| Gens Claudii |
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MARCELLUS Marcus claudius
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 Posté le : Jeu 30 Déc 2010 |
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HJ :J'utiliserai ce topic, pour conserver et organiser certains données historiques concernant ma gens, merci de ne pas poster ici, mais d'aller à la Domus Claudius pour autre chose.
| Citer | Devant la Villa nous retrouvons l'emblème de la Gens Claudii. La Statue d'une Chimère.
Le lion, pour la justice, la majesté, et la détermination et la dignité d'être une puissante famille romaine près du Sénat de Rome. Il représente les grandes valeurs et traits individuels apprécié par les romains.
Le serpent représente l'offrande aux forces occultes pour obtenir leur protection, et le respect des traditions religieuses, tel les augures, haurispices et autres sortilèges. Il en appel à la protection sur la famille.
Le cheval représente la proximité avec le peuple Romain ('OE et autres), la tradition guerrière et la vaillance, il représente aussi le Don aux forces de la nature, afin d'obtenir la fortune (chance)et l'abondance.
La Chimère en tant que t'elle représente le mythique, et l'incarnation des dieux dans le destin des mortels. Elle représente la force mais aussi le danger. Elle en appelle à la grandeur mais rappel la possible perversité lorsque la vigilience s'épuise. |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Biographie
Lucius Claudius, Père de Marcellus ,décédé en 342.
Lucius est née en 296 dans la vieille république à une époque peu connue. Il descenderait de la Gens Claudia, donc l'un des membres célèbres fut Claudius Eusèbe Titus, légat,tribun, puis Triumvir. Une branche cadette donc de la célèbre gens.
Il fut officier à l'académie des légions. Sa jeunesse est fort méconnue jusqu'a ce qu'il pu attirer l'attention d'une gens influente, les Scaevola qui lui proposère un mariage avantageux. Plus tard, Lucius indigné du comportement du premier fils (Théodosus) né ce mariage et qui avait pourtant réussi à atteindre le Sénat, décida de casser son mariage avec la gens Scaevola, ce qui lui permit aussi (prétexte odieux) de prendre enfin officiellement pour épouse, sa maitresse Marse, la prêtresse Alcynia ,fille du chef Marses Alcinuys Silo, qui le paya d'une dette d'honneur au cours d'une bataille en lui offrant une de ces filles, avec qui il avait eu deux enfant Marcus, et Marcella. Enfants que le Censeur Antonicus voulut bien reconnaitre comme héritiers, trop heureux de voir le turbulant Théodosus écarter définitivement et exiler en Étrurie.
Par la suite, se sentant coupable des méfaits du fils de sa première épouse ,qu'il a chasser de Rome et qu'il ne voulut plus reconnaitre comme héritier, le vieux Lucius tenta d'aller récupérer l'honneur des siens dans la campagne du sud sous les ordres de Darus. Il trouvera alors la mort avec ces compagnons à Métaponte dans une fâcheuse embuscade en 342. Marcella blâma la gens Darus pour cet incident.
Lucius Claudius s'était installé auparavant en territoire Marse, à Alba, en 340 suivant l'intégration du peuple Marse dans la république. Patricien, et homme de guerre, il disposait par contre d'amitié permis les tribus Marses bien avant cette intégration territoriale. Le vieux Lucius Claudius s'était battu souvent à leur cotés car il admirait leur technique de combat et la rudesse des montagnards Marses, en comparaison d'une Rome qu'il jugait s'affaiblir dans les douceur du luxe et d'un débat politique qui dérivait tout azimut. Le vieux Lucius se voulait un artisan que Rome conserve le statut d'allié pour la plupart des peuples conquis par Rome et il déssaprouvait ainsi la loi darus 339.
Le vieux Lucius lui même se joignit alors à des milicies marses pour participer à des campagnes romaines dans le sud. La tradition Marse est guerrière tout comme celle romaine, lucius forma donc son fils Marcellus à cette vie très martiale, et lui fit apprendre la langue et les coutumes des moeurs, tout comme il l'instruisit sur les us des peuples de ces régions, volsques et samnites (marcellus devait aussi en apprendre leur langue plus tard).
(background validé par Magnetis et Bellone)
Lucius Claudius |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Alcynia fille d'Alcynius Silo, épouse de Lucius, mère de Marcellus.
