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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Villa Carmanovia
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Villa Carmanovia
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MJ Orcus
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Inscrit le : Mer 01 Nov 2006
Posté le : Lun 04 Déc 2006    

Quelques jours plus tard arrive un petit convoi de Sabine. Il s'agit du beau père de Julius Carmanovius et de sa suite.

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Orcussomètre

Perperam eventurum est quicquid perperam evenire potest
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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Sam 06 Jan 2007    

Il se sont visiblement encroûtés, pour le plus grand bonheur de Drusilla, mais pas pour celui d'Ipsos et Sofres, maintenant à peu près remis de leurs dures épreuves, et qui râlent chaque jour un peu plus à propos de la surcharge de travail qu'ammènent tous ces goinfres Sabins sur leurs pauvres épales de convalescents.

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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Lun 08 Jan 2007    

Joie et félicitée!

Une nouvelle naissance est venu réveiller la Villa Carmanovia en 343.
La petite Gaïa est donc la nouvelle fille de Julius Sabinus Carmanovius. Voilà qui le consolera peut-être de la mort et/ou disparition de ses 4 premières.
En tout cas, l'heureux père n'aura pas perdu de temps durant son bref retour l'hiver dernier.

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CARMANOVIUS Julius
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Inscrit le : Dim 20 Aoû 2006
Posté le : Lun 08 Jan 2007    

Bon, ceci dit, ça n'est qu'une fille, la fête est donc restée privée, et nettement moins fastueuse qu'à la naissance de Juliannus (qui fait ses premières dents).

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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Lun 22 Jan 2007    

Un cavalier venant du Sud est arrivé tôt ce matin à la Villa Carmanovia, porteur d'une missive visiblement urgente.

Si la nouvelle a ravi la plupart des vieux domestiques de la maison, elle n'a pas eu le même effet sur Drusilla, la femme du maître.


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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Sam 03 Fév 2007    

Dans l'attente du retour du maître, Julius Sabinus Carmanovius, parti combattre l'ennemi Grec au Sud de l'Italie, la vie continue dans la Villa Carmanovia, mais bien plus paisible... Sauf depuis deux jours. Chacun semble s'affairer en tout sens, comme si quelque dieu facétieux avait donné un grand coup de pied dans cette petite fourmilière.

Les cris du petit Juliannus, né peu après le départ de son père au Sud et qui n'a, dans sa vie, passé que quelques semaines avec lui, résonnent plus souvent qu'à l'accoutumée entre les murs, généralements suivi de près par ceux de Hélios le Beau, son précepteur. Visiblement, toute cette agitation l'excite au plus haut point.
Payé une fortune par la Gens Carmanovia, le "pauvre" maître s'efforce d'apprendre au bambin qui n'en est encore qu'à percer ses dents des rudiments d'art militaire, afin qu'il fasse honneur à son père lorsque ce dernier reviendra (enfin) du siège de Tarente. Mais après une déjà difficile leçon de mythologie le matin, ou bien que mimée par des esclaves pour être rendu plus compréhensibles, les scènes religieuses proposées par son précepteur l'ont fermement ennuyées, le jeune Juliannus semble plus décidé à trouver des camarades de jeu que des professeurs de stratégie.

Il tombe finalement, et littéralement, sur Ipsos et Sofres, les deux intendants de la Gens Carmanovia. Il est vrai que la descente des escaliers à quatre patte la tête la première n'est pas l'entreprise la plus aisée au monde.

Ravi de récupérer brièvement la surveillance du bambin, avant que sa mère ne le rende à son précepteurs, les deux intendants s'éclipsent bien vite vers les Jardins Carmanoviens, le petit Juliannus dans les bras. Ils alpaguent bien vite une jeune esclave pour transporter le précieux petit maître à leur place, et entament une ballade dans les allées ombragées des grands Jardins.
Ils quittent bien vite la partie privée pour entrer dans l'espace public, saluant au passage le cerbère Sabin de service à l'entrée privée, qui leur emboîte le pas sitôt qu'il reconnait leur précieux compagnon. Les consignes de sécurité à son sujet son visiblement des plus strictes.
Déambulant dans les allées, le jeune Juliannus gazouillant à côté d'eux, ils s'arrêtent devant chaque statue d'un aïeul Carmanovien, et expliquent à chaque fois en quelques mots simple au jeune maître qui visiblement n'en a cure les hauts-faits et les anecdotes croustillantes à ce sujet.
Devant l'impatience manifeste de Juliannus et son envie pressante de gambader, ils se rendent finalement sur l'une des trois place des Jardins, et ordonnent à la jeune esclave de relâcher le bambin au centre. Après quoi, laissant le cerbère et m'esclave en plein soleil surveillant l'enfant et éloignant les simples passants, les deux intendants vont s'asseoir à l'ombre d'un cyprès.

