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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : L'ordre équestre
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L'ordre équestre
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MJ Bellone
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Posté le : Mar 12 Aoû 2014    

Une nouvelle ère s'ouvre au sein de l'ordre équestre, entre tradition et modernité. Des tendances traversent les esprits, les modèlent plus ou moins. A l'approche de l'année 390, les observateurs ont pour habitude de décrire ce "grand ventre" en le divisant en trois espaces idéologiques.

Les populares constituent le premier pilier, indéboulonnables défenseurs de la cause, ou des causes plébéiennes. On distingue chez eux deux tendances:

Les modérés, liés au jeune Sextus Montagus fils de son illustre père. Le consul Macedo, illustre consulaire est leur chef de file emblématique. Les sénateurs Moumanus et Petitbonus sont leurs voix au sénat, en en attendant d'autres.

Les enragés, aiment de plus en plus reprendre le quolibet que leurs détracteurs utilisent à leur insu lors des débats. La méthode du tribun Droneos a fait des émules et attire de plus en plus de neutres, qui sont séduits par ce groupe qui a clairement le vent en poupe. Les sénateurs Pedrus et Getebus sont souvent leurs portes paroles au sénat.

Le second pilier repose sur l'économie et les richesses, un aspect pratique de la politique que les groupes suivants aiment à rappeler.

Les mercatores, avec Priscus défendent le marché et l'économie en toutes circonstances. Si Priscus vieillit, il a assuré sa succession et de jeunes loups sont prêts à reprendre son œuvre.

Les negociatores acceptent plus de souplesse, sous l'égide de Titus Salvius S'il s'entend souvent avec les mercatores, il rêverait de prendre la place de Priscus, qui se fait vieux et de constituer une grande frange majoritaire face aux populares.

Enfin, dernier pilier, celui de l'esprit et des idées.

On retrouve chez ces penseurs les laboratores, une frange crée par des patriciens cherchant une alternative aux modérés, qui est depuis assez autonome. Les penseurs y défendent la valeur du travail, sans se salir les mains. On y connaît maintenant Felix Crassinius et l'opportuniste Tonystarkos, tel qu'il se définit lui-même.

Dernier groupe en cours d'émergence, celui des progressistes, un nom bien "sale" aux propres dires de leur meneur, le jeune et idéaliste Marcus Edenus. Ce groupe de jeunes équestres, anciennement neutre est né de la volonté de se démarquer des luttes ancestrales et répétitives opposant le peuple et l'argent.


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MJ Bellone
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Posté le : Ven 22 Aoû 2014    

Les lignes bougent à l'ordre équestre. Face à la montée en puissance des enragés, les modérés tenteraient de construire une vaste alliance allant jusqu'aux laboratores pour contrer leurs adversaires.

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Posté le : Lun 01 Sep 2014    

Marcus Scaurus, client du consul Badinus et quelques nouveaux chevaliers se sont fait remarquer pour leur énergie nécessaire à trouver des evergètes parmi les Decurions du Sénat provincial d'Ancona. Malgré la situation difficile, ils ont réussi à mobiliser nombre d'entre eux: ce sont 16000as de récoltés.

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Posté le : Mar 09 Sep 2014    

Une rumeur enfle chez les chevaliers, au fil des discussions agitées: une nouvelle sodalité pourrait voir le jour.

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Posté le : Lun 22 Sep 2014    

La nouvelle sodalité commence à devenir un sujet. Les bouchers seraient défendus par un nouveau chevalier, qui aurait eu maille à partir avec le nouveau procurateur des sodalités en plein milieu d'une audience.

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MJ Bellone
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Posté le : Dim 26 Oct 2014    

La cacophonie des débats actuels inspire les fantômes de l'ordre équestre: les penseurs des pas perdus, les modérés, seraient sur le point de s'unir sous la coupe d'un influent et ambitieux chevalier. Il tâterait même de l'imperium, se dirait-il...

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MJ Bellone
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Posté le : Lun 03 Nov 2014    

Une nouvelle grande alliance promet beaucoup depuis sa participation aux débats: le groupe des laboratores et des modérés fascine, et les équestres concernés ou non en parlent depuis des mois. Dans les discussions, la place de cette super faction détonne et équilibre enfin les tensions entre les extrêmes, qui ont moins d'espace pour "brailler" comme le disent leurs détracteurs. Cet équilibre apporté par cet effort de synthèse promet pour le moment un franc succès à ses meneurs, qui ont pignon sur rue et reçoivent beaucoup de déçus et de mécontents des neutres, des progressistes et des populares.