"-Tout savoir est dangereux...c'est pourquoi les Patriciens se réservent le savoir des dieux et les insignes sacrés. De tout les peuples que j'ai visiter, il n'y a pas plus embobineur que les patriciens de Rome, mais peut-être cela est une bonne chose... Tu es appellés à cotôyer la peur... et à vivre par elle."
Alcynia à sa belle fille.
"-Même les plus grands finissent dans la Clocae quant ils n'ont pas le courage de se jetter sur leur épées pour en finir. Mieux vaut bien mourir que vivre avec le déshonneur sur ca conscience. Quant à se racheter, seul les faibles peuvent penser que cela est possible... pour les dieux, le sort est fixé depuis longtemps." Alcynia à Marcella et Anna.
Biographie
Née en 310, Cette prêtresse d'Anguitia nommé Alcynia fut l'épouse de Lucius et la mère de Marcellus et de Marcella Anguitia est une déesse Marses, sorcière, maitresses des charmes des serpents et des démons, dame de la guérison et de la fécondité. Pour les romains elle représente Circé ou Médée. Elle initia sa fille aux mystèrex et charmes, d'Anguitia, mais Marcella était promise au temple de Vénus, puis plus tard nommé prêtresse de Jupiter Capitolin.
Elle vécu tjrs dans l'ombre de son protecteur Lucius, et ne fut que son épouse officiel que tardivement, alors qu'il put répudié sa première épouse. Par la suite , la vieille femme, voyant ses enfants retourner s'installer à Rome et voyant ses enfants embrasser totalement l'éducation romaine de leur géniteur, un séjour qu'elle même avait peu apprécier décida de quitter le pays Marse pour divers pélerinages dans des lieux anciens en Sicile et autres.
Marcellus la considéra comme une mère sage et capable qui put malgré tout lui dispensé un bon enseignement romain, car les élites de la province Marse était sur la voie de la romanisation depuis un moment. On la revue à Rome il y a quelques années rendre une visite à sa fille qui à surtout tendance à se brouiller avec elle.
(suite du background initiale) |
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MARCELLUS Marcus claudius
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| Citer | Théodosus Claudius demi-frère de Marcellus
Biographie
Le frère ainé de Marcellus, issus du premier mariage de Lucius. Né à Rome en 319. Le premier mariage de Lucius fut un mariage arrangé avec la Gens Scaevola. À 21 ans, jeune officier fougeux Il fut aide du camp des généraux Caro et Leto en 340. Il fut de ceux blamé pour les premières défaites et pour s'être conduit lâchement durant la retraite, préférant piller que de rallier ces hommes. Il fut accusé aussi d'avoir pris pour épouse malgré elle la fille d'un riche Napolitain.
Furieux de ces accusations Théodosus écrasa le nez du Censeur Antonicus, il fut radié du Sénat qu'il venait pourtant tout juste de rejoindre. Sa carrière était ruiné car un geste disgrâcieux envers le vénérable Antonicus était un de ces gestes pouvant provoquer la chute d'un homme.
Le vieux Lucius indigné du comportement de son fils, décida de casser son mariage avec la gens Scaevola, et chassa de la cité Théodosus. Théodosus vécut donc un temps en Étrurie, prétendant ambitieusement être de descendance des héros qui chassèrent les Tarquins, il vécu pourtant odieusement (ironiquement comme les tarquins) en agrandissant son domaine à outrance, par la manière forte, en "faisant la loi" autour de lui et en vivant dans un luxe arrogant. Nombre de patricien dans cette province vivent en grand patron ainsi.
Voyant le sort qu'il advint à Décimus et ses complices (Tacitus etc) à Rome, il décida de faire profil bas puisque ses affaires ressemblait étrangement à Décimus et qu'il avait eu des liens avec ces hommes. Theodosius aurait été même le client du Sénateur Caro. Il quitta son domaine pour aller vivre comme homme d'arme dans les régions en Adriatique, ou le vu même comme mercenaire pour le compte de l'Épire. Mais guère longtemps car les Épirotes le soupconnait d'être un espion à la solde du Sénat. Et d'un autre côté le Navarque Carneus le soupconnait de livrer des informations à l'Hégémon!