C'est en se reposant tranquillement tout en contemplant Juliannus marcher à quattre patte sur la mosaïque représentant la charge héroïque de Lucius Sabinus Carmanovius le Consul contre des révoltés Démocrates en 325 qu'Ipsos et Sofres se mettent à deviser de la situation de leur Gens.
Le Pater Familias Julius Carmanovius étant en campagne au Sud, le tout jeune enfant qu'ils ont sous les yeux serait le dernier représentant de cette Gens centenaire dont les racines remontent plus loin encore que la fondation de Rome, si un malheur arrivait. Et le manque de nouvelle du front cette année finit par devenir inquiétant. C'est précisément pour cette raison que Drusilla, l'épouse du maître, à ordonné à la maisonnée de se mettre en branle. Elle part au Sud avec une partie de ses gens, laissant la plupart d'entre eux à Rome veilleur sur le tout jeune Juliannus. Les deux intendants sont partagés sur le meilleur choix...
Accompagner Drusilla et risquer la mort près de la zone des combats?
Ou bien rester en sécurité à Rome, mais avoir la terrible responsabilité de la sécurité du tout dernier Carmanovius?
Finalement, les deux amis décident de tirer au sort et de se partager la tâche. Les Dieux en décident rapidement: Ipsos restera à Rome tandis que Sofres accompagnera la maîtresse de maison au Sud.

Et c'est sur cette bonne résolutions qu'ils se relèvent et ordonne au Sabin et à l'esclave de reprendre le chemin de la Villa avec Juliannus. A l'entrée de la partie privée des Jardins, Hélios le Beau les attendants, fulminant visiblement. Les deux intendants lui remettent l'esclave qui porte le jeune bambin prestement, puis le regardent repartir vers la Villa, fulminant en Grec quelques malédictions connue de lui seul en ces lieux.
Après quoi, ils gravissent à leur tour la pente qui mène à l'entrée de service de la Villa Carmanovia pour reprendre leur service après cette pause.


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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Sam 03 Fév 2007    

A peine Drusilla et Sofres partis pour le Sud en grand équipage, Ipsos apprend par son marchand de poisson favori, lors d'une livraison, qu'une grand équipage de punique vient d'arriver à Ostia. Et du navire ont débarqués un Carthaginois d'une grande prestance et deux petites filles.

En quelque seconde, l'infortuné intendant fait le lien avec la missive reçu du Sud voilà quelques mois, et c'est tout affolé qu'il se rend compte qu'il est le seul maître à bord de la Villa pour la réception du plus précieux colis imaginable par Julius Carmanovius son maître!


IPSOS: Heykellus! Jeykellus!!

Affolé, il finit par sortir dans la rue, mais tombe enfin sur l'un des deux hommes, qui se préparait à entrer dans l'enceinte de la Villa.

Heykellus: Qu'y a t'il, Ipsos?

Ipsos: Ou est Jeykellus? Non, laisse... Habille toi tout de suite de la plus belle des manière, mais confortablement pour voyager. Je t'envois sur la Via Ostiensis avec un bel équipage, jusqu'à ce que tu croise un convoi de puniques.

Heykellus: Jeykellus est dans l'arrière coure pour l'entraînement hebdomadaire des gardes, et j'allais le rejoindre... Qu'est-ce que c'est que cette affaire? Des amis puniques du maître?

Ipsos: Pire! Enfin, mieux!! Si j'en crois la rumeure, Olympia et Narnia, les deux filleq que notre maître avait laissé à Syracuse avant son naufrage nous sont rapportée par un notable Punique dont le nom m'échappe! Alors ne perds pas une minute, il s'agit de ne pas faire mauvaise impression, notre maître Julius voudra certainement couvrir de cadeau ce punique, il est hors de question que nous le recevions moins dignement qu'un Consul!

