15 jours), Cosa (20 jours), Spolietum (16 jours), Aesium (19 jours), Ombrie (17 jours).
Les provinces en dessous de ce seuil sont : Campanie (12 jours), Saturniae (10 jours), Tarquini (10 jours), Vosques (11 jours), Populonia (10 jours), Vetulonia (10 jours), Voltera (10 jours), Marses (10 jours).
Pour atteindre cet objectif, je préconiserais la construction de 88 greniers.
11 greniers en Campanie soit une dépense de 99 000 as.
15 greniers en Saturniae soit une dépense de 135 000 as.
14 greniers en Tarquini soit une dépense de 126 000 as.
9 greniers en Vosques soit une dépense de 81 000 as.
13 greniers en Populonia soit une dépense de 117 000 as.
11 greniers en Vetulonia soit une dépense de 99 000 as.
10 greniers en Voltera soit une dépense de 90 000 as.
5 greniers en Marses soit une dépense de 45 000 as.
Soit une dépense totale de 792 000 as.
Conclusion :
Les dépenses liées à mes recommandations sont au final de 882 000 as pour la construction de 90 bâtiments.
Je considère cela comme une priorité d’action.
Comme l’avait fait avant moi le sénateur FUGITIVUS, je fais un appel aux dons pour aider l’Etat à la réalisation de ce projet assez coûteux.
Pour les rapports suivants, il me semble nécessaire de signaler l’importance de l’avis des préfets issu du rapport TIBERE.
Je préconise l’intégration de l’avis des préfets dans tous les futurs rapports afin d’avoir un état des lieux complet de nos provinces.
Cet « avis des préfets » se décompose en trois catégories : 1- situation économique / 2- la perception du pouvoir central de Rome / 3- la situation de l'ordre publique. |
J'ajoute simplement que l'édilité de cette année a décidé de contrôler les rapports des préfets. Si nécessaire, nous ferons une communication altérieure à ce sujet.
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VIDRUS Maximilien
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Voici les rapports envoyés par le sénateur Ruffinus :
| Citer |
"La Campanie, en l'état actuel des choses, sera très difficile à défendre. Outre Capoue, il faudrait aussi fortifier certaines villes secondaires Cumes, Pompéi, Herculanum, Misene, ou au moins les plus proches de la frontière. En effet, malgré sa richesse, la Campanie n'a aucune fortification, et ses immenses terres agricoles permettraient à une armée ennemie de progresser rapidement, en l'absence de tout obstacle naturel ou humain. Il faut aussi se soucier de protéger la côte, assez peuplée, ce qui est un atout pour la surveiller et un inconvénient en cas de raids.
Je vais immédiatement voir avec le préfet s'il sera possible d'activer des milices côtières en cas de menace de guerre, et quelles seraient les priorités absolues en matière de fortification. |
| Citer | Le manque de défenses doit inciter le Sénat à entamer des chantiers de fortification dès aujourd'hui: Capoue, qui serait la première ville rencontrée par une armée venant de l'intérieur de l'Italie, et Salerne, première ville rencontrée en venant du sud. Si j'ai bien compris, fortifier Capoue nous coûterait 18000000 as et prendrait 7599 jours, plus les coûts d'entretien ensuite. Quant à Salerne il faudrait 4500000 as et 2533 jours. Il faut ajouter la construction de citernes, et peut-être de greniers pour tenir un long siège. Attention, ces constructions ne seront utiles qu'à long terme (8 ans pour Salerne, plus de 20 ans pour Capoue).
La protection de la côte sera elle-aussi problématique sans apport de troupes. Les villageois ne sont pas assez aguerris pour soutenir le choc même d'un petit raid et seront rétifs à l'incorporation dans des milices locales. Reste à établir comment nous pourrions disposer efficacement un ensemble de camps et de tours de surveillance de la côte pour parer aux raids. |
| Citer | « Après un séjour à Capoue qui m'a permis de constater qu'en cas d'invasion massive, aucune ville de Campanie ne disposerait de véritables fortifications, je me suis rendu chez nos alliés napolitains, chez lesquels j'ai été très bien reçu, en particulier par l'archonte Achille Herakles, qui s'est montré flatté de la visite d'un sénateur de rang
prétorien et curieux de savoir ce que Rome pensait de Naples et des exploits de Caro. L'archonte est très satisfait de l'alliance avec Rome et il en attend beaucoup, tout en étant conscient du fait que des problèmes subsistent parfois. Pour lui, désormais, « Naples n'est plus un cul de sac, et le grand commerce maritime trouve un déboucher vers la Campanie et vers Rome elle-même ». Il se félicite de la mise en place de la Grande Route, en insistant sur les devoirs de Rome à cet égard (la maintenir opérationnelle).
