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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Le sénat de Rome (non à jour)
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Le sénat de Rome (non à jour)
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MJ Atlas
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Posté le : Sam 13 Déc 2008    

Le sénat est composé d’environs 300 sénateurs, dont la majorité sont des Patriciens. Depuis quelques années la loi aidant, quelques sénateurs Plébéiens ont pu faire leur entrée au sein de la noble Curie, entrée souvent marquée par la grogne des plus anciens, voyant cela comme la fin d’une époque, d’une culture, d’un choix des dieux même !

Mais ce n’est pas la seule opposition qui existe au sein du sénat, ce serait trop simple ! Les factions politiques sont également un facteur de discorde, elles sont nombreuses, revendicatrices et surtout sûr d’avoir les clés de la réussite de Rome … comment dans ces conditions ne pas s’opposer ?

Ces factions sont composés par des « meneurs », il s’agit de sénateurs connus qui n’hésitent pas à prendre la parole et à défendre leurs opinions (PJ’s) ils sont suivis par des sénateurs moins connus (PNJ’s) en fonction de nombreux critères. Le fait est qu’un ancien du sénat, riche et bon parleur, sera sans doute plus écouté qu’un simple sénateur ayant épousé une plébéienne n’ayant jamais été magistrat.

Bref tout ce petit monde cohabite et décide de l’avenir de Rome et bien malin celui qui peut se vanter de n’avoir pas besoin des autres pour avancer … on sous estime souvent l’influence des sénateurs, mais après tout, n’est pas eux qui font tourner le monde ?

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MJ Atlas
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Posté le : Ven 19 Déc 2008    

Le sénat en 350

On papote beaucoup dans les couloirs en attendant les résultats définitifs des élections.

Certains parlent de crise, d’autres plus optimistes mettent ça sur l’ambiance morose qui plane au sénat, mais beaucoup sont d’accord pour dire que le manque cruel de candidats potentiels est la cause première.

Outre cette angoisse, les conversations sont principalement axées sur le nouveau Censeur qui prendra la tête du sénat, les mauvaises langues vont bon train, mais tous espèrent voir un homme dynamique qui apportera à la curie un nouveau souffle. Ce qui est sûr c’est que le nouveau Censeur obtiendra un fort soutient au sénat, tant le poste est prestigieux, de nombreux sénateurs attendent d’ailleurs l’avis des augures pour savoir si ils doivent se ranger derrière le mystérieux Ruffinus ou le célèbre Darus.

Enfin les paris fusent pour déterminer quel Consulaire osera sortir de sa retraite pour briguer le Consulat, le nom de Valerius Quintus reviens avec insistance, il faut bien avouer que son influence est grande au sénat … mais Antonicus Cornelius ne semble pas en mauvaise posture non plus parmi les favoris.

Affaire à suivre, mais ce qui est sûr c’est que tout le monde n’attend plus que les résultats pour débattre à nouveau !

Les élections sont terminées et avec elles les suppositions quand à savoir qui sera l’homme fort du sénat. En attendant les élections suffects et celles du tribunat qui devraient encore modifier la donne, il est possible de dresser un premier état des lieux.

En remportant les élections Censoriales, Ruffinus Caius devient le sénateur le plus influent du sénat et l’on voit mal qui pourrait le contrer désormais. Les plus sages demandent d’attendre encore avant de crier victoire, mais il est évident que seul les consulaires Antonicus et Valerius seraient en mesure de l’importuner … à condition de devenir Consuls.

Quoiqu’il en soit, en ce début d’année l’effectif changeant du sénat ne permet pas encore de trouver de véritable « force » mais ce qui est sûr c’est que nombre de sénateurs moyens bénéficient de la disparition des « Généraux ». Ainsi des sénateurs comme Poussinus Actarus ou Severus Licius peuvent espérer peser sur les débats de l’année.

En bas de l’échelle quelques « jeunes » ne sont pas loin de les rattrapper à l’image de Simonus Jeromus, Charismus Lucius ou encore Plinius Victor le Jeune …

Le sénat peut enfin reprendre ses débats et déjà dans l’ombre les alliances se forgent pour une année qui s’annonce passionnante !

Les élections suffects sont en place et tout le sénat s’interroge.

La première grande question est : Publicola sera-t-il à nouveau élu. Le controversé ex-censeur semble bénéficier d’une relative influence au sénat en ce moment et ses détracteurs soulignent que l’élire Consul, ce serait lui donner les moyens de contrer par sa simple parole un grand nombre de sénateurs.

On se penche ensuite sur le choix existant entre Darus et Verres, de toute évidence ce ne sera pas simple car les deux hommes sont assez populaires au sénat … une chose est sûre Verres Consul serait une grande première étant donné son statut de Plébéien.

