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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Discours de candidature au tribunat (Hiver 368)
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Discours de candidature au tribunat (Hiver 368)
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CARNEUS Tiberius
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C’est un jour qu’il avait annoncé. Ce jour-là, Tiberius Carneus Oceanus, dit “Le Navarque” en raison des vingt années passées dans la marine, arrive sur la place des rostres. Sa candidature pour le Tribunat de la Plèbe n’est plus un secret depuis longtemps et il ne s’en était jamais caché.
Alors que bien des orateurs arrivent toujours bien entourés de leurs clients et des personnes acquises à leur cause, on voit le Sénateur arriver seul sur les lieux. S’il a indiqué quand se tiendrait son discours, il n’a obligé personne à se joindre à lui. On le voit, vêtu d’une armure qui semble particulièrement serrée.
Marchant à travers la foule, il a tôt fait de se hisser sur les rostres et semble attendre quelque peu que sa présence soit notée, puis il lève les bras et pousse un puissant appel pour appeler au calme :


“Romains !”

Tiberius attend encore quelque peu qu’un silence relatif gagne la place, puis il se lance dans son discours en restant rarement statique, fixant toujours son regard mouvant sur différentes personnes de l’assistance.

“Romains,

Vous me connaissez : je suis Tiberius Carneus Oceanus, Sénateur romain. Vous m’avez longtemps vu à Ostie, lors des Neptunalia. Mais aujourd’hui, vous savez pourquoi je suis là : vous parler de ma candidature au Tribunat de la Plèbe.

...Le Tribunat de la Plèbe... Une vaste fonction... On a vu souvent des Sénateurs patriciens se présenter un peu par surprise à cette fonction... L’envie de gloire ?

Pour ma part, vous savez que cette décision ne sort pas de nulle part. Avant de la prendre, je l’ai mûrement réfléchie, et surtout, je m’y suis préparé. Depuis près de quatre ans maintenant je ne cesse de rendre visite à l’ordre équestre ou me promener dans les rues lorsque mes fonctions m’en laissent le temps, pour être au contact de cette plèbe que je connaissais déjà un peu par ma fonction de Navarque. Je me suis adonné à de longues discussions avec les chevaliers ou avec les citoyens de la rue. Qui ici peut dire que j’ai fui le moindre débat que l’on cherchait à m’imposer ? Qui ici peut dire que j’ai tourné le dos à celui qui venait pour me faire des remarques ?
Non, ma candidature se prépare depuis longtemps, parce que tout comme j’ai toujours considéré qu’un bon Navarque doit connaître la mer avant de prendre le poste, je considère que celui qui veut être Tribun doit se préparer à ce poste... et on ne s’y prépare pas en allant tater le cul des vaches seulement pendant une période d’élection !

Mais pourquoi me feriez-vous confiance ? C’est une question que l’on m’a posé, car il est toujours étonnant qu’un Patricien porte un intérêt au Tribunat de la Plèbe, n’est-ce pas ?”

En disant cela, Tiberius insiste légèrement sur le mot de plèbe, et laisse également un petit silence avant de reprendre.

“Plusieurs raisons... J’ai des convictions, un programme, une vision de la République que le poste de Tribun de la Plèbe me permettrait de mettre en place. Mais avant de vous les présenter, n’est-il pas mieux, Citoyens, que je dissipe encore les craintes, les doutes ? Et que j’explique pourquoi je me soumets à vos votes en vous demandant de me faire confiance ?

Je me suis préparé, et me sens à présent prêt pour assumer cette charge. Mais ce n’est pas tout. Il y a une chose que je revendique : la proximité avec le peuple de Rome et avec la Rome de nos Pères ! La Rome de Romulus et de ses compagnons. Je l’ai à maintes fois montré ! Pendant vingt ans de Navarcat, je ne suis jamais resté très longtemps à Rome. J’ai toujours été aux côtés des marins... Qu’ils témoignent donc si on met ma parole en doute ! Pendant la guerre au Samnium, je partageais mon quotidien avec les soldats. Officier supérieur, certes, mais souffrant les mêmes maux que vous, chargeant comme vous, affrontant l’ennemi et risquant ma vie comme n’importe quel soldat. Et que les vétérans témoignent donc si on met ma parole en doute ! De même, pendant l’épidémie que nous venons de traverser... j’étais quotidiennement dans le quartier dont j’avais pris la charge. Tous les matins, j’arpentais les rues, apportait mon aide aux habitants dans cette épreuve. Et qu’ils témoignent donc si on met ma parole en doute !
Et il y a une autre chose que je revendique comme je l’ai dit : la fidélité à nos racines... Des racines qui se perdent profondément pourtant. Car oui, tout comme j’ai brandi le fer pour la République, je n’ai jamais renoncé à manier la faux. Quiconque me connaît un peu sait que j’habite une ferme, que je veille encore personnellement sur mes champs, et que je plonge encore mes mains dans la terre. La terre qui ne ment pas. Pourquoi ? Parce que je n’ai pas oublié que nous sommes à la fois des soldats et des agriculteurs.

