| Lex Plinia de Publica Salubritate |
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VANSTENUS Julius
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Inscrit le : Dim 04 Nov 2007
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 Posté le : Lun 05 Nov 2007 |
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Malgré mon inexpérience, je trouve le projet que tu relances intéressant, Plinus.
Toutefois, je me permets un commentaire ou l'autre. Quel est le budget de tous ces ouvrages et la République a-t-elle les moyens de les payer ?
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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386. |
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PLINIUS VICTOR Le jeune
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Inscrit le : Jeu 19 Juil 2007
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Posté le : Mar 06 Nov 2007 |
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Sénateur Vanstenus,
Je suis actuellement en train de travailler sur le coup de ces extensions.
Pour autant, je vous le rappelle, ces extensions ne font pas partie du corps du projet de loi que j'ai repris.
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Historien de la République
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Edile 362 |
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PLINIUS VICTOR Le jeune
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Posté le : Mer 14 Nov 2007 |
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Consul, censeur, il semble qu'il n'y ait pas d'opposition à ce projet essentiel pour le bien être des habitants de Rome, première pierre dans le projet plus global du sénateur Rogus visant à améliorer la salubrité à Rome.
Peut-il être mis aux votes ?
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VANSTENUS Julius
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Inscrit le : Dim 04 Nov 2007
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Posté le : Jeu 15 Nov 2007 |
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Sénateur Plinus, tu nous avais dit que tu étais en train de travailler au coût des extensions.
As-tu des précisions ?
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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
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Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386. |
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PLINIUS VICTOR Le jeune
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Nb de messages : 1166
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Posté le : Ven 16 Nov 2007 |
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Sénateur Vanstenus, je viens de recevoir les conclusions de l'étude que j'ai demandée à la sodalité des artisans.
Si l'on se tient au plan proposé, le budget des travaux d'assainissement serait le suivant:
latrines 50000 as
deux réservoirs, 30000 as
un sous-total de 80000 as
EXTENSION DE LA CLOACA MAXIMA:
première phase d'extension 50000 as
seconde phase 45000 as (les quartiers sont moins huppés et les rues plus larges)
troisième phase 35000 as
dernière phase 30000 as.
Un sous-total de 160 000 as.
Au total, un budget d'investissement de 240 000 as. Ce budget reste raisonnable d'autant que l'extension de la cloaca maxima se faisant en plusieurs phases, il peut être étalé sur deux, trois voire quatre ans.
Reste à voir si le Sénat souhaite intégrer ces travaux dans mon projet global de salubrité ou le voter par SC. Dans le premier cas, mon texte définitif aurait la forme suivante:
| Citer | Lex Plinia de Publica Salubritate, votée en l'an 349, xxx et xxx Consuls, sur proposition du sénateur Plinius Victor Lucius et applicable dès son approbation par le Sénat et le Peuple Romain et les Dieux
Article I: création du service de ramassage et de nettoyage de Rome
Un service de ramassage des déchets ménagers, de l'urine et des excréments humains est mis en place. Il est sous la responsabilité des services de l'édilité.
Ce service comprend les effectifs et matériels suivants:
300 esclaves masculins
50 mulets
50 chariots
Ces effectifs et ce matériel correspondent à un seuil minimum d'efficacité. Ils peuvent évoluer en nombre par simple édit édilaire à la hausse ou à la baisse, pour autant que le seuil minimum ne soit pas remis en cause.
Son siège est un bâtiment de type villa graduata, dont la construction est à la charge de l'Etat sur fonds publics ou provenant de l'évergétisme. Sa localisation doit être centrale dans l'Urbs
Le coût afférent à son fonctionnement est à la charge exclusif des édiles. Ce coût comprend l'entretien des esclaves, des mulets et des charettes et celui du batîment destiné à entreposer le matériel et les esclaves.
Article II : des missions du service de ramassage
Titre I: collecte des déchets
Ce service de ramassage est chargé de la collecte de l'urine d'une part, et des déchets ménagers et excréments humains d'autre part dans toutes les rues de l'Urbs.
Les modalités de cette collecte sont du ressort de l'édilité.
Les déchets ménagers et excréments recueillis sont entreposés dans des espaces clôturés de murs prévus à cet effet à chaque porte de Rome. Ces déchets ménagers et excréments, utilisables pour le compostage, sont à disposition de tout particulier. Celui-ci assure lui même le retrait des matières dont il a besoin aux points de dépôt du service de ramassage.