Les derniers mots échangés portent sur le « cas » Severus, ce Patricien pourrait bénéficier de solides appuis en remportant la préture. Rarement soutenu par la majorité de la curie, le sénateur pourrait trouver là l’occasion de faire entendre ses idées !

Qui a dit que les élections n’étaient pas politiques ?

Les heures passent et le sénat attend avec impatience maintenant le résultat des comices …

Pour le choix du Consul l’ensemble de l’assemblée n’a pas manqué de donner sa préférence au consulaire Darus. Le vote massif de la faction Mercatores contre Verres n’y est pas pour rien …

A l’édilité le choix de Severus ne semble pas convaincre et c’est avec une faible avance que les « pour » l’emportent.

Encore une fois on regrettera que l’ensemble du sénat ne se soit pas mobilisé pour participer aux élections … certains pensent encore visiblement que voter ne sert à rien, les futurs magistrats eux peuvent se frotter les mains, car chaque élection remportée est synonyme de pouvoir supplémentaire dans la noble assemblée !

C’est fait la République peut enfin se reposer et commencer à penser à faire des choix, les nouveaux Consuls Darus et Verres étant désormais en poste.

Avec cette élection, les deux hommes deviennent de véritable figure du sénat, le fait est qu’ils vont bénéficier tout au long de l’année d’une influence loin d’être négligeable.

On murmure dans les couloirs qu’a eux deux il représentent une cinquantaine de sénateurs ! Mais comme souvent ce ne sont que des rumeurs …

Le sénat en 351

Election quand tu nous tiens …

Et voilà que c’est reparti, les premières candidatures tombent et c’est avec un immense enthousiasme que le sénat constate un engouement déjà massif pour la questure.

Les années de disettes en candidats toucheraient-elles à leur fin ? Ce qui est sûr, c’est qu’un nombre important de sénateurs peu connus annoncent déjà qu’ils voteront cette année … fait assez rare pour le souligner.

Dans les différents camps, on prépare ses armes pour une bataille qui s’annonce passionnante, en tout cas une chose est sûre : ceux qui prendront des risques seront récompensés !

Quelques anciens appellent les sénateurs en état de se présenter à une magistrature à le faire, rappelant que la base première du sénat repose sur les magistrats et les élections …

L’annonce de la candidature du sénateur Decinus au poste de Consul vient de faire grand bruit …

Celui que l’on nomme l’hyperactif dans les couloirs en raison de ses rencontres avec la majorité des membres du sénat, semble vouloir enfin se décider à gravir la plus haute marche du sénat.

Controversé, car accusé par les uns d’avoir condamné injustement les généraux et adulé par les autres pour avoir eu le cran de le faire, cette candidature s’annonce comme particulièrement intéressante, à l’heure ou aucun autre sénateur n’a fait part de son envie de briguer le poste suprême.

Concernant les autres candidatures, le mouvement d’euphorie semble passé, mais une chose est sûre il n’y aura pas de perdant cette année, les candidats ayant au moins tous eu l’occasion de faire connaître leur nom !

La première vague d'élection est terminée et en attendant les suffects, on discute ferme dans les couloirs concernant les résultats annoncés.

Globalement on est plutot content de cette année bien pourvue en candidat et ou la République sera en mesure d'avancer vite et bien dès les premiers jours du printemps.

Les élections c'est aussi le moment de constater qui reste le plus influent au sénat et même si les derniers chiffres ne sont pas tout à fait exact en raison des suffects qui approchent, on peut déjà sans crainte avancer quelques noms pour ce qui sera le top 10 des sénateurs les plus influents de l'année :

RUFFINUS Caïus
TUBBSARIUS Flavius
ANTONICUS Cornelius
VALERIUS quintus
BELLANIUS Alexander
FUGITIVUS Felix
DARUS Bennitus
SEPTIMUS Marcus
VARUS Spurius
PUBLICOLA Titus

Affaire à suivre !

Le sénat en 352

Archives détruites

Le sénat en 353

Archives détruites

Le sénat en 354

Elections catastrophiques, voila ce qui ressort en ce petit printemps qui s’annonçait pourtant sans grande conséquence.

Pour certains c’est évidement la faute de l’OE qui a brusquement voulu faire payer les écarts de la faction Optimate à chaque candidat volontaire pour devenir magistrat.

Pour d’autres c’est simplement la passivité extrême des candidats qui se paye, après tout qui est en mesure d’affirmer avoir vu Labienus sur le marché ? Atilius aux thermes ? Dobrasus sur le forum ?

Toujours est il que les suffects sont lancées et que l’on espère un peu plus d’engouement, car pour le moment le grand gagnant de l’histoire reste le Consul Decinus, seul maître à bord d’une République à la dérive, rongée par des débats houleux entre la Plèbe et le Patriarcat … et si finalement Decinus n’était pas la cause de tout ça ? Si finalement ne s’agissait il pas d’une ruse de Decinus pour écarter ses adversaires ?