Aujourd’hui, ces valeurs se perdent... même au Sénat où on m’a traité de bouseux et méprisé en tant qu’infirme. Pourquoi ? Parce que je connais encore la valeur des choses ? Parce que je ne me vautre pas dans le luxe comme un punique ? Parce que mon corps porte les traces de la guerre que j’ai menée avec vous ? Parce que mes mains travaillent la terre ?”

Tout en discourant et en posant ses questions, Tiberius continue de marcher de long en large sur les rostres, avec force gestes, levant les mains pour les montrer à sa dernière question. Puis finalement il s’arrête et laisse retomber ses bras le long du corps, gardant quelques secondes le silence avant de reprendre doucement :

“Parce que je vis comme la majorité d’entre vous ?”

Encore une fois, il s’interrompt, laissant son auditoire dans le silence, avant de reprendre d’une voix plus forte et plus affirmée que jamais :

“Voilà pourquoi, Quirites, vous pouvez me faire confiance ! Parce que je suis l’un de vous ! Parce que je suis Romain ! Parce que chacune de mes actions, chaque fibre de mon corps, chaque parcelle de mon âme est romaine ! Parce que JE SUIS ROMAIN !”

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
Navarque 358-362, Navarque Maximus 363, puis Navarque de la Zone Ouest 364-367,
Navarque-Adjoint 347-358.
°Légat-Adjoint lors de la campagne 364 au Samnium. Surnommé "l'Avatar" par ses hommes°

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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

C’est un véritable cri du coeur que “le Navarque” avait poussé. Et laissant un instant la foule réagir, il tire de sa ceinture une petite gourde dont il vide d’un trait le contenu avant de s’essuyer les lèvres et de reprendre, calmé :

“Voilà pourquoi, fils de la Louve, vous pouvez me faire confiance... Mais est-ce que je viens les mains vides ? Évidemment non. Je n’ai pas passé les quatre dernières années à vous fréquenter pour vous demander de voter pour moi sans projet. De fait, j’ai un projet, et plusieurs engagements !”

Mes engagements sont les suivants : durant ces vingt années écoulées au service de Rome, j’ai toujours considéré que ma place de Navarque était avec mes hommes, sur la mer. En tant que Tribun, j’appliquerai la même volonté et la même détermination à me trouver parmi le peuple de Rome. Il n’y aura rien de plus facile, pour qui souhaite me trouver, de s’entretenir avec moi, car le Tribun de la Plèbe n’est pas le chef de la Plèbe, contrairement à ce que d’autres ont pu penser. Il en est son représentant et son protecteur ! Et pour protéger, il faut bien sûr être là ! Et je serai là, j’en prends l’engagement !
De même, on dit la plèbe diverse, partagée entre la riche et industrieuse plèbe que sont les plus riches des chevaliers et les pauvres et basse plèbe. Mais je me propose au Tribunat DE LA plèbe, non pas D’UNE plèbe. Aussi, chacun peut être assuré d’obtenir de moi le même intérêt, la même écoute, quel que soit sa condition, s’il venait à moi. Pas de privilège, pas de passe-droit, pas de préférence. Une attention égale à tous ceux qui estimeront que leurs problèmes relèvent du Tribunat ! Je les écouterai tous, j’en prends l’engagement !
J’ai également dit avoir une certaine vision de la République. Je ne suis pas un révolutionnaire qui rechercherait le Tribunat pour s’opposer au Sénat. Nos institutions sont les meilleures qui soient, mais elles peuvent être corrompues par certains hommes qui ont oublié ce que c’est d’être Romain, qui préfèrent se comporter en étrangers et vont jusqu’à mépriser ceux restés fidèles aux anciennes valeurs comme je l’ai dit plus haut ! Avec l’aide de l’aura d’un Tribun, je m’opposerai toujours à ces êtres corrompus qui n’ont pas la place dans notre République, j’en prends l’engagement !