Heykellus: Olympia et Narnia? Tu es sur de toi?? On n'a pourtant pas eu de nouvelles d'elles depuis... Plus de cinq ans, non?

Ipsos: Notre maître Julius nous a envoyé une missive il y a quelques semaines pour nous prévenir: elles ont été retrouvées en Sicile, et un de ses amis va nous les ramener... Je crois bien que c'est aujourd'hui le cas. Et même si la rumeur se trompe, je préfère ne pas prendre de risque! Cours donc, pendant que je demande à Jeykellus d'appréter notre garde, et que je m'occupe de refraîchir la Villa.

Heykellus: Et Dame Drusilla qui vient de partir pour le Sud avec notre plus belle équipage... J'ai peur qu'elle ne soit partie avec quelques jours d'avance. Et Julius risque de ne pas apprécier que la Villa soit vide pour accueillir ses filles chéries... Enfin, c'est là un problème qui ne nous concerne pas

Ipsos: Cesse donc de penser et agis, par les Dieux, le temps presse! Si les puniques arrivaient maintenant alors que rien n'est prêt pour eux, nous en mourrions de honte!

Visiblement gagné à son tour par l'excitation de l'intendant, Heykellus, en bon fidèle second des Carmanovius, s'empresse d'entrer dans la Villa pour s'appréter. Il en ressort une demie-heure plus tard, suivi par trois gardes Sabins, montant les quatres plus beaux chevaux disponibles de la Gens. Ils quittent rapidement l'Urbs par la Via Ostiensis pour aller à la rencontre du convoi punique.
Pendant ce temps, Ipsos a battu le branle-bas de combat dans la Villa. Les fours des cuisines ont été allumés, des esclaves porteurs de commandes sont partis vers tous les traiteurs de la ville ou presque pour ramener des aliments en quantité suffisante pour la grande soirée qui s'annonce. Tous les étendards de la Gens sont sortis pour habiller chaque murs de tissus coloré. Dehors, les jardiniers s'affairent à rendre les parterre encore plus présentable, tandis qu'une mutlitude de torche sont plantées dans les allées, en cas d'arrivée tardive des Puniques.
Ipsos, après avoir donné tous ces ordres, est parti s'enfermer dans un bureau, dont il n'est sorti que pour donner à deux jeunes esclaves deux missives importantes.


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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Sam 03 Fév 2007    

Jeykellus, de son côté, à fait préparer la garde de la famille pour l'accueil de tels dignitaires, et l'entraînement martial s'est rapidement transformé en exercice à la formation de haies d'honneurs. Une fois leurs fondamentaux vérifiés, chaque garde Sabin a été libéré pour ramener, récurer puis se faire inspecter son plus beau matériel, aux couleurs de la Gens Carmanovia bien entendu.

Ipsos, de son côté, n'en finit plus d'écrire. Après les deux missives de tantôt, c'est une plus longue lettre qu'il envoit par messager jusqu'en Sabine, prévenir Cordonius Boursus, l'intendant "historique" de la Gens Carmanovia, de la bonne nouvelle, et de la probable arrivée prochaine des filles.

Ca n'est qu'une fois toutes ces tâches terminées qu'il soffre enfin un bref moment de répit, regardant avec satisfaction l'agitation ordonnée régnant dans la Villa. Mais à la vision d'une tenture mal accrochée par un esclave etrusque négligent, il perd tout sourire et se précipite sur l'infortuné, replongeant pour toute la fin de la journée dans une agitation frénétique.


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FLAMINIUS Gaius
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Autorisation : Modérateur
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Posté le : Sam 03 Fév 2007    

En une fin de journée comme les autres, le consulaire Flaminius Gaius, accompagné de sa femme, se présente à la domus Carmanovia

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Consul actif et ancien 'plein trucs'.
Qui a fait ca ? Je te trouverai...
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MJ Mercure
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Posté le : Dim 04 Fév 2007    

La délégation punique arrive à la villa Carmanovius vers le milieu de l'après midi.

L'ambassadeur se présente à l'intendant qui s'approche.