Voyant la fortune tournée à Rome pour les Claudius, lorsque le puissant Censeur Aquae, prit sous son aile son frère Marcellus qui venait pourtant tout juste de rentré au Sénat, Théodosus décida de revenir à Rome. Plus assagis et rusé maintenant, mais non moins vigoureux et brutal, sa corpulance physique rapelle celle du Tribun Darus, il vit maintenant dans l'ombre du Sénateur Marcellus. Car il sait qu'il serait incapable d'être populaire auprès du peuple.
On pourrait croire qu'il pourrait tenter de s'imposer, mais en vieux grognard Patricien, Théodosus prèfère maintenant la discrétion et soutenir sa famille, les puissants et le Sénat . On le voit souvent à l'Arène Plinius apprécier les jeux, il serait un ami du Réthiaire Thémistocle avec qui on le soupconne de truquer les combats.... Il serait un membre également des Vrais Romains.
Avec l'âge le bougre à gagner de l'habilité à sa prestance et comme tout les Claudius il manie bien l'art de la parole, la réthorique de Théodosus est plus sèche et tranchante. Sa relation avec Marcella est très souvent houleuse. Surtout depuis que Theodosus lui aurait mis une gifle au visage pour la remettre à sa place. Les deux ne s'accordent que quand il s'agit de gonflé leur orgueil de Patriciens... Quant à Anna elle craint l'homme, mais Théodosus l'ignore car il semble avoir perdu de l'appétit pour les femmes.
En 365 il obtient l'ambassade des Boiens, et part à Bonnonia auprès du jeune Prince Brennus, donc il aidera (selon lui) l'ascension et dévelloper le quartier latin de la capitale boien. L'épidémie atteignant le nord, il tombe malade, mais le roi le confie au bon soin de sa famille et de sa soeur Glendia, la princesse (étonnament) tombe éprise du vieux bougre qui ne cesse de râler et d'aller boire un coup avec les hommes de la centurie du sénateur Aetius.
(PNJ validé par Bellone)
Théodosus Claudius |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Jeu 30 Déc 2010 |
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| Citer | Marcella, soeur du Sénateur
"-ROME!! Et personne qui sait se tenir pour m'accueillir, ou sont les tribuns et les beaux magistrats? ... Edvokia! Edvokia! Apporte moi ma dague, c'est terminé, la honte m'accable, l'on va me retrouver morte sur les marches du forum, ainsi mon frère sera puni devant tous des malheurs qu'il m'impose par sa cruauté! BARBARE! Dites lui que c'est un barbare!" Marcella piquant une de ces crises.
[/couleur]
Biographie
L'enfant terrible de Rome. La patricienne trop gatée, hargneuse, superticieuse, hautaine et manipulatrice. Elle recoit du peuple la réputation de sorcière et d'intriguante. Elle traite durement ces esclaves et avec mépris tout ceux de rang inférieure. Elle recoit la prêtrise de Jupiter Capitolin des mains du Pontife Aquea qu'elle adule en champion des vieilles traditions en le traitant de Pater Patriae.
Après avoir tenté de mettre à exécution ses plans de vengence contre la gens Darus, et tenté d'assasiné le Tribun, elle finit par se lier d'amitié avec le gros homme. Les rumeurs à Rome les accuses les deux de se livrer à des banquets gargantuestes et à des orgies débrydées. Rumeurs ou faits véritables? Peu importe, le vice parfume la jeune patricienne amatrice de serpents.
Des relations avec sa belle-soeur, Anna elle la juge indigne d'une vieille gens patricienne comme les Claudius, elle la trouve faible et incapable, trop idéaliste.
Par la suite elle fréquentera tour à tour le chevalier Crisjerikos et l'ambassadeur Ryan de Carthage. Deux hommes à sa mesures. La jeune femme appréciant le prestige qu'elle peut tirer de ces relations ou elle peut mener ces courtisans par le bout du nez. Avec Crisjerikos elle n'hésite pas à se donner en scandale et de vanter son amant en ville de facon odieuse et exagérée. Elle manigance auprès de son frère pour obtenir pour l'homme divers titres tel adminstrateur des travaux, et de membre du collège de fournitures des légions à Tarente pendant la guerre.