Et puis, nous sortons tous d’une terrible épreuve... Rome est à reconstruire, nous avons nos plaies à panser, des morts à pleurer. Dans les lendemains de cette épreuve terrible, vous pourrez bien sûr compter sur moi pour vous assister. Nous surmonterons ensemble l’épreuve infligée, j’en prends l’engagement !

Enfin, mon projet. Le projet concerne l’aide à la plèbe, sujet qui a toujours préoccupé les différents Tribuns. Pour ma part, je compte en finir avec cette impression qu’il existe des “profiteurs”, des oisifs qui préfèrent ne rien faire pendant que d’autres Romains se démènent pour s’enrichir et enrichir la République ! Il est cependant vrai que les aléas de la vie font que cette aide peut se retrouver être absolument nécessaire pour des familles qui n’ont rien de parasites !
Mon projet est donc d’utiliser l’aide à la plèbe pour favoriser le travail. Les précédents Tribuns, Darus et Plinius, se sont servis de cette aide pour favoriser l’agriculture qui demande toujours bien des bras. L’idée était excellente. Je compte continuer le projet en le modifiant quelque peu, car je souhaite aussi qu’une politique de grands travaux à Rome permettent enfin de transformer notre immortelle Cité en joyau de l’Italie et du monde !”

Tiberius observe un instant la foule, faisant quelques pas sur les rostres avant de reprendre une dernière fois la parole, sur un ton plus faible.


“Voilà ce que j’avais à vous dire aujourd’hui, Romains ! Oui, le discours était long ! Mais ceux qui m’auront croisé dans la rue sauront pourquoi ! Je suis un homme de conviction ! Je suis un homme d’idées ! Je suis fidèle à la Rome de nos pères ! Ne poursuivant aucun intérêt personnel, ne craignant pas de débattre, confiant dans mes idées, je n’ai pas à offrir des somptueux banquets pour dissimuler la pauvreté de mon esprit. Je n’ai pas à distribuer des as, car, Romains, c’est votre tête et votre coeur que je vise ! Pas votre estomac ! Je veux honnêtement, en vrai homme, gagner votre soutien. Je ne veux plus de cette République corrompue que l’on peut retrouver à plusieurs niveaux ! Je ne veux plus de ces pratiques barbares ! Je veux, j’espère, que les élections qui se dérouleront montreront que les citoyens de Rome n’ont pas tous été gagnés par la corruption !”

“Ceci, je le fais pour Rome ! Et je le fais pour la République !”

Sur ce, Tiberius lève les deux bras en l’air après son cri républicain, concluant par là son discours.


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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
Navarque 358-362, Navarque Maximus 363, puis Navarque de la Zone Ouest 364-367,
Navarque-Adjoint 347-358.
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ORLENUS Arturus
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

le censeur est presnet dans la foule entouré de deux gardes du corps

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Officier de l’Ordre de Cincinnatus

Censeur 363-364-365-366-367- 368-371-372
Consul 358-359-360-362-369-370
Preteur 353-376
Edile 352-373
Questeur 351
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VANSTENUS Julius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Le Consul Vanstenus, entouré de ses licteurs et de ses clients, écoute avec attention le discours du candidat tribun.
Il opine du chef plusieurs fois lors du discours et apprécie la conviction du candidat tribun.

A l'issue du discours, le consul et ses clients applaudissent chaudement et avec vigueur !


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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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MJ Séléné
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Sénateur Copernicus

Le sénateur Copernicus ne rate au discours, vivant avec le sénateur Carneus chaque mot, chaque virgule de son discours. Il applaudit chaudement la fin du discours et encourage son entourage à donner de la voix.

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MARTIUS NEMESIA Publius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Le sénateur MARTIUS présent lors du discours en apprécia la forme et la rhétorique parfaitement maitrisée. Aussi enjoint il les hommes au alentours à l'imiter et à applaudir.

Pourtant il ne se priva pas de quelques remarques à l'intention de ses voisins lors du discours.

On pu ainsi comprendre que pour les valeurs et le contact des romains il pouvait toujours allez faire un tour dans le Subure de nuit. Il était sur que ces gens lui aurais montré plus de respect qu'un sénateur...

"Ah quel beau parleur, même si l'intention est bonne, vous allez voir qu'il va réussir à leur faire croire que l'argent coule à flot et que sa politique de grand travaux sera une sinécure.
On est pas foutu de faire construire un égout alors les grands travaux..."