Même s'il affirme méconnaître les sentiments des autres cités grecques à notre égard, il souhaite comme nous que l'union de nos deux cités soit contagieuse et montre l'exemple à d'autres cités grecques. Car pour lui seule une Italie unie peut résister aux Carthaginois.
Voici les informations que j'ai pu rassembler sur le système défensif de la ville. Comme je l'avais laissé entendre, seule Naples possède des fortifications, celles-là même qui ont résisté à Rome il y a trente ans. La cité de Naples, contrairement à la province de Campanie, ne doit pas protéger une longue côte, mais la seule baie de Naples. Cette portion de la côte est donc très surveillée, et preque entièrement comprise dans les immenses remparts. De nombreuses Légions Romaines peuvent donc facilement s'y mettre à l'abri, sans trop de difficultés
d'approvisionnement tant que la flotte napolitaine contrôlera la baie.
En revanche, Naples ne possède qu'une petite garnison qui à elle seule ne peut soutenir un siège (elle ne pourrait être renforcée par les Napolitains qu'au détriment de leur puissance navale). Elle dispose bien de toutes les machines de guerre nécessaires à la défenses des murailles de la Ville mais risque de manquer de défenseurs en cas de coup dur.
L'archonte a conclu: « sans doute qu'une aide extérieure nous serait bien utile dans le cas de siège ». Rome devra accueillir très favorablement cette demande, qui vient bien des Napolitains eux-mêmes. C'est une véritable aubaine, car je rappelle que sans Naples et ses murailles, la Campanie serait un véritable boulevard vers l'Urbs!
Je vais maintenant retraverser la Campanie et me diriger vers le Nord, pour voir quel est l'état de nos défenses face à nos bouillants voisins samnites.
Vale,
CR.
Adm. des travaux. |
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VIDRUS Maximilien
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Voici les premières informations envoyées par le sénateur Claudius Caius :
| Citer | Tout d'abord, pour la route reliant rome à Ancona, elle est en assez bon état, elle pourrait supporter un flot important de marchandise et/ou de troupes, mais une rénovation peut être envisagée à plus ou moins court terme, la route date un peu.
Ca me semble déja un bon point.
Ensuite, j'ai constaté qu'Ancona ne possede pratiquement aucune infrastructures publiques. Tout juste des petits thermes. Les citoyens n'ont rien contre le port, et pense au contraire que rome pourrait en faire un peu plus pour eux, ils se sentent un peu mis de côtés, délaissés. |
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VIDRUS Maximilien
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Posté le : Lun 28 Aoû 2006 |
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Une année chargée, de nombreuses enquêtes en perspective, mais une année enrichissante !
J'ai continué l'enquête sur les Graffitis de la Domus Poussinus, démasquant ainsi le Consulaire Laudanum. Un procès pour l'année 333 sera entamé.
J'ai déclenché l'enquête sur les incendis des Domi Laneo, en Subure, et je possède une piste qui mérite d'être continué. A charge aux Ediles suivant de continuer les interrogatoires en cours.
L'enquête sur les sacrilèges des autels de Junon n'a que quelques balbutiements, mais on sait que les suspects seraient des "hommes loups" parlant illyriens... Là encore, il reste à avancer.
Sur le point des constructions les temples décidés par SC et les casernes de Vigiles ont été lancées. Ainsi que la constructions de navires ! Une politique donc pour le moins volontariste !
Je laisse la parole à mon collègue, Maximilien Vidrus.
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TARANTINUS Caius
Consulaire
Pontifex Maximus
"Ad Romae Gloriam, Ad Deorum Gloriam"
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Posté le : Lun 28 Aoû 2006 |
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Greniers : Au printemps, les greniers du Latium étaient remplis à 35 %, 15% pour le reste de la République. D'un commun accord avec l'édile Tarantinus, le taux de concession est fixé à 8 % . En effet, en plus des réserves classique il faut pourvoir au ravitaillement des légions actives, notamment en Illyrie.
Enquêtes :
* Fin de l'enquête sur le marché noir, sans preuve contre le sénateur Scipion. Par contre les sénateurs Neronus OCTAVUS, LEONUS Marcus et SCRIBONUS Maximus se sont vu infliger une amende pour entrave à l'enquête.
* Fin de l'enquête sur la corruption dans les services de la questure. Manius Tricchia, ancien maître de la sodalite de Vesta a été arrêté pour corruption de fonctionnaire. Plusieurs fonctionnaires de la questure ont également été privés de leur liberté. Enfin, le sénateur Actae a été cité dans cette affaire en tant que protecteur du système. Un procès se tiendra en 333.
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VIDRUS Maximilien
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