Avec l'ambassadeur Ryan, on l'accuse de manigacencer pour favoriser l'ascension de son frère au tribunat de la Plèbe, avec l'argent du Suffète Barca. L'ambassadeur la couvre de cadeaux (donc un petite singe surnommé Rogus en dérison de l'ancien tribun forcé à la ruine par son idole le Pontife) et de faveurs, la recoit dans ces favorites et écoute ces conseils dit-on.
L'ambassadeur placé en disgrâce par le Consul Poussinus, elle cherche une nouvelle cible, elle appercoit le Sénateur Vanstenus alors au sommet de son étoile, et tente de choquer son épouse de celui-ci pour gagner les grâces du consulaire. L'affaire ne peut aller plus loin pour le moment, mais la jeune femme reste optimiste quant à ses chances futures...
Mais la maladie frappe alors l'Italie et elle profite de l'absence de Marcellus, pour fuir pour la cité punique dans des espoirs insencés d'ascension dans l'entourage du Suffète. Elle revient décue, réalisant qu'elle à besoin de la protection de sa famille pour progressée.
Après avoir fait scandale au forum dans des achats extravagants, on la voit maintenant fréquenter des personnalités de la sodalite de Mercure....
(PNJ validé par Bellone et Séléné)
Marcella |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Ven 31 Déc 2010 |
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| Citer | Anna Temesthius, épouse de Marcellus
"...nous sommes un peuple guerrier éclairé par les Dieux...Senatus Populusque Romanus, nous sommes un et indivisible, c'est ensemble que nous devons donner un nouvel élan. Oui aux Traditions, non à l'immobilisme et à la slérose....Car, si Rome nous appelle, nous devons y répondre, quelqu'en soit le prix. Mes chers amis, faisons toujours en sorte que Rome soit et reste!" Anna (parole de séléné)
Biographie
La fille de l'historien Temestius de la sodalite de Numa. Marcellus rencontra le vieil homme à une soirée philosophique de la Sodalite. Que faisait marcellus là, sénateur provinciale encore inconnu, personne ne ne sait vraiment. Le vieil historien se complaisant à échanger des potins et des sagacités en compagnie d'autres éminantes longues barbes et autres charlatants qui se disent inventeurs. Il y a longtemps que le vieil homme ne maniait plus la plume.
Sa fille était une de ces sources de fierté, instruite et brillante elle était prometteuse, mais sans alliance intéressante et fortune, son destin risquait d'être compromis. Le sage présentant le Sénateur à sa fille, qui se révéla par sa conduite à être une épouse prometteuse. Une alliance fut organisé, tant que l'essentiel de la dot, allait à la continuité des études d'Anna, appellée à devenir une des premières romaines affranchie du joug traditionnelle des épouses patricienne combien souvent fades et limitée.
L'étoile de la jeune femme allait monter, malgré ses frictions avec la ténébreuse Marcella, qui dénoncait l'arrivée d'une arriviste de ce genre dans la famille, elle persista dans ses études et aida le Sénateur à composer des parties de histoires de Rome qui font maintenant partie des registres du Sénat. Lors de l'inauguration du théâtre Antonicus, la jeune femme postula au concours tragique. Le jury présidé par le navarque Carneus, la déclara gagnante du concours.
La pièce en question:
http://www.romejpem.wdmedia-hebergement.net/fsb/sujet.php?sujet=29102&page=1
Anna s'activa ensuite à réunir veuves et orphelins pour les défendre dans de bonnes oeuvres, une fois son époux consacré Flamine de Junon et protecteur de la Ligue Latine, elle fut encore plus radieuse pour les citoyens qui appréciaient sa générosité et sa grâce. Si elle ne put jamais s'accomoder des strictes traditions patriciennes elle fut une épouse exemplaire. Bien qu'il lui prit de nombreuses années à donner un fils en santé. Marcella était au bord de l'apoplexie et en appellait à la répudation.
Lorsque le Sénateur parti s'établir pour la Campanie, elle le suivit, et se ranga permis les grandes dames de Capoue dans un role plus simple. Son retour à Rome avec la Gens, fut une occasion de renouvellée avec ces anciennes habitudes, tel les oeuvres de charité, et elle décida de supporter Marcellus dans l'adoption d'un enfant de l'aristocratie du sud.
