Le Sénat de ROME jpem - Sujet : De l'Aesium

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De l'Aesium
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CORNELIUS SCIPIO Publius Autorisation : Membre Nb de messages : 2287 Inscrit le : Mar 17 Avr 2012	Posté le : Mer 02 Nov 2016
	Sénateurs, Répondant à un courrier que je leur avais adressé, les décurions de la province de l'Aesium m'ont répondu et donné des nouvelles peu reluisantes quant à l'état de la province. Celle-ci demeure toujours pauvre depuis la guerre contre l'Epire qui a vu ses côtes être ravagées. La capitale de la province est, aux dires mêmes des décurions, une "cité morte". Beaucoup des colons et artisans venus tenter leur chance dans la province en sont rapidement repartis. Dans les campagnes, l'accaparement des terres accroit également la pauvreté. La pauvreté, les inégalités engendrent des tensions politiques, notamment entre le sénat provincial à Castrum Novum et les autres cités. Il est donc urgent d'intervenir pour redresser la situation dans cette province, en lui accordant peut-être une aide financière, et en y facilitant l'installation de colons et artisans pour la redynamiser. Je suis prêt, s'il le faut, à contribuer personnellement à un tel projet, mais j'estime que cette question doit d'abord être discutée ici même afin que nous puissions élaborer les meilleures solutions. ---------------------- Imperator - Triomphe sur les Insubres en 394. Victorieux des Lucaniens en 402. Censeur 404-405, 406-407. Consul 391, 395, 396, 397, 400, 401, 402, 408. Préteur 386, 387, 388. Édile 382, 383, 384. Questeur 380, 381.


DETRITUS CAMPANUS Julius Autorisation : Membre Nb de messages : 1346 Inscrit le : Jeu 11 Sep 2014	Posté le : Jeu 03 Nov 2016
	Se gratte la barbe Le problème de l'Aesium c'est surtout son positionnement, la province est vaste et peu peuplée, la terre pas particulièrement fertile et aussi longtemps que nos activités au delà de la mer Adriatique resteront mortes, les ports d'Aesium ne nous sont d'aucune utilité. Donc à moins de trouver en Aesium des ressources naturelles particulièrement profitables je doute que nous puissions développer cette province, j'irais même au delà de mes propos en disant que je doute de l’intérêt de développer cette province. ---------------------- Naples 390 à 393 Cérès 392 à ? 394 395 - 396 397 - 401 - 402 398 - 399 - 400 - 403 - 404 - 405 gensdetrita@gmail.com Detritus Lupus Paulus (289-347) / Detritus Dives Tullius (322-390) / Detritus Campanus Julius (355-?)