Des mauvaises langues il y en a toujours, des remarques aussi.

Quelques noms profitent également pour ressortir cette année, Flavius Aetius et Julius Vanstenus, qui assurément viennent de renforcer leurs auras à la curie, il s’agira maintenant de s’en montrer digne.

Les élections sont terminées ! Enfin diront certains … il ne reste plus qu’a nommer le nouveau Censeur, ce qui devrait au passage bouleverser l’ordre des sénateurs les plus influents de Rome.

Aux premières estimations c’est bien évidement le Censeur Ruffinus qui est en tête mais plus pour longtemps bien évidement. Derrière c’est le Pontife qui mène la danse suivi par l’ancien Censeur Antonicus.

La curie de cette année à été très touchée par le récent débat sur l’intégration des plébéiens au sénat et sans nul doute le nouveau Censeur décidera du chemin à prendre …

Suspens donc à quelques heures de la nomination de l’homme qui deviendra le plus puissant du sénat.

Estimation des 10 sénateurs les plus influents de la curie :

RUFFINUS Caïus
TUBBSARIUS Flavius
ANTONICUS Cornelius
DECINUS Mairus
AQUAE FLAVIAE Viriato
DARUS Bennitus
SEPTIMUS Marcus
DETRITUS Tullius
LABIENUS Flavius
VARUS Spurius

Rome possède enfin sa pléiade de magistrats et l’année semble pourvoir reprendre son cours normalement, une question est cependant sur les lèvres de tous ici à la curie.

Quelles seront les décisions du nouveau Censeur Darus en matière de répression et d’intégration ?

Une chose est sûre, il est devenu le sénateur le plus influent de la Curie …

L’édile Aetius semble prendre très au sérieux sa charge d’édile, à tel point qu’il à lancé une vaste opération au sein de sa magistrature et de celle des autres … On ne sait pas véritablement ce que les fonctionnaires ont ordre de chercher, mais en tout cas ils cherchent … toutes les archives de la Questure et de l’Edilité, encore en état d’être consultées sont étudiées de prêt … assurément un homme de bien cet édile !

On raconte ça et là que le Consul Decinus à essuyé plusieurs revers ces dernier temps à la Curie … nombre de ses invitations à sa domus sont tombées à l’eau … du moins c’est ce que semble raconter certains Optimates vantards.

Le sénat en 355

Les temps sont durs, c’est en tout cas le slogan parfait que l’on pourrait employer pour parler des élections au sénat … pas de choix, un consul et basta … voila à quoi va ressembler le sénat pour l’année 355.

Le grand engouement d’il y a quelques années pour les magistratures semble s’être estompé et c’est bien dommage.

Serait il inutile de parler du Consulat ? Pas sûr tant le Consul Plébéien Decinus semble agacer avec ses positions pro OE … quelle sera la réaction du sénat cette année ? Chacun réserve secrètement son vote, n’osant même pas en parler à son voisin de peur qu’on le juge mal avisé.

Pour la Préture bien entendu c’est plus la frustration qui règne, on dit d’ailleurs que le Consulat pourrait en faire les frais … tout le monde sait au combien le sénat n’aime pas concentrer les pleins pouvoirs dans les mains d’un seul homme !

A l’édilité les choses sont bien différentes, les trois candidatures présentes des atouts de poids et l’on pourrait obtenir un duel intéressant … d’autant que les votes vont s’avérer déterminant pour la suite, l’ordre de présentation aux comices ayant ici un très fort intérêt.

Pour la Questure, trois place, trois candidats et déjà on regrette que les Questeurs sortant n’aient pas pu se présenter … une erreur est si vite arrivée et celle là n’a semble t’il pas mis la République en danger, qu’importe, la lex est la lex et il faudra se contenter d’une élection sans saveur, puisque les trois candidats sont assurés d’être présentés aux comices. Les vieux de la vieille hurlent à qui veut l’entendre que c’est enlever tout pouvoir au sénat, tandis que les jeunes ambitieux se frottent les mains, suffit de convaincre les comices qu’ils disent …

355 ne sera sans doute pas une grande année mais plutôt une de ses années de transition où la République attend sagement que l’hiver prochain pointe son nez, ce genre d’année où chacun préfère se taire tant il est inutile de vouloir faire avancer les choses … pauvre de Rome, pourvu que cela ne dure pas et que 356 donne enfin le choix !

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Posté le : Ven 19 Déc 2008    

Le sénat en 356

Les élections sont déjà de retour et c’est l’occasion de faire un état des forces en présence au sein de la noble Curie.