(PNJ créée par Séléné)
Anna |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Ven 31 Déc 2010 |
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| Citer | Le Collegium de Minerva (débuté sous les grâces de Séléné)
"Pour l'honneur et l'ordre citoyens, fils de Mars, joignez le Collegium! "
Parole du Feu Chevalier Zénon (Séléné), premier capitaine du Collegium, héros de guerre. Mort durant l'épidémie.
"Les armes et le sang voila ce qui nous unit. La liberté, la dignité est à ce prix. Les serments devant les dieux de la guerre ont la plus grande valeur. Ainsi va Rome. Tous nous vivons honnêtement d'une labeur rude et difficile pour que nos fils connaissent un jour la signification du mot paix et resect . Le Collegium de Minerva, est l'union de ceux qui se soucient de la fraternité sous les armes, et qui souhaite une cité en ordre, et une république qui se tient la tête haute. C'est le souvenir des anciennes promesses sous l'étandard sacré et de l'honneur passé dans les métiers d'armes.Que vos affaires, citoyens, méritent la reconnaissance des citoyens et des gens de bien. Et que les dieux sont témoins de votre vaillance. Que les devoirs, qui débute sur les champs de mars, puis dans la légion, doivent se poursuive dans la vie civile..."
Extrait du Discours lors de la fondation du Collegium
" Là il réunit des hommes pour le Collegium, et ce ne sont pas des enfants de choeurs, ce sont des durs, et ils vont nettoyer le Forum. Le Chevalier Zénon, dans le sud repoussa les grecs lors de la guerre alors que ses hommes étaient encerclés, lui seul c'est un sacrée fine lame. Faut se méfier des chevaliers, ils aiment jouer aux princes marchands, mais ils savent tenir une épée." Vitellus sur le collegium.
Historique
Le Collegium fut fondé en 364, pour permettre une association civique libre, d'ancien vétérans et de divers corps du métiers des armes, que la tradtion sur les sodalites empêchaient de former une nouvelle sodalite, idée énoncé jadis par la Gens Darus, mais le Sénateur Marcellus remarqua qu'une confrérie inspiré des codes de conduites de leur ancien passé dans la légion était possible. Passé turbulant auquel certains hommes n'échappent jamais même en revenant à la vie civile.
Une villa fut construite dans le Caelius pour siège et logit pour les premiers membres Le Flamine de Mars Comnius bénit leur enseignes, puis les hommes se distinguère rapidement comme garde du corps des marchands ou des riches chevaliers de la faction Negociatores du Chevalier Julius Priscus, ami de Marcellus. Ils se distinguèrent pour la première fois, dans une mission destinée à revitailler les troupes du pro-édile Barrezus alors encerclées au Spoletium par les hordes samnites de Caudinae alors que la guerre était sur le point d'éclater.
Il est plutot exceptionnel de ne pas voir un des membres de la Gens Claudius entouré d'un de ces solides gaillards. Même la menue Anna. Quant à Marcella elle attisse la violence partout ou elle passe.... Ou de les voir sur le forum à dénoncer la racaille suburienne ou à fréquenter l'auberge du Sénateur Darus et ses Vrais Romains. Les rangs du collegium sont limités mais la fraternité y est cordiale. Leur seul regret est de ne pas voir le féroce Carneus se joindre à eux. Mais peut-être marins et fantassins ne vont pas naturellement ensemble...
Le Collegium continua ses activités malgré le retrait en campanie de leur protecteur. Mais ce dernier revenu, la réputation de l'organisation reprit de la force grâce à des anciens gladiateurs de l'Arène Plinius, tel le réthiaire Thémistocle, tjrs soupconné de trucquer ses combats. L'ancien centurion Tropicanum (Taranis) remplace maintenant le noble Zénon.
Le chevalier Zénon et ses hommes en action dans une cité du latium, tailladant ici un brigand qui a tenter de s'attaquer à un des clients de l'organisation. L'on voit qu'ils ont trop pris au sérieux les discours du sénateur Détritus qui recommendait la ligne dur avec la racaille voir même de tous les sortir des murs dans son fameux rapport. |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Ven 31 Déc 2010 |
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| Citer | La Ligue Latine (débutée sous les grâces de Bellone)
"Un peu de vertu, c'est le moins qu'on puisse faire pour la république. Celle-ci est bien enfouie à Rome sous la boue et les malheurs. Mais dans les campagnes du Latium, la tradition retrouve tout son sens, et les hommes sont ardents dans leur ouvrages et prompt à sauver ce qui permet encore à la république de briller à l'occasion..."