VALERIUS PUBLICOLA Primus Autorisation : Membre Nb de messages : 1704 Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016	Posté le : Jeu 03 Nov 2016
	Le jeune sénateur Primus Valerius Publicola attend de voir si un sénateur de rang plus élevé prend la parole. L'attente se prolongeant il intervient à son tour dans le débat. "Aesium est une province de Rome et sa situation de difficultés doit nous intéresser du fait de ses origines et de ses conséquences a minima. Origines, car selon les propres paroles du consul Publius Cornelius Scipio "Celle-ci demeure toujours pauvre depuis la guerre de l'Epire qui a vu ses côtes être ravagées." L'Aesium a subi les destructions de guerre. Aussi, construire en temps de paix semble être un message adressé à toutes les provinces qui, dans une autre guerre, pourraient se demander s'il vaut mieux combattre à nos côtés et connaître des destructions ou se laisser occuper sans destructions... Ses manifestations ensuite, en effet, car les "tensions politiques" peuvent dégénérer en violences si nous restons dans l'inaction. Et quel exemple néfaste alors donnerait l'Aesium aux autres provinces en difficulté ! Une nouvelle question se pose maintenant : comment intervenir de manière efficace ? Le consul Détritus a indiqué les obstacles : peu de population, terres peu fertiles, ports d'Aesium inactifs du fait de l'inactivité romaine dans la mer Adriatique. D'autres facteurs sont décrit par le consul Cornelius Scipio : Le départ des colons et artisans, le faible accès à la terre dans les campagnes. Les mesures doivent donc porter contre la dépopulation et pour le dynamisme des activités économiques. Les solutions seraient donc d'attirer des colons. Nous ne manquons pas de pauvres à Rome à qui nous pourrions donner une chance de s'élever dans la richesse en leur offrant de s'installer dans l'Aesium. Selon quelles modalités : gratuité des impôts pendant 10 ans en échange de l'installation dans l'Aesium ? Possibilité de s'établir comme artisans dans des quartiers de la capitale "cité morte" ? Mais il faudrait que ces artisans trouvent une rentabilité dans leur activité : il conviendrait donc d'établir un ratio dans le nombre d'artisans établis par rapport à la population susceptible de leur acheter des produits. De plus, il faudrait enrichir la province. Peut-être pouvons nous trouver parmi les pauvres pêcheurs sur le Tibre comme sur le littoral de nos provinces des personnes pouvant effectuer deux tâches économiques : pêche et cabotage pour les marchandises ? Mais un cabotage pour une province peu peuplée peut-il suffire ? Il faudrait donc établir de nouvelles foires sur ce littoral pour recréer un tissu économique, et exempter les bénéfices de ces ventes d'impôt de manière assez longue pour que un dynamisme économique se crée. Mais cela ne sont que des solutions partielles si nous n'effectuons pas une opération capable de créer de bonnes conditions économiques par la création de richesse sur une longue durée, c'est-à-dire soit le chantier important d'un monument, soit une distribution de terres pour des colons paysans avec interdiction de vendre jusqu'à la prochaine génération. Il me semble que l'Aesium pourrait recevoir l'un ses chantiers que nous construisons actuellement ou avons construit autrefois. En effet, l'Aesium est exempt de la liste alors que l'indique le consul Détritus la province est vaste : La liste était la suivante : Campanie : Grand Temple et Thermes Volterra : Marché et Temple Populonia : Théâtre et Thermes Vetulonia : Marché Saturniae : Thermes Cosa : Marché Vosques : Théâtre et Thermes Samnium : Aqueduc Bovanium : Aqueduc Bruttium : Marché et Théâtre Calabre : 2 Aqueducs, Grand Temple et Thermes Confédération Padane : Temple" ---------------------- Gens Valerii Publicolae Naissance en 369 Historien de Rome Rang et tendanceSénateur patricien Faction des Modérés Cursus honorum Flamine de Vesta (400 - ) Questeur : 401 Edile : 402, 403, 404 Préteur : 406, 408 Consul (409) Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité. SALLUSTE, Cat, I


VOLAGINIUS DOMITIANUS Caius Autorisation : Membre Nb de messages : 283 Inscrit le : Mar 02 Fév 2016	Posté le : Ven 04 Nov 2016
	Remarque L'attractivité d'une province se fait en fonction des bâtiments qu'il y'a. Je pense aux plus importants:thermes,temples,théâtres,marchés et beaucoup d'autres Affirme Si nous ne construisons pas un minimum,avec l'aide des sénats provinciaux et de l'ordre équestre dont certains chevaliers peuvent avoir un rôle,personne ne souhaitera habiter.La population migre ailleurs,les commerçants qui ont des choses à vendre partent,ceux qui auraient souhaité s'y installer partent. Quant à la fertilité,je peux dire que nous ne pouvons pas y changer beaucoup,les dieux ont décidé ainsi.Pourtant,je sais pour en avoir élevé que le bétail peut rendre fertile des terres.Pensons à d'autres formes d'utilisation des terres qui prend en compte les spécificités Enfin,le principal problème:ce que l'on appelle une ville morte.Les propositions du sénateur Valerius peuvent être profitables.Cependant,il faudra reconstruire cette province pauvre,en la dotant de bâtiments fondamentaux.De plus,une province qui se sent abandonnée peut coopérer avec l'ennemi en tant de guerre. S'interrompt pour conclure De mon point de vue,nous devons d'abord financer des projets de constructions,promouvoir une utilisation des terres autres,moins rentable,mais concordante puis encourager l'installation après avoir construit ces bâtiments.C'est un long projet,mais la province en serait enrichie et le commerce redémarrerait.Je suis donc pour ---------------------- Tribun de la plèbe:400-401-404-405 Membre de la sodalité de Vulcain:401- Sénateur populares Mail:romepjem@gmail.com