Avé, je suis l'ambassadeur Abdosir de Carthage, je suis ici en compagnie de Melcar, noble punique et habituellement détaché auprès de l'ambassadeur romain de Carthage. Nous ramenons chez elles les filles du grand Julius Carmanovius. Nous les avons retrouvées à Syracuse.

Il fait signe de la main et les deux fillettes s'avancent en compagnie de Melcar. Celles ci regardent la villa et l'intendant avec curiosité et le salut.

C'est en grec qu'elle s'exprime, la plus grande se reprend et recommence dans un latin assez hésitant mais la plus jeune continue en grec. Abdosir et Melcar se regardent un peu géné


Il va falloir un certain temps pour qu'elles se réhabituent à Rome et au latin, continue l'ambassadeur dans son latin parfait, elles sont si jeunes.....ont-elles déjà vécu à Rome ???

Ils échangent quelques mots en punique, puis Abdosir s'adresse à l'intendant.

Ton maître est toujours dans le sud....pourrions nous voir la maîtresse des lieux ?

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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Dim 04 Fév 2007    

L'intendant, visiblement géné lui aussi...

Hum, hélas, messire, ma maîtresse est parti au Sud voilà quelque jours à peine pour prendre des nouvelles de son mari, le Légat Julius Carmanovius.

... euh Mais pour pallier son absence, j'ai fait inviter ici même trois des plus grands dignitaires de Rome. Le Pontifex Maximus et Consulaire Tubbsarius, le Consulaire Flaminus, et le Censeur Antonicus. Euuh... Ce dernier est comme un second père pour mon maître Julius, et si vous avez quoi que ce soit à lui transmettre, vous pouvez en toute confiance en passer par lui.

Euuuh... Nous donnons aussi une petite réception ce soir, en l'honneur du retoursi longtemps attendus d'Olympia et de Narnia.

S'inclinant encore plus bas:
Euuh... Et pour répondre à votre question, Olympia a passé deux années à Rome, et Narnia une seule, avant de rejoindre pour un an leur père à Carthage durant son ambassade, puis d'être retenu par leur grand père de longues années. Euuh... Cela leur a permis d'échapper au terrible naufrage qui a décimé leurs jeune soeurs et leur mère, mais malheureusement elles ont fini par être prises dans la tourmente de la guerre...
Euuh... Toutefois, tout finit pour le mieux, puisqu'elles retrouvent enfin leur famille grace à vos belles victoires en Sicile. Et dès que mon maître Julius en aura fini avec nos propres grecs du Sud, il pourra s'atteler à leur relatinisation.

Mmh... Si vous le permettez maintenant, laissez moi vous guider dans les Jardins Carmanoviens puis la Villa, pour la petite réception. Le précepteur du jeune Juliannus, héritier de la Gens, s'occupera d'olympia et de Narnia pour la soirée, avec leurs anciennes nourrices.

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MJ Mercure
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Inscrit le : Ven 25 Aoû 2006
Posté le : Dim 04 Fév 2007    

Abdosir et Melcar semblent quelque peu déçus de ne trouver personne à la villa. Ils échangent quelques mots en punique puis Abdosir répond à l'intendant.

Intendant, nous serons heureux de participer à cette petite réception en l'honneur des deux filles de la maison revenues. Nous rencontrerons avec plaisir les hommes que tu as cités et cela permettra également à Melcar et sa suite de se reposer un peu.

Il pourra d'ailleurs parfaire son latin qu'il prononce toujours avec cet horrible accent...petit sourire moqueur en direction de Melcar qui répond d'un haussement des épaules.

Allons donc profiter de l'hospitalité romaine.

La petite troupe entre donc dans la villa Carmanovius et se prépare à la petite réception.

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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Dim 04 Fév 2007    

Ipsos leur présente rapidement le Consulaire Flaminus, arrivé juste avant eux, puis les laisse deviser de politique en allant guetter l'arrivée du Censeur et du Pontifex, anxieux de la déception Punique pourtant bien compréhensible...

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FLAMINIUS Gaius
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Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
Posté le : Dim 04 Fév 2007    

Le consulaire Flaminius, non remarqué par la délégation Puniques, sort de l'ombre et va les saluer.

HJ : on continue par email ?

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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Dim 04 Fév 2007    

HJ: Si tu veux happy.gif Oublie pô Antonicus et Tutube dans ce cas.

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