Propos assimilé à Marcellus lors d'une visite dans le Latium.
Historique.
Marcellus débuta sa carrière politique dans les campagnes de Rome, ou il gagna les galons de sa questure en partie par son soutient au petits et moyens propriétaires. Ses premières apparation publiques ont eu lieu sur une ferme du Latium ou il distribua, nourriture, outils, armes et bétails aux romains. Et bien sur il parla du Mos Maiorom.
Plus tard le Sénateur allait se retourner vers ces gens, et à l'image des courants nouveaux qui parcourait la république, telle la Grande République, monté par le Sénateur Dobrasus et le chevalier Crisjerikos,Marcellus allait s'en inspirer. Car il déplorait que les romains nouveaux de Tarente puisse être si bien patronné et organisé alors qu'il ne se trouvait personne pour rendre honneur pourtant à ceux du coeur de la république. Les premiers romains, ceux du latium, ceux qui les premiers ont versés leur sang pour la république, et qui continuent tjrs de le faire tout en exploitant la bonne terre.
Ainsi fut rassemblé à Tibur dit-on, la Ligue Latine. Une association de propriétaires romains unissant leur forces. L'Édile Marcellus pour prouver la valeur de ces hommes leur confia pour 1m d'ares de parcelle en concession. Car il se trouvait alors qu'au Sénat, de riches sénateurs avaient coutumes de prendre des concessions et de ne rendre à peu près rien, et ils avaient batit leur puissance ainsi. Citons par contre que d'autres firent le contraire, tel le navarque Carneus qui inaugura la pratique de tout rendre les profits des concessions.
Fort de ces terres, la paysannerie put progresser et cela fut profitable à la république. Le propritaire moyen augmentait son revenu. L'expériance fut récidivé deux et trois fois, et cela attira l'attention d'un autre sénateur fort dévoué aux citoyens romains, le Sénateur Petronius. Il commenca alors à s'intéresser aux activités de la Ligue.
La Ligue ne se retrouva donc pas sans protecteur malgré l'absence de Marcellus. Le Sénateur Petronius, alors sénateur bien en vue, prit la relève et par de nombreuses mesures énergiques, il continua à favoriser l'aide et le dévellopement de ce corps de citoyens. Ce dernier occupe désormais une place d'honneur dans la direction de la Ligue Latine. Le citoyen Chouanus occupe par contre le rang de représentant officiel.
Paysans de la Ligue Latine, au centre le Consul Petronius avec ses licteurs; il discute avec Chouanus. |
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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Ven 31 Déc 2010 |
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| Citer | Quelques Gens de la Gens....
(notes: Des PNJS de poche qui sont apparu/disparu, au moins mentionnés dans quelques séquences de la vie de ma gens...)
Edvokia, servente vosque, souffre douleur de Marcella.
Pauvre jeune fille qui doit endurer l'une des pires jeunes matrones de la cité. Battue, fouettée et rouee de coups fréquamment, elle reste fidèle à Marcella tout en la craignant.
"-AIEE ! Mais tu veux défigurer ta maitresse , stupide ombrienne,... ou illyrienne, que sais-je moi! Maladroite! Je vais te faire arracher les doigts un par un..." Marcella référant à Edvokia
"-Edvokia Edvokia! Va faire taire ces chiens pour que je puisse mourrir décament et en silence! Jette leur l'esclave enragé pour les nourir tiens!" Marcella donnant ses ordres à la servente.
Vitellus, campanien, intendant de la Gens
Homme de main du Sénateur. Il fut responsable sous l'édilité de Marcellus de raffler un fils cadet (pas tjrs volontairement dit-on ) par famille paysanne en Campanie pour reformer une partie des effectifs des vigiles, alors décimé dans divers embuscades dans le sud, ou le pro-édile Barrezus était parti à la poursuite de ces bandes. Lors d'un de ces nombreux allez retour entre la province et Rome, il croisa l'intendant du sénateur Vanstenus, Roideprus, les deux hommes se défienrent du regard, mais l'aventure en resta là, bien que Vitellius se jura de remettre le Pérousien à sa place un jour. Vitellus est aussi une des âmes damnés de Marcella, il l'aide à résoudre une partie de ces caprices trop compliqué pour être régler poliment.