D’ores est déjà le top 10 est avancé comme chaque année :

DARUS Bennitus
AQUAE FLAVIAE Viriato
FUGITIVUS Felix
ANTONICUS Cornelius
SEPTIMUS Marcus
POUSSINUS Actarus
JUNIUS Lucius
DECINUS Mairus
DETRITUS Tullius
LABIENUS Flavius

C’est en toute logique que le Censeur loge tout en haut de ce classement, à noter la bonne place du sénateur Junius qui bénéficie d’une très forte aura au sein de l’assemblée.

La proportion de plébéien au sein de l’assemblée reste toujours aussi faible, les récents événements ayant par ailleurs largement contribué à cela, puisqu’il est de notoriété publique que les relations OE (d’où proviennent la majorité des sénateurs plébéiens) sénat, sont des plus froides.

Ce que l’on espère pour cette année c’est un regain d’attrait pour les postes de magistrat, regain qui permettrait une concurrence saine et bénéfique pour la République et surtout des magistrats capables de faire aller Rome de l’avant et de s’engager dans des projets à long terme.

D’un point de vue rumeur, on raconte qu’un sénateur cherche à épouser une jeune et jolie fille de sénateur, reste à savoir qui de l’argent, l’honneur ou la politique, auront le dernier mot dans cette histoire.

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Posté le : Jeu 12 Mar 2009    

Le sénat en 358

Après la folle année 357, marquée par des événements plus ou moins tragique, Rome découvre le printemps avec soulagement, espérant avoir là l’occasion de repartir du bon pied.
A ce titre les élections prennent une importance particulière, puisque cette année il faudra choisir un nouveau Censeur. Tout le monde espère que ce nouvel homme fort sera capable de ramener l’ordre et surtout faire repartir Rome du bon pied. Les mauvaises langues grincent quand même des dents en rappelant que le Censeur Darus se vantait lui aussi de ramener l’ordre et l’obéissance et tous sont d’accord pour dire que le Censeur doit être le premier à appliquer les règles qui régissent la République.

Bref la République attend avec une certaine impatience les résultats des comices, pour commencer une année dont le mot clé semble être : fermeté !

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Posté le : Mar 07 Avr 2009    

Le sénat en 359

Le règne du Censeur Aquae commence peu à peu et déjà dans les couloirs on se félicite de l'activité de l'homme. Le classement des sénateurs les plus populaires à la Curie n'est pas encore connu, mais tout le monde annonce que le nouveau Censeur tiendrait facilement la barre.

Si certains tremblent à l'idée de voir leur nom disparaitre du glorieux registres, d'autre attendent avec impatience d'y voir inscrit le leur ... la période des grands changement semble approcher à vive allure.

Coté traité, une très forte opposition du sénat se fait sentir sur le traité avec l'Egypte, on racconte que le blé Egyptien est si facile à faire pousser qu'il serait en mesure de ruiner toute l'économie Romaine ... à n'en pas douter la rumeur est l'oeuvre de grands propriétaires terriens Romains, mais la Curie n'est elle pas composé uniquement d'agriculteur ? On dit que le consulaire Septimus mène la danse.

Une autre lex fait débat, celle de la réforme de la Censure proposée par feu le consulaire Darus. Une partie du sénat commence à se positionner contre cette lex qui irait à l'encontre des principes ancestraux de la Curie. Cette opposition serait l'oeuvre du consulaire Antonicus et rien que ce nom suffit à refroidir les ardeurs des défenseurs du projet.

A suivre ... (HJ : mise à jour sous peu avec le top 10 des sénateurs)

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Posté le : Sam 20 Jui 2009    

Le sénat en 361

Petit tour des forces et faiblesses en présence avec le top 10 des sénateurs les plus influents de la Curie :

AQUAE FLAVIAE Viriato
TUBBSARIUS Flavius
POUSSINUS Actarus
ANTONICUS Cornelius
DECINUS Mairus
FUGITIVUS Felix
VANSTENUS Julius
DETRITUS Tullius
BARREZUS Collegius
BELLANIUS Alexander

Etrangement le Pontife n'est pas dans le liste, il semble payer son absentéisme (rappelez vous de vous connecter à votre bureau régulièrement)

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Posté le : Dim 22 Nov 2009    

Le sénat en 364

Ces dernières années le mouvement conservateur du sénat à grandement bénéficié des Censeurs successifs. D'ici quelques temps le nom des sénateurs les plus influents de la Curie devrait être connu (rappelez vous de vous connecter à votre bureau régulièrement) mais d'or et déjà on est en mesure d'annoncer qu'il ne fait pas bon être plébéien à la Curie ...

La satisfaction de l'année, c'est sans doute la bonne activité des magistrats, la République semble peu à peu retrouver de l'entrain pour les magistratures "Nobles", à savoir celles qui composent le Cursus Honorum et la plupart des anciens s'en félicitent !

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MJ Séléné
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Posté le : Dim 01 Aoû 2010    

Le Sénat en 369.