Tout en applaudissant :

" Avec un succès pareil, il va être intenable à la Curie, déjà que..."

Et il se mit à rire

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Sénateur depuis 367
Questeur 369-370-371
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COMNIUS QUINTUS Julius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

le sénateur Comnius se mêle à la foule pour écouter le navarque et ne manque pas de participer activement aux applaudissements

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Ambassadeur chez les lingons 367-368
Questeur 373, 374
Edile 376, 377, 378
Flamine de Junon 375
Surnommé l'Etrusque
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JUSTUS Flavius
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Inscrit le : Sam 28 Jui 2008
Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Le Consulaire JUSTUS écoute d'un air distrait puis commente :

Une politique de grands travaux ? Je me demande bien où il va trouver les fonds!

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Patricien, ancien sénateur
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IULIUS PROCULUS Cnaeus
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Il assiste au discours, paisible/

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Ad mari usque ad mare

Membre de Vox Populi
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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    


L'édile Flavius s'en vient avec quelques vigiles qu'il place aux endroits habituels pour assurer la sécurité. En retrait, là d'où il peut observait son environnement, l'édile assiste au discours en veillant de conserver un air neutre.


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Gens Urbanii : On n'a pas d'argent mais on a des idées !
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Questeur 366
Edile 367 ; 368
Prêteur 370; 371; 372
Tribun 374
Légat en Apulie 374-375
Consul 378; 379
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SEVERUS Licius
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Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Voisin du Consulaire Justus, le borgne ne pu s'empêcher de répondre...

Dans les fonds marins sûrement... A force de naviguer, il doit connaitre les fonds comme sa poche.

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Roma Est Imperare Orbi Universo.

Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.

Pro- Préteur au Samnium en 365.
Primatus Legatus en 364.
Préteur absent en 363.
Edile- 347, 357, 358, 359.
Questeur- 343, 344 et 362.

Mail: severuslicius@yahoo.fr
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JUSTUS Flavius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

JUSTUS sourit à la plaisanterie de son ami :

Oui, sans aucun doute. Je suis bien curieux de savoir si il va être élu... ou pas , l'avenir nous le dira, et toi comment va ta campagne Licius !

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Patricien, ancien sénateur
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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Assiste au discours en retrait accompagné de son fils. Celui ci se penche vers son oreille et pointe quelque chose du doigt et Bustos de rire.

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Respublica Defensor

Historien 360
Questeur 361
Edile 364
Légat lors du siège de 364
Préteur 365, 367, 368
Légat de la Légion Pluton I, en Boviamum 365,366
Consul 370

Flamine de Mars depuis 369

Né patricien, né pour servir
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AETIUS Flavius Martialis
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Inscrit le : Lun 31 Déc 2007
Posté le : Ven 23 Juil 2010    

Le prétorien est présent avec deux de ses gardes Béoiens. Il écoute gravement le discours du borgne.

Ayant entendu l'échange voisin entre le consulaire Justus et l'ancien Gouverneur Severus, il leur lance.


En voila un qui s'embarque pour une vraie galère... que dis-je avec un programme aussi lourd c'est au moins une quinquirème.
Assurément il aura endormis les flots de pensée de toute la plèbe ! Mais qu'il prenne garde lorsqu'elle se fera houleuse. Un si lourd esquif risque de couler comme une pierre au premier grain... qui plus est lorsque le timonier n'a plus qu'un œil valide.

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Flavius AETIUS Martialis , né en 319, au sénat depuis 350,
Questeur en 353
Edile en 354-355
Préteur en 360
Consul en 369

Même les bêtes sauvages qui vivent en Italie ont chacun une tanière, un gîte, un refuge, tandis que ceux qui combattent et meurent pour l'Italie n'ont que l'air et la lumière, et rien d'autre; sans maison, sans résidence, ils errent avec leurs enfants et leurs femmes.
Tibérius Gracchus
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MJ Séléné
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Inscrit le : Lun 15 Jui 2009
Posté le : Ven 23 Juil 2010    

Des nombreuses figures des sodalités sont présentes. Elles sont accompagnées par les membres, intéressés et curieux de voir celui que l'on nomme "Le Navarque" devenir peut être "Le Tribun".

Les membres de la sodalité de Neptune, particulièrement bruyants et enthousiastes, mettent une ambiance plutôt agréable devant les rostres.

Et puis... qui irait leur expliquer qu'ils ont peut être tords de soutenir ce candidat?


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