L'urine est déposée dans des lieux de réception décidés en partenariat avec les différents corps de métiers pouvant l'utiliser. Les édiles ont à charge l'entretien des infrastructures destinées à la réception de l'urine. LA construction de ces infrastructures est à la charge de l'Etat sur fonds publics ou provenant de l'évergétisme. L'élimination finale de l'urine par rejet dans le Tibre est une responsabilité des corps de métier l'utilisant. Ceux-ci, en concertation avec l'Edilité qui mettra ses moyens logistiques à disposition organiser le rejet de cette urine, ce rejet ne pouvant se faire, sous peine d'amende, qu'en aval de Rome intra muros.
Titre II : Entretien des latrines publiques et de la cloaca maxima
Le service de ramassage est chargé de l'entretien des latrines publiques ainsi que des égoûts de Rome.
Titre III: Entretien des bâtiments de l'Etat
Le service de ramassage et de nettoyage de Rome a la charge de l'entretien et du nettoyage des bâtiments publics de l'Etat.
Titre IV: De la navigabilité du Tibre
Le service de ramassage et de nettoyage de Rome peut être utilisé, pour une durée courte, à des missions de nettoyage et de curage du Tibre, afin de maintenir son niveau de navigabilité.
Titre V: de l'entretien des voies pavées.
Le service de ramassage et de nettoyage de Rome à la charge de l'entretien des rues pavées de Rome intra muros.
Article III : De l'hygiène publique
Chaque propriétaire d'insula ou de villa, à défaut d'une proximité directe de la cloaca maxima avec le bâtiment concerné - soit une cinquantaine de pas maximum, est chargé de disposer à l'entrée du bâtiment dont il est propriétaire deux jarres de 30 litres chacune, l'une destinée à recueillir l'urine, l'autre les déchets ménagers et excréments. Ces deux jarres doivent êtres pourvues de quatre anses et d'un bouchon.
ARTICLE IV : De la construction d'infrastructures relative à l'hygiène publique
L'Etat entreprend la construction de 20 latrines publiques, 2 réservoirs, 2 entrepôts pour l'urine aux emplacements prévus sur la carte fournie en "annexe"=http://images2.hiboox.com/images/4507/947s62nz.jpg
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VANSTENUS Julius
Autorisation : Modérateur
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Inscrit le : Dim 04 Nov 2007
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Posté le : Sam 17 Nov 2007 |
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Sénateur Plinius, je te remercie de ta diligence.
Pour autant que je sache (car nous n'avons pas vu les résultats budgétaires de l'année précédente ni les prévisions pour cette année), les chiffres mentionnés me paraissent tout à fait acceptables. Par ailleurs, cela peut s'insérer dans le projet de construction globale lancé par le Consul Septimus et cela ne le contredit en rien.
Très bien sénateur. Ton projet me semble bien ficelé.
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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386. |
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BELLANIUS Alexander
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Inscrit le : Mer 30 Aoû 2006
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Posté le : Dim 18 Nov 2007 |
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***...Bellanius presente un texte dont il ne connaissait pas l'existence...***
| Citer | Lex Tullia 316 - De l'entretien des Cloacae Secondaires
La loi sur l'entretien des Cloacae Secondaires, adoptée en l’an 315 après la fondation de Rome, sous l’égide des Consuls Andronicus Titus et Cornelius scipio Publius , sur proposition du sénateur Tullius Antonius Grollius, est applicable à partir de maintenant dans tous les territoires de la République romaine.
Préambule :
Suite aux récentes inondations qui ont montré les limites du systèmes d'entretien des Cloacae Secondaires par les habitants des dits quartiers, le Sénat statue sur leur entretien et leur nettoyage.
Par la présente loi, le Sénat ordonne que l'entretien des Cloacae secondaires, estimé à 300.000 as par an, soit effectué le soin des Ediles et payé par les fonds de l'Etat. |
Qu'en est-il de cette loi?
***...Il cherche des yeux un Edile dans la salle...***
Je le demande parce que si cette loi datante presque sept lustres n'a pas obtenu son but on devrait se demander pourquoi avant d'en approuver une nouvelle sur le sujet.
Et quitte a eviter l'inutilite d'un Corpus Iuris gigantesque et souvent oublie, nous devrions penser a amender voir abroger des lois existantes avant d'en proposer des autres.
Senateur Plinius Victor, j'apprecie ton travail au profit de la salubritas.
Je te souhaite l'aide des Ediles (d'ex-Ediles aussi au cas ou) et je t'invite a presenter au Senatus un rapport sur l'application de cette Lex Tullia.
