| La campagne du Bruttium, suites à donner. |
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LAFRENIUS CLARUS Lucius
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Inscrit le : Sam 14 Sep 2013
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 Posté le : Jeu 12 Juil 2018 |
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J'entend ce que tu me dit...
Mais je ne suis le chef de personne. j'ai mes convictions et je compte bien les faire avancé de part ce premier consulat.
Si de nombreux sénateurs vont dans mon sens, c'est peut être qu'ils ont été trop longtemps oubliés
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 Questeur 388, 389  Edile 390, 391  Préteur 392  . Légat 401, 402, (légion Bruttia, Bruttium) Gouverneur 405 (provinces du nord et vénétie)
 Consul 406
laf.clarus@gmail.com |
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FUGITIVUS PERTINAX Septime
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Inscrit le : Dim 11 Mar 2012
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Posté le : Ven 13 Juil 2018 |
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/ Répondant aux magistrats./
- Si nous sommes à nos postes, c'est les romains ont voté pour nous Que nous l'acceptions ou non, nous représentons plus que nos personnes ou nos gens, nous représentons Rome et la République, et nous devons montrer l'exemple.
Maintenant, attendons le retour du Censeur. Nous pourrons alors engager la séance.
(CSP, on t'attend!!)
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Consul suffect |
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FUGITIVUS PERTINAX Septime
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Inscrit le : Dim 11 Mar 2012
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Posté le : Mer 18 Juil 2018 |
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/Visiblement impatient/
- Bon, il n'est pas dit que nous devons attendre sans rien faire. Avant d'intervenir, il serait bon que chacun ici se souvienne des débuts de cette guerre, des campagnes déjà menées, et de l'