CORNELIUS SCIPIO Publius Autorisation : Membre Nb de messages : 2287 Inscrit le : Mar 17 Avr 2012	Posté le : Ven 04 Nov 2016
	Il ne s'agit pas tant de "développer" la province que d'empêcher qu'elle ne sombre totalement, ce qui favoriserait le brigandage et le scepticisme vis-à-vis de la République. Les terres, certes, n'y sont pas des plus fertiles, mais il n'est pas besoin non plus, pour qu'une province retrouve quelque dynamisme, qu'elle soit un pays de Cocagne ou bénéficie des mêmes richesses agricoles que la Campanie. Ce qu'il faut, c'est que cette terre puisse nourrir les hommes qui la cultivent et leurs familles. Cela doit être possible, quitte à créer des lots un peu plus grands. L'envoi de colons romains là-bas me semble donc possible, et même nécessaire. L'envoi d'artisans est aussi une possibilité. Évidemment, il faut qu'ils puissent vivre de leur métier. Il faudrait alors demander aux autorités locales de quels métiers elles ont le plus besoin dans leurs cités. ---------------------- Imperator - Triomphe sur les Insubres en 394. Victorieux des Lucaniens en 402. Censeur 404-405, 406-407. Consul 391, 395, 396, 397, 400, 401, 402, 408. Préteur 386, 387, 388. Édile 382, 383, 384. Questeur 380, 381.


VOLAGINIUS DOMITIANUS Caius Autorisation : Membre Nb de messages : 283 Inscrit le : Mar 02 Fév 2016	Posté le : Ven 04 Nov 2016
	En effef consul,la terre permet de cultiver.Nous devons adapter la culture majoritaire,le blé en Campanie et le bétail en montagne,cela parait logique L'envoi de colons et d'artisans ne peut marcher que d'une si nous développons les bâtiments nécessaires pour une province de cette taille et de deux une petite aide à l'installation des artisans par exemple ---------------------- Tribun de la plèbe:400-401-404-405 Membre de la sodalité de Vulcain:401- Sénateur populares Mail:romepjem@gmail.com


CORNELIUS SCIPIO Publius Autorisation : Membre Nb de messages : 2287 Inscrit le : Mar 17 Avr 2012	Posté le : Sam 05 Nov 2016
	A combien pourrions-nous estimer cette aide pour permettre à des artisans de s'installer ? ---------------------- Imperator - Triomphe sur les Insubres en 394. Victorieux des Lucaniens en 402. Censeur 404-405, 406-407. Consul 391, 395, 396, 397, 400, 401, 402, 408. Préteur 386, 387, 388. Édile 382, 383, 384. Questeur 380, 381.