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Marie avec Antonia
Ne en 291 aUc. Senator ab hieme 325. Huit fils. Quaestor 333-334-335; 340-341; 349; 364-365. Aedilis 350. Praetor 351 (vere.) |
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PLINIUS VICTOR Le jeune
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1166
Inscrit le : Jeu 19 Juil 2007
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Posté le : Dim 18 Nov 2007 |
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Je te remercie, sénateur Bellanius, pour avoir déniché ce texte.
D'une part, je vais modifier mon propre texte pour abroger cette loi.
D'autre part, la somme avancée pour l'entretien des cloaca secondaires, qui y figure, me paraît faramineuse, compte tenu de la somme donnée par la sodalité des artisans quant à l'extension de la cloaca maxima.
Il y a fort à penser que ce texte n'a jamais été appliqué. Je vais ajouter à mon texte un article pour veiller à ce que mon texte ne subisse pas la même sort.
| Citer | Lex Plinia de Publica Salubritate, votée en l'an 349, xxx et xxx Consuls, sur proposition du sénateur Plinius Victor Lucius et applicable dès son approbation par le Sénat et le Peuple Romain et les Dieux
Préambule:
Cette loi abroge la lex Tullia 316 - De l'entretien des cloacae Secondaires
Article I: création du service de ramassage et de nettoyage de Rome
Un service de ramassage des déchets ménagers, de l'urine et des excréments humains est mis en place. Il est sous la responsabilité des services de l'édilité.
Ce service comprend les effectifs et matériels suivants:
500 esclaves masculins
50 mulets
50 chariots
Ces effectifs et ce matériel correspondent à un seuil minimum d'efficacité. Ils peuvent évoluer en nombre par simple édit édilaire à la hausse ou à la baisse, pour autant que le seuil minimum ne soit pas remis en cause.
Son siège est un bâtiment de type villa graduata, dont la construction est à la charge de l'Etat sur fonds publics ou provenant de l'évergétisme. Sa localisation doit être centrale dans l'Urbs
Le coût afférent à son fonctionnement est à la charge exclusif des édiles. Ce coût comprend l'entretien des esclaves, des mulets et des charettes et celui du batîment destiné à entreposer le matériel et les esclaves.
Article II : des missions du service de ramassage
Titre I: collecte des déchets
Ce service de ramassage est chargé de la collecte de l'urine d'une part, et des déchets ménagers et excréments humains d'autre part dans toutes les rues de l'Urbs.
Les modalités de cette collecte sont du ressort de l'édilité.
Les déchets ménagers et excréments recueillis sont entreposés dans des espaces clôturés de murs prévus à cet effet à chaque porte de Rome. Ces déchets ménagers et excréments, utilisables pour le compostage, sont à disposition de tout particulier. Celui-ci assure lui même le retrait des matières dont il a besoin aux points de dépôt du service de ramassage.
L'urine est déposée dans des lieux de réception décidés en partenariat avec les différents corps de métiers pouvant l'utiliser. Les édiles ont à charge l'entretien des infrastructures destinées à la réception de l'urine. LA construction de ces infrastructures est à la charge de l'Etat sur fonds publics ou provenant de l'évergétisme. L'élimination finale de l'urine par rejet dans le Tibre est une responsabilité des corps de métier l'utilisant. Ceux-ci, en concertation avec l'Edilité qui mettra ses moyens logistiques à disposition organiser le rejet de cette urine, ce rejet ne pouvant se faire, sous peine d'amende, qu'en aval de Rome intra muros.
Titre II : Entretien des latrines publiques et de la cloaca maxima
Le service de ramassage est chargé de l'entretien des latrines publiques ainsi que des égoûts de Rome.
Titre III: Entretien des bâtiments de l'Etat
Le service de ramassage et de nettoyage de Rome a la charge de l'entretien et du nettoyage des bâtiments publics de l'Etat.
Titre IV: De la navigabilité du Tibre
Le service de ramassage et de nettoyage de Rome peut être utilisé, pour une durée courte, à des missions de nettoyage et de curage du Tibre, afin de maintenir son niveau de navigabilité.
Titre V: de l'entretien des voies pavées.
Le service de ramassage et de nettoyage de Rome à la charge de l'entretien des rues pavées de Rome intra muros.
Article III : De l'hygiène publique
Chaque propriétaire d'insula ou de villa, à défaut d'une proximité directe de la cloaca maxima avec le bâtiment concerné - soit une cinquantaine de pas maximum, est chargé de disposer à l'entrée du bâtiment dont il est propriétaire deux jarres de 30 litres chacune, l'une destinée à recueillir l'urine, l'autre les déchets ménagers et excréments. Ces deux jarres doivent êtres pourvues de quatre anses et d'un bouchon.