"-Paix Marcius, tu boirais la flotte infame des gaulois de la Ligurie si tu le pouvais. La langue te pend comme un veau. Ta solde tu m'en dois la motiée pour éviter que les gredins de Priscus te jettent hors de ton insulae. On ne se bats pas ...on est au service de l'édile! C'est sacré! Ou du moins on ne se bat pas les premiers... Va plutot au temple de Cérès avec les hommes que nous avons recrutés pour devenir vigile. Ces petits gars n'ont jamais vu la grande ville. Au moins ils n'iront pas périr sous les piques des Samnites." Vitellus à ses hommes.
"-Nous sommes les gens de L'édile Marcellus, les prérogatives de son autorité retombe sur ces gens, c'est la coutume heh? Comment pourrais-je servir mon maitre, si je ne peut mentionner que j'agis pour lui? Tu aimerais que mes gens cesser de frapper à tout va? Eh bien moi j'aimerais que le Pontife fasse tomber de l'or plutot que la pluie quand il chante, ou que le Bustos mette une raclée au Grand Prince de Tarente. Mais tout ne va comme on veut neh? Ton maitre est bien loin, quesqui me pousserait bien à agir comme tu le demande?" Vitellus menacan à Roideprusse.
Canauum, guerrier marse, ami de famille
Fils d'Alcynius, homme est attaché au Claudius, comme guide de montagne, et client des Claudius en province Marse.
(validé par Magnetis)
Cassus Salpronius, tribun militaire, client
La plus grande gueule de Rome, grossier personnage, il aurait même fait taire le Sénateur Bustos lors d'une scéance de bain agité. C'est à cette occasion qu'il aurait lancé la rumeur que le navarque Carneus ne sait pas nager, bien que les mauvaises langues affirmait Salpronius jaloux du navarque, ou même amoureux de ce dernier! Salpronius crève un cheval par jour, tant il aime la bonne chaire et qu'il pèse gras. Il aurait obtenus la recette du sanglier bouilli du chef cuisinier de la gens Poussinus. Nul ne sait ou il est, l'on dit que durant la guerre contre les samnites il serait tombé au fond d'un puit et qu'il y serait resté! D'autres prétendent qu'il à fait tout simplement fausse route, et au lieu d'aller vers le Samnium il aurait grimpé au nord.... On murmure que c'était pour échapper au sénateur Détritus donc il avait retrouvé le buste du pater pour le revendre à Massalia,. Voila un étourdi donc le sort est plutot pittoreste et exagéré.
"Bustos Dominicus n'est-ce pas? Pour un petit bonhomme vous vous défendez bien dit-on, on dit que vous avez défigurez vilainement le navarque, bah la peste de ces marins plus bornés que les boeufs du vieux Cincinnatus. Toute homme qui voyage sur un copeau de bois finit par rejoindre Neptune au fonds des mers. On dit que ce vieux grognon va s'accoupler avec la soeur du Rouge. Je ne voudrais pas privé l'honorable censeur de son beau-frère en lui remontant le pif si jamais il s'aviserait de trop renifler ma cuirasse. Invite le ici il l'on verra si il sait nager dans la cuve d'eau glacé! Un navarque qui sait nager? Et quoi encore, les poules des augures ont surement des dents! " La fameuse rumeur lancé par Salpronius.
Titus Pouplius, propriétaire d'un therme privée, vieil ami de Lucius
Le vieux romain à ouvert jadis un petit therme qu'il tient avec sa mègère de femme à Rome pour ses amis, et une clique d'usuriers malfaisants de la sodalite de Minerva. Il est incrit à la sodalite de Bacchus. Il a longuement acceuilli Marcellus et ses amis chez lui. Sa maison est maintenant en ruine. Lors de l'affolement des samnites qui marchaient sur Rome, une foule en panique ravaga et pilla sa demeure , y trouva le magot et butin qu'il y dissumulait, et lui et sa femme ont du quitté la cité permis les réfugiés protégés par le Sénateur Urbanis qui débuta sa carrière sous ce geste charitable. Nul ne sait ce que le vieux Titus est devenu. Sans doute mort.
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Patricien Gens Claudii
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Consul en exercice |
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