CLOELIUS SICULUS Titus Autorisation : Membre Nb de messages : 42 Inscrit le : Mar 26 Juil 2016	Posté le : Sam 05 Nov 2016
	Se lève avant que quelqu'un ne réponde au consul Ce débat est intéressant et important, consul. Mais il me pose un problème. Nous parlons de développer une province, en y construisant des bâtiments, en y envoyant des citoyens romains et des artisans mais sans savoir où. Pour les bâtiments, il faut construire, d'accord, mais où ? quoi ? Cette discussion a été ouverte suite à l'envoi d'une demande des décurions de cette province mais dans cette missive, ils font le constant de l'état déplorable de leur province sans formuler de voeux précis ? sans avoir de pistes à offrir ? Si c'est le cas, si les décurions se contentent de demander de l'aide sans rien demander de précis, il y a là un problème. Selon moi, le problème est là. Tu l'as indiqué dès le début de cette séance. Tu as dit que "La pauvreté, les inégalités engendrent des tensions politiques, notamment entre le sénat provincial à Castrum Novum et les autres cités." Le problème est que le sénat provincial n'a pas les moyens, ou pas la volonté, ou pas l'envie, ou pas l'intérêt à s'imposer face aux cités. Le problème est que les décurions demandent de l'aide à Rome et que ce n'est pas d'argent qu'ils ont besoin mais d'autorité, de plus d'autorité. Je ne peux croire qu'une province aussi grande que l'Aesium n'ait aucun atout. Non, je ne peux pas le croire. Par contre, je suis certain que si chaque cité gère son intérêt propre au détriment de ces voisines, si les grands propriétaires accaparent des terres car aucune autorité ne les empêchent, alors la situation de l'Aesium est critique. Notre réponse ne peut être simplement l'envoi d'argent, de citoyens ou d'artisans, en tout cas pas dans un premier temps. Notre réponse doit être celle de la fermeté. Il existe une autorité provinciale, elle doit agir. Si les hommes en place ne sont pas compétents, qu'on les change. Il existe des négociants très actifs en Aesium qui serait ravis de donner leurs avis. Consul, que les décurions viennent à Rome discuter avec toi, qu'ils présentent au Sénat la situation et leurs solutions. Il faut que les décurions réaffirment leur autorité, s'imposent face aux cités, condamnent les grands propriétaires qui outrepassent la loi.


CORNELIUS SCIPIO Publius Autorisation : Membre Nb de messages : 2287 Inscrit le : Mar 17 Avr 2012	Posté le : Dim 06 Nov 2016
	Hélas, je ne pense pas que ces grands propriétaires outrepassent la loi. Ils doivent se contenter d'acheter les terres des petits paysans qui, dans la pauvreté où ils sont, ne peuvent pas refuser. Alors certes, ces derniers gagnent un peu d'argent sur le moment, mais, à terme, doivent rejoindre la cohorte des déracinés sans ressource. Là-dedans, cependant, aucune entorse à la loi ! Mais, tu as raison, il faudrait, pour que notre action soit efficace, avoir des propositions concrètes des décurions. Je vais leur envoyer un courrier pour leur demander de nous formuler des vœux précis et réalisables. ---------------------- Imperator - Triomphe sur les Insubres en 394. Victorieux des Lucaniens en 402. Censeur 404-405, 406-407. Consul 391, 395, 396, 397, 400, 401, 402, 408. Préteur 386, 387, 388. Édile 382, 383, 384. Questeur 380, 381.


CLOELIUS SICULUS Titus Autorisation : Membre Nb de messages : 42 Inscrit le : Mar 26 Juil 2016	Posté le : Dim 06 Nov 2016
	Je te remercie consul. J'ai encore une remarque à formuler. Il nous faut des renseignements plus précis et ta lettre aux décurions nous les apportera. Cependant, nous pouvons continuer cette discussion si nous avons des éclaircissements. Et dans cette assemblée, une personne doit en avoir. Regardant en direction des rangs des sénateurs impérialistes Bonehemus, sénateur de la province d'Asium, doit avoir des éléments à nous communiquer. Peut-être peut il prendre la parole s'il est présent.