ARTICLE IV : De la construction d'infrastructures relative à l'hygiène publique
L'Etat entreprend la construction de 20 latrines publiques, 2 réservoirs, 1 entrepôt pour l'urine aux emplacements prévus sur la carte fournie en annexe http://images2.hiboox.com/images/4507/947s62nz.jpg
L'Etat entreprend l'extension de la cloaca maxima en plusieurs phases selon le plan prévu sur la carte fournie en annexe.
ARTICLE V : Du suivi et de l'application de ce ce texte
Les travaux et extensions prévus par ce texte sont soumis à examen de l'Administrateur des travaux.
La non-application de ce texte par les services de l'édilité, durant une legislature est un motif recevable d'inélégibilité sur une période de deux ans pour les édiles en exercice à toutes les magistratures du cursus honorum.
SPQR |
Pour rappel, la mise en place de ce projet a un coût:
A charge exclusive des édiles élus: 25000 as / an(entretien des esclaves, du matériel, des animaux)
Constructions:
Villa graduata, siège des services de nettoyage:
45000 as
Constructions de latrines, de réservoirs, de l'entrepôt pour l'urine, extension de la cloaca maxima:
240000 as
Coût total d'investissement:
285000 as.
On peut estimer, en comptant l'achat du maéirel, des mulets et des esclaves à 300000 au total l'investissement.
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SEVERUS Licius
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Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Dim 18 Nov 2007 |
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La salubrité de l'Urbs, et le bien être de la plèbe n'ont pas prix Sénateur Plinus, j'espère que tous s'en rendront compte.
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Roma Est Imperare Orbi Universo.
Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.
Pro- Préteur au Samnium en 365.
Primatus Legatus en 364.
Préteur absent en 363.
Edile- 347, 357, 358, 359.
Questeur- 343, 344 et 362.
Mail: severuslicius@yahoo.fr |
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PLINIUS VICTOR Le jeune
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Posté le : Mar 20 Nov 2007 |
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Acquiesce à la remarque du sénateur Severus
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PLINIUS VICTOR Le jeune
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Posté le : Mer 21 Nov 2007 |
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Consuls, censeur, ce projet semble avoir l'approbation du Sénat. Peut-il être mis aux votes ?
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Caius Marius Poplicola
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Posté le : Mer 21 Nov 2007 |
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A quoi bon faire une loi alors que des édits de l'édilité ou de la Preture suffiraient ? A quoi bon mobiliser la curie, les Dieux, le Peuple pour ce genre de loi. Il serait vraiment irreligieux, irrespectueux du marbre où sont gravées les lois d'y écrire une règlementation sur la gestion des excréments. Et puis si le Sénat se mobilise pour agrandir la cloaca maxima, les latrines, et j'en passe. Devons-nous réellement nous compromettre ? Je ne pense pas, Sénateur PLINIUS vois-tu que la loi que tu proposes est ubuesque ?
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PLINIUS VICTOR Le jeune
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Posté le : Mer 21 Nov 2007 |
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Je crois surtout que tu t'opposes pour t'opposer.
Vois-tu, sénateur Marius, ce texte définit de nouvelles compétences pour l'édilité, crée un service d'entretien de l'Urbs, précise ses missions. Un édit consulaire ne serait pas suffisant.
Quant à ton argument sur la "souillure" du marbre, je ne ferai aucun commentaire dessus. En revanche,quotidiennement le citoyen romain qui parcourt les rues de notre cité souille ses vêtements, souille sa propre personne.
Les enfants de citoyens jouent dans les immondices, les citoyens eux-mêmes vivent dans les immondices. Voilà une souillure qui m'indispoe vraiment, plus que celle du mot déchet ou excrément sur du marbre.
Quoi, suivant ta logique, nous devrions enlever ces mêmes mots de notre langue qui nous sert aussi à honorer nos dieux ?
Ce texte, les romains l'attendent depuis plusieurs années. Tes rivalités personnelles, ton animosité envers ma personne et ma gens ne doivent plus le retarder. Je croyais pourtant que tu t'intéressais au sort de nos concitoyens...
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Caius Marius Poplicola
Autorisation : Membre
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Posté le : Mer 21 Nov 2007 |
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Et bien que ton projet avance...qui sait si il aboutira
Sourire
Je suis préssé que ta gens laisse son nom dans notre histoire avec l'installation de Plinusienne.
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PLINIUS VICTOR Le jeune
Autorisation : Membre
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Posté le : Mer 21 Nov 2007 |
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Si les "Plinusiennes" constituent un progrès pour Rome, peu m'importe d'associer le nom de ma gens à des latrines. Seul compte l'intérêt des Romains.
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