L'épidémie a frappé durement le sénat. Pas moins d'un tiers de la curie dû être renouveler pour palier aux différents décès.
Dans cet atmosphère un peu chaotique, chacun tente de sortir son épingle du jeu.

Top 10.

- ORLENUS Arturus
- Fugitivus Felix
- POUSSINUS Actarus
- VANSTENUS Julius
- FLAVIUS VERUS Philippus
- PETRONIUS SABINUS Publius
- BARREZUS Collegius
- BUSTOS Dominicus
- DECINUS Mairus
- DOBRASUS Clodianus

Mais les cartes restent flous et aucun n'est sûr de de conserver cette influence très longtemps. Le censeur Orlenus tire bien son épingle du jeu, beaucoup de sénateurs nouvellement entrés au Sénat lui devant leur inscription sur l'album.
D'anciennes figures reviennent également et espèrent bien reprendre leur place. D'ailleurs, les sénateurs Flavius AETIUS Martialis et JUNIUS CAMILLUS Lucius sont élus à de hauts postes de responsabilité.

L'épidémie a eu également pour effet de mobiliser le sénat. Derrière les grandes figures emblématiques du Sénat, divers courants de pensée, d'idéologie, se forme.

Les progressistes sont les sénateurs qui souhaitent voir les lignes bouger, le sénateur Getebus en tête.

Les modérés regroupent tous ceux qui prônent une politique volontaire de Rome en respectant certaines valeurs. Le sénateur Moirus, notamment, résume parfaitement ce courant de pensée.

Les pragmatiques, aussi appelés par les cyniques "réserve de voix", réagissent sans idéologie précise mais selon les cas et les situations. Les mauvaises langues parlent régulièrement d'une idéologie qui suit la direction du vent. Le sénateur Proyas fait parti de cette force vive du Sénat.

Les conservateurs n'ont pas besoin de s'expliquer. Traditionalistes, ne voyant un futur que dans un respect profond du passé, poussant parfois à l'extrême ce sentiment de supériorité, ils sont nombreux à siéger au sénat et représente en ce moment la plus grande force à la curie. Le sénateur Massimus est très en vu dans le rôle du sénateur conservateur.

Si le Sénat a paru être un peu amorphe ces dernières années, nul doute que les sénateurs souhaitent aujourd'hui inverser la tendance.

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MJ Séléné
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Posté le : Mar 21 Sep 2010    

Le Sénat en 370.

La reconstruction se poursuit et le Sénat n'échappe à la règle. Un retour, orchestré par les deux censeurs successifs Orlenus et Poussinus, qui se fait sous le signe du conservatisme.

La répartition actuelle du Sénat:



Top 10 des sénateurs les plus influents.

- POUSSINUS Actarus
- ORLENUS Arturus
- FUGITUVUS Félix
- VANSTENUS Julius
- BUSTOS Dominicus
- PETRONIUS SABINUS Publius
- FLAVIUS VERUS Philippus
- FLAVIUS AETIUS Martialis
- JUNIUS CAMILLUS Lucius
- BARREZUS Collegius


Un semblant d'ordre s'affirme et les nouvelles nominations des flaminats majeurs mettent un coup de projecteur sur les quatre choisis des Dieux.

La montée en puissance de jeunes sénateurs, héritiers de grande gens, retient l'attention du Sénat. Ils sont beaux, ils sont frais, ils sont prometteurs, mais tiendront-ils sur la longueur?

Le Sénat siège dans sa quasi totalité en ce moment, tous les sénateurs souhaitant sortir Rome du marasme ambiant.

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MJ Mars
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Posté le : Dim 09 Jan 2011    

Le Sénat en 371

Le Sénat s'est peu à peu reformer et la reconduction du sénateur Orlenus comme Censeur marque pour quelques années encore l'importance des tendances conservatrices du Sénat.


Top 10 des sénateurs les plus influents

- ORLENUS Arturus
- FUGITIVUS Felix
- VANSTENUS Julius
- POUSSINUS Actarus
- SEVERUS Licius
- JUNIUS Lucius
- PLINIUS VICTOR LE JEUNE Lucius
- BUSTOS Dominicus
- FLAVIUS VERUS Philippus
- BARREZUS Collegius


L'âpre lutte pour l'influence au Sénat continue et comme chaque année , un sénateur voit son crédit augmenter quand un autre qui avait connu la reconnaissance du sénat l'an passé voit son influence diminuer.

Le Tribun PLINIUS VICTOR , Tribun pour la 4eme fois , voit sa persévérance reconnue , tandis que le Consulaire VANSTENUS est apprécié de plus en plus de sénateurs pour sa volonté de combler l'édilité et sa réaction face à l'incendie de l'Argilète. Enfin le sénateur SEVERUS , porté pour la première fois au Consulat , entre enfin dans le cercle des Consulaire . Consul pour cette année, sa voix est désormais écoutée avec intérêt.

Le Sénat attend patiemment l'évolution des relations diplomatique de Rome et s'interroge sur la voie à suivre.

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MJ Mars
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Posté le : Dim 20 Fév 2011    

Le Sénat en 372

Avec le temps , les habitudes politiques évoluent ainsi que les conceptions de ce qu'il y a accomplir pour la République . Au Sénat , de nouveaux sénateurs ont développé des idées nouvelles , mais ne se sentant pas les capacités de porter leur idéaux, attendent qu'un personnage illustre ou courageux les portent à leur place. Ainsi 3 nouveaux courant de pensées , ultra minoritaires , ont émergés au sein du Sénat tandis que désormais les courants de pensées plus anciens sont appelés différement , gardant cependant les memes sénateurs et les même idéaux.

Aujourd'hui on peut définir au Sénat 6 courants de pensées !:

Les Aristocrates
: Courant composé de la majorité de ceux qu'on appelait conservateurs. Ils défendent le pouvoir oligarchique de la noblesse patricienne. Ils défendent les idées traditionnels et conservatrice. Au niveau diplomatique , ils ont horreur de voir Rome traiter avec un peuple démocratique et défendront l'établissement de pouvoir oligarchique à l'étranger.

Les Populares : Ce courant composé de patriciens ou plébéiens divers défendant la plèbe contre toute forme d'oligarchies qui oppressent la plèbe. La plupart d'entre eux proviennent du courant appelé anciennement "progressiste" et qui se sont radicalisé dans leur conception politique. Ils sont le parti de la multitude contre celui de l'oligarchie. Ils préfèrent les changements bouleversants et directes aux évolutions lentes. Au niveau diplomatique , ils sont neutres et peu impliqué .Ils préfèrent voir Rome traiter avec les régimes démocratique.

Les Impérialistes : Ils croient en la mission civilisatrice de Rome et pensent qu'elle ne peut se diffuser que par une politique volontaire de Rome , par la force ou la diplomatie affirmée. Ils sont peut interessée par les débats plèbe/patriciat mais ne prennent parti que si un parti ou l'autre menace l'équilibre de la société. Ils veulent faire de Rome un Etat puissant qui s'appuient sur des moyens militaires prompte à assujettir le reste du monde , pour son propre bien.

Les Isolationnistes : Pour eux , la République Romaine doit se limiter à ses frontières actuelles et ne pas chercher querelle à l'étranger. Ils préfèrent des relations cordiales avec le reste du monde et prônent l'idée que chacun doit balayer devant sa propre porte. Rome doit d'abord chercher à se renforcer intérieurement , défendre son pré-carré et régler ses propres travers avant de chercher à s'installer chez les autres et dans des contrées lointaines et barbares. Ils sont peut interessée par les débats plèbe/patriciat mais ne prennent parti que si un parti ou l'autre menace l'équilibre de la société.

Les Ploutocrates : Ce courant de pensée est peuplée de gens divers , nobles patriciens ralliés aux vertus de l'or , chevaliers arrivées au terme de l'ascension sociale par la fortune et plébéiens opportunistes. Ils défendent le partie des affaires et des richesses. Leur mesure phare est la suppression de l'interdiction du commerce pour les sénateurs . Ils défendront toute mesure permettant à Rome de s'enrichir et d'enrichir avec elle ceux qui travaillent , en soutenant les mesures commerciales ou diplomatique avec un potentiel d'enrichissement pour Rome.

Les Progressistes : Ce courant de pensées , regroupe tout ceux qui veulent voir venir une évolution de la société tout en maintenant les cadres fondamentaux de la société romaine. Ils regroupent un bon nombre de sénateurs anciennement modérés et progressistes. Attachés aux lois et à l'équilibre social , il refuse les conflits intra romains et préfèrent voir les problèmes se régler dans la douceur et la négociation , pour maintenir l'équilibre. Au niveau de la diplomatie , ils préfèrent la négociation à la guerre qui constitue pour eux un dernier recours.