VALERIUS PUBLICOLA Primus Autorisation : Membre Nb de messages : 1704 Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016	Posté le : Dim 06 Nov 2016
	Si ce n'est le cas le sénateur Gaïus Bransonus, lui aussi originaire de l'Aesium, pourrais nous apporter son regard et son savoir sur la situation économique et sociale de cette vaste province, et quels aménagements seraient nécessaires. ---------------------- Gens Valerii Publicolae Naissance en 369 Historien de Rome Rang et tendanceSénateur patricien Faction des Modérés Cursus honorum Flamine de Vesta (400 - ) Questeur : 401 Edile : 402, 403, 404 Préteur : 406, 408 Consul (409) Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité. SALLUSTE, Cat, I


CLOELIUS SICULUS Titus Autorisation : Membre Nb de messages : 42 Inscrit le : Mar 26 Juil 2016	Posté le : Dim 06 Nov 2016
	Sénateur Valerius, je suis d'accord avec toi sur l'intérêt d'écouter Gaïus Bransonus mais ce qui m'étonne c'est qu'il n'est pas inscrit dans l'album sénatorial, sauf erreur de ma part.


VALERIUS PUBLICOLA Primus Autorisation : Membre Nb de messages : 1704 Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016	Posté le : Dim 06 Nov 2016
	HJ Pourrais-t-on supprimer ma réplique. Gaius Bransonius est nommé comme sénateur en dehors des factions dans la liste des PNJ, mais pas dans l'album sénatorial. ---------------------- Gens Valerii Publicolae Naissance en 369 Historien de Rome Rang et tendanceSénateur patricien Faction des Modérés Cursus honorum Flamine de Vesta (400 - ) Questeur : 401 Edile : 402, 403, 404 Préteur : 406, 408 Consul (409) Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité. SALLUSTE, Cat, I


FUGITIVUS PERTINAX Septime Autorisation : Membre Nb de messages : 1163 Inscrit le : Dim 11 Mar 2012	Posté le : Dim 06 Nov 2016
	Si je peux me permettre, le problème de l'Aesium tient en partie à ce que cette province est trop grande par rapport à son nombre d'habitants. S'il n'y avait pas ces grandes propriétés foncières je gage qu'une partie du pays serait à l'état sauvage. L'étalement de l'Aesium sur presque une moitié de la façade Est de la République est aussi un sacré casse tête pour sa défense, et donc un point faible dans notre défense commune. Nous l'avons bien vu: si des pirates peuvent nous causer autant de dégâts en nous laissant impuissant, que dire d'une flotte adversaire qui débarquerait des troupes le long de ses côtes? C'est bien pour cette raison que nous ne devons pas délaisser l'Aesium car dès lors, d'autres que nous pourraient s'y intéresser. Que faire alors pour développer la province? une chose serait peut être de réserver les terres proches des cités aux habitants de ces cités, de lier en cela les villes à leur territoire alentour. Une autre chose serait de créer des liens plus étroit entre les cités de l'Aesium avec les cités des autres provinces qui sont plus proches d'elles. Par exemple Aesium et Ariminium sont relativement proches, et ne pourrions nous pas relier Ancona à Ingovium, Castrum Novum à Nursia? Oui, cela pourrait demander de créer des extensions routières, mais après tout, pourquoi pas? Nous n'arriverons jamais à valoriser tout le territoire, cependant il peut valoir de nous concentrer sur des parties limitées. ---------------------- Consul suffect


VALERIUS PUBLICOLA Primus Autorisation : Membre Nb de messages : 1704 Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016	Posté le : Lun 07 Nov 2016
	la remarque du sénateur Fugitivus Pertinax est intéressante sur les problèmes posés par la taille de l'Aesium. Ne faut-il pas alors réduire la taille l'Aesium en en rattachant des parties à des provinces plus petites et plus densément peuplées ? ---------------------- Gens Valerii Publicolae Naissance en 369 Historien de Rome Rang et tendanceSénateur patricien Faction des Modérés Cursus honorum Flamine de Vesta (400 - ) Questeur : 401 Edile : 402, 403, 404 Préteur : 406, 408 Consul (409) Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité. SALLUSTE, Cat, I

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