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MJ Quirinus
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Posté le : Lun 30 Jan 2017    

Eté 401

Le changement de siècle et les évènements des dernières années ont apporté plusieurs changements au sein de l'ordre équestre.


Les Populares restent les défenseurs des causes plébéiennes mais les équilibres ont changé à l’Hotel des Equites :

La perte des Droneos suite aux meurtres du père et du fils, l'exclusion du vieux sénateur Pedrus du Sénat et la radicalisation du mouvement a porter un coup d'arrêt à l'influence des Enragés qui sont mené par sénateur Getebus à la Curie et par un jeune représentant en la personne de l'Equite Juniorus à l'hotel des Equites.

Les Moderés sont en plein refonte, le Consulaire Macedo ayant annoncé sa volonté de se retirer des affaires politiques, le décès du Sénateur Petibonus et le sénateur Moumanus ayant perdu son statut d'Equite, il ne reste que l'Equite Sextus Montagus pour servir de chef de file, ce qui n'enthousiasme pas tout le monde.

On assiste donc à une campagne de séduction de l’Equite Pedrus, qui lâchant les Enragés, et de l’ancien tribun Statius Langelus qui se présente comme une sorte de "champion de transition" pour rassembler les Populares dans leur ensemble : Enragés et Moderés.

Mais aussi à une montée rapide du maitre de la sodalité de Marceliarus et ancien tribun, Sextus Sicinius , qui se repose sur des hommes neufs comme son nouveau second Polmarus Burdonecus ou le boucher Hugus Denoius .

Le second pilier de l’Ordre Equestre repose toujours sur l'économie, la richesse et un certain pragmatisme politique:


Après de longues années de négociations de jeu d'alliance et de persévérance, il semble que le sénateur Titus Salvius soit proche de la réconciliation entre Mercatores et Négociatores, d'autant plus que l'Equite Priscus est très malade et proche de la mort. Plus rien ne s'oppose à son accession à la tête d'une frange de nouveau unie.

Le projet d’opposer aux Populares une grande frange majoritaire à l’hôtel des Equites semble donc plus que favorablement engager mais c’est sans compter sans les jeunes loups formés par l’Equite Priscus et qui veulent s’emparer un maximum d’influence. On compte au nombre de ces ambitieux les equites Timeus Gordianus et Heraclinius Attalus.


enfin du côté du plus faibles des piliers de l’OE, celui des Idées :

Les Progressistes de leur côté, n'ont pas spécialement progressé sous la direction de Marcus Edenus et ont toutes les difficultés à se démarquer des luttes traditionnelles qui stigmatisent le débats politique et l'économie romaine.

Mais l’innovation vient des Laboratores qui ont subi l'effet de l'édit du Censeur, si Felix Crassinius reste sénateur, il perd son statut d'Equite ce qui laisse la place à l'Equite Tonystarkos comme principale leader des laboratores.
Ce dernier s’est lancé dans un vaste mouvement pour fédérer Progressistes et Laboratores dans un courant plus cohérent et plus entreprenant, les Modernistes dont le projet d’imposer la raison comme norme transcendantale à la société permettant l’amélioration global du corps civique romain.

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PNJ Populares : Getebus Primus, Crassinius Felix, Langelus et Lanius Aulus
PNJ Imperialiste : Fabius Nautius Fabius, Martus Nerva Spurius
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MJ Cerbere
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Posté le : Lun 13 Mar 2017    

402

Le plan des plus grands changements est du côté de la frange économique de l'OE qui s'articule maintenant sur deux visions de la richesse.

le Chevalier et édile-ajoint TITUS SALVIUS a fait une grande annonce. L'éternelle scission entre Negociator et Mercator est maintenant chose du passé. Priscus n'est plus et les choses sont tombées en place. La nouvelle frange plutocrate des chevaliers se désigne elle-même comme les OPULENTUS. Ces chevaliers ne cachent pas leur richesse et leur amour du commerce et en font l'apologie. Le Jeune Loup G.TIMEUS s'est même rallié. Le vieux Sénateur CARLAMAGNUS, l'homme le plus avare de Rome, a été vu en ville pour féliciter le chevalier:

"Les vieilles querelles sont définitivement enterrées, le grand commerce va enfin se mettre en place. Allons à Reghium avec nos consuls, À nous le détroit! Grâces soit rendues à Mercure. "

Le Chevalier et Tribun, HERVIUS POMPÉE dirige une coalition conservatrice de propriétaires, il a réussi a enlever le Tribunat face aux divisions populares. L'on a commencé à les appeler les CHEVALIERS CAMPANIENS, car un grand nombre de propriétaire provient de cette province. Cette faction forme désormais le deuxième pôle de riches chevaliers. Le Jeune Loup H. ATTALUS s'est rallié à cette faction. Le Sénateur GORDIANUS, surnommé "l'ANGE NOIR" du Sénat à commenté:

" La vertu et les bonnes moeurs triomphent avec HERVIUS POMPÉE, jamais le tribunat n'a été en des mains aussi propre et honorable. Enfin quelqu'un pour nos citoyens et nos cultivateurs. La terre voilà notre vraie richesse."

Du côté de la Frange polulares il y a de l'indignation mais...


Les Enragés du Sénateur GETEBUS et du Chevalier JUNIOROS, enragent d'avoir vu le vieux Getebus empêché d'être Tribun. Pour lui c'est la preuve que le Sénat voulait empêcher les populares d'avoir le Tribunat. Mais le peuple n'a pas été dupe et lui a confié tout de même l'édilité adjointe. L'édile adjoint invite à rallier la résistance anti-patricenne autour de lui.

Mais une bonne partie des enragés ne sais plus sur quel pied danser, les Sénateurs EUGENIUS et LANGELUS ont mis sur pied une vaste coalition de chevaliers enragés et de modérés afin de tenter d'unir les POPULARES. L'on dit que le Chevalier BRUTUS VERRÈS va remplacer le vieux PEDRUS qui a en juste marre depuis qu'il a perdu son titre de Sénateur.

Tout cela ne laisse que des miettes au chevalier MONTAGUS, qui ne semble pas trop inquiet:

-Je suis Montagus après tout. Tous finiront pas revenir à moi c'est seulement inévitable. À la bonne heure je dirigerai Rome et en ferai la plus belle des cités. Mais pour le moment il faut faire confiance à LANGELUS.

Du côté de la Frange polulares .... mais aussi de l'espoir.


L'Ancien Tribun SEXTUS SICINUS n'aura pas réussi à rester au sommet. Néanmoins son groupe d'HOMO NOVO reste encore compact. Les nouveaux chevaliers préfèrent rejoindre ce groupe dont l'historique est propre et plein d'espoir. Pour-eux le vieux système prend seulement le peuple en otage sur des questions de richesses ou de lutte sociale. Il est possible de repartir à neuf par le biais du travail, par le travail honnête. SEXTUS SICINUS a décidé de tendre la main au Tribun défait VOLAGINIUS.

Du côté de la Frange des idées.... .


Pour un peu les Laboratores enlevait une des édilités-ajointes. Mais ils ont réussi à avoir leur Tribun, le noble DOBRASUS. Ce groupe prétend toujours pouvoir faire la différence grâce à des idées et des réformes audacieuses. Les progressistes de MARCUS EDENUS ont décidés de ce joindre à ce groupe, qui s'appellera désormais les MODERNISTES. De ce côté les idées vont bon train et l'on parle même de réformer la religion. Cela reste néanmoins encore que des idées.

Du côté de la Frange des nouveaux venus.... .


Un Chevalier surnommé le CENTURION a affirmé que l'OE se trompait carrément de chemin. L'OE doit revenir à des valeurs martiales, les valeurs de la guerre, rien de plus et rien de moins. Comme premier point à son programme il propose de remplacer le DOYEN par un CAPITAINE. Le CENTURION a aussi dit qu'il n'avait pas d'autres discours que celui-ci:

-Mon cheval et ma lance sont prêts. Si le Sénat fait appel à moi nous irons à la bataille. Voilà le rôle de l'OE, pourfendre nos ennemis, se mesurer à d'autres soldats. On peut bien prendre son or et ses terres mais ca n'est pas une raison de s'exciter. Bon on va à la bataille ou pas?

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mj_cerbere@yahoo.com
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