Les Neutres : Ce sont les jeunes sénateurs qui arrivent au sénat sans connaitre ses règles profondes ou ceux qui préfèrent garder leur liberté d'opinion ou pensent en fonction des orateurs et des situations. On les appelait également les pragmatiques

Ce sont actuellement les aristocrates qui ont le plus de représentations au Sénat , suivi des progressistes et des Populares , sans compter le reservoirs de sénateurs neutres


Top 10 des sénateurs les plus influents

- ORLENUS Arturus
- POUSSINUS Actarus
- VANSTENUS Julius
- FLAVIUS VERUS Philippus
- SEVERUS Licius
- FUGITIVUS Felix
- BUSTOS Dominicus
- BARREZUS Collegius
- JUNIUS Lucius
- PETRONIUS SABINUS Publius


Se sont quasiment les mêmes noms que l'on site et respecte le plus cette , au Sénat. Toujours en au summum de ce Sénat , le Censeur ORLENUS , dont les rares mots prononcés sont considérés comme des lois par une bonne part des sénateurs , non sans incompréhension de certains sénateurs. Le sénateur POUSSINUS , avec ses nombreux détracteurs , montre cette année qu'il garde encore beaucoups supports au sein du Sénat et est perçu désormais comme le deuxieme personnage le plus influent au Sénat et à Rome. Suit enfin le sénateur VANSTENUS à la troisième position , tirant profit du respect qu'on lui porte pour tenir le role d'Edile alors que son rang ne l'y oblige pas. Le seule nouveau personnage est le sénateur et consulaire PETRONIUS , dont le Sénat attend encore de lui beaucoup de choses.

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MJ Bacchus
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Posté le : Sam 13 Oct 2012    

Le Sénat en 380

En cette fin d'année 380, la plus forte tendance est toujours la force aristocrate qui représente un peu plus d'un quart de l'hémicycle. Néanmoins, les forces progressistes sont quasi à égalité, puisqu'elles représentent elles aussi près du quart de l'assemblée. Ainsi, on peut évaluer le coup de contrebalancier du censeur Vanstenus, qui a soutenu cette dernière faction, face à celle du censeur Orlenus qui avait privilégié la frange aristocratique du Sénat.
Néanmoins, notons que malgré cela, le parti des sénateurs « neutres » reste d'un poids quasi équivalent également avec plus du cinquième de l'effectif. Cela signifie qu'ils peuvent faire balancer un projet de loi d'un côté à l'autre de l'assemblée.
Les populares restent faiblement représentés avec un dixième de l'assemblée.
Les tendances isolationnistes, impérialistes ou ploutocrates sont actuellement marginales au Sénat, puisqu'ensemble elles représentent à peine d'un vingtième de l'assemblée.
Enfin, notons que quelques sénateurs sans étiquette, qui ne se classent même pas dans la catégorie neutre, subsistent également et forment près du dixième de l'assemblée.

Les sénateurs influents peuvent être classés dans cet ordre

A tout seigneur tout honneur, le sénateur le plus influent du Sénat est le Censeur Petronius. Son influence actuelle de par sa fonction et son parcours est telle que sa parole est écoutée par de nombreux sénateurs.

Ensuite nous avons un trio aux poids similaires. En effet, les influences du Consul Tubbsarius, du Pontife Barrezus et de l'ancien Censeur Vanstenus s'équivalent.
La récente élection au Pontificat, après avoir atteint le consulat, a permis au sénateur Barrezus d'atteindre le podium.
Le Consul Tubbsarius, de par son parcours personnel, ainsi que l'appartenance à une gens qui a déjà eu des ancêtres illustres, a lui aussi une influence certaine sur ces correlégionnaires.
L'ancien censeur Vanstenus, grâce à ses nombreuses années de magistrature, est lui aussi un des quatre personnages dont la parole est la plus écoutée au Sénat. Néanmoins, on sent que son étoile palit quelque peu progressivement au profit des nouveaux magistrats qui se présentent aux suffrages des Romains.

Le Préteur Flaminius, récemment réapparu au Sénat, bénéficie, comme le consul Tubbsarius, non seulement de son parcours personnel mais de l'aura de sa gens.

Le Consul Arius Saxa et le Consulaire Poussinus ont eux aussi une parole qui compte au Sénat. La récente élection au consulat du sénateur Arius n'est pas pour peu de choses dans cette situation. Par contre, l'influence du consulaire Poussinus tient plus à son action passée et à l'histoire de sa gens. Son influence quoique toujours présente s'érode quelque peu.

Le navarque Verus, fort de ses consulats, garde une influence certaine au Sénat. Et même si ces fonctions actuelles de navarque l'ont quelque peu éloignées du Sénat, lorsqu'il vient quémander des fonds pour la Marine, il est rare que les sénateurs ne soient pas convaincus.

C'est avec surprise que l'on retrouve ensuite l'aura du vieux consulaire Severus. Ce dernier, quoique fort en retrait de la vie politique, peut toujours convaincre des sénateurs lors de ses prises de participations très vives lors des débats.

Le tribun Labienus et le prétorien Dobrasus viennent ensuite. L'un grâce à son parcours au tribunat et à l'honorabilité de sa gens qui lui donnent une capacité de conviction sur ces collègues, l'autre grâce à son cursus honorum, ainsi qu'à l'histoire de sa famille.

Enfin, apparaissent deux nouvelles gens qui étaient encore inconnues récemment des Romains. En effet, le tribun Vinicius et l'édile Marius Postumus arrivent ex-aequo en douzième place. Tous deux ont forgé leur réputation au Sénat par leur capacité à avoir conquis des postes importants de magistrats, que ce soit au tribunat ou à l'édilité.

Les consulaires Urbanis et Orlenus gardent toujours une aura certaine sur le Sénat. Mais étant donné leur retrait actuel du Sénat, ils n'ont pas été pris en considération.


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MJ Quirinus
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Le Sénat en 389

Si depuis près de dix ans les grands ensembles de pouvoirs au Sénat n’ont pas évolué, les Aristocrates et les Progressistes représentent toujours chacun un quart du Sénat, et les neutres un cinquième, l’influence des censeurs Petronius et Marius se sont fait ressentir sur les marges.

Ainsi on note une radicalisation du Sénat : Tandis que les jeunes sénateurs non alignés régressent en nombre au fur et à mesure qu’ils prennent position au sein de, ce sont les factions impérialistes et isolationnistes, lourdement soutenue respectivement par le Pontife Petronius et le Consulaire Sergius qui augmente légèrement en influence mais reste moins important que la faction populare, qui regroupe les plebeiens du Sénat, et represente un dixième du Sénat.

Au niveau des Sénateurs les plus influents, ce sont deux anciens du Sénat qui, par leur parcours et les fonctions occupés, le Pontife Petronius et le Consulaire Vanstenus que suivent nombre de Sénateurs.

Le Préteur Badinus se montre lui aussi influent sans atteindre le niveau des deux précèdents, un Consulat semble manquer à celui que nombre de Sénateurs promettent à une grande carrière politique, dejà bien etablie.

Vient ensuite un ensemble étonnant de sénateurs qui se sont construit seul, tel le Preteur Cornelius Scipio et les Consulaire Sergius et Marius, de gens renommées mais souvent absentes du Sénat, comme les Carmanovii et les Caius Julii et de jeune sénateurs profitant de la renommée de leur gens pour se lancer dans le cursus honorum comme les questeurs Verus et Severus.

Enfin, avant la masse indistincte de nouveaux arrivants et de sénateurs suiveurs, le Questeurs Lafrenius se distingue par une influence croissante quoi qu’encore légère.

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Le retour d'un certain nombre de sénateurs et fils de sénateurs n'a que légèrement changé le jeu des alliance en ce moment alors que les romains s'attendent a des renversements et des cristalisations d'alliance durant la campagne electorale en cours :

Le Censeur Vanstenus reste le sénateur le plus influent du Sénat, le Pontife Petronius aurait vu son influence diminué en evoquant sa demission du Pontificat. Le Prêteur Badinus reste le troisième homme fort du Sénat.

Derrière ce trio de tête, Le retour aux affaires du Flamine de Mars Flaminius perturbe un peu la donne puisqu'il s'inscère dans un groupe d'influence équivalente emmené par le victorieux proconsul Sergius et l'actuel Consul Macedo, avec eux suivent le Prétorien Cornelius Scipio, le Flamine de Mercure Caius Julii et les deux questeurs Verus et Lafrenius.

Enfin on remarque la rentrée rapide des nouveaux sénateurs Dobrasus et Poussinus, porté par leur nom et les réseaux familiaux, qui font jeux égal avec les tribun Salvius et Droneos et l'Edile suffecte Crassinus

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Printemps 393

Alors que les Comices se préparent a voter pour élire les magistrats de l'année, on note plusieurs changements dans les forces du Sénat notamment après la mort du Pontife Petronius qui laisse le Censeur Vanstenus comme Sénateur le plus influent du Sénat, même si ses récents "absence" du Sénat on un peu érodé ses soutiens.

A sa suite vient un trio de magistrats, les Consuls Caius Julii et Badinus et le préteur Septimus qui s'affirme comme l'un des piliers des aristocrates.

Derrière eux, plusieurs sénateurs luttent pour acquérir ou conserver l'influence qui fera d'eux les futurs hommes fort de Rome : Le Flamine de Mars Flaminius, malgré les rumeurs de grave maladie, les Consulaires Sergius Ahenobarvus et Cornelius Scipio, malgré leur éloignement chez les Anares en guerre, le Prétorien Severus Longus, le Preteur Lafrenius Clarus, le Tribun Getebus et son comparse populares le sénateur Droneos, l'Edilitaire Carmanovius, le Questeur Cornelius Drusillus et l'Ambassadeur Détritus Campanus.

Enfin, mené par le jeune sénateur Petronius Pugnator Felix viennent les jeunes loups qui rêvent de conquérir pouvoirs et honneurs : les sénateurs MAXIMUS THRAXA Max, LAFCADIUS Mamercus, GAIUS IULIUS Serenus, PORCIUS CATO Lucius, SEVERUS APER Secundus et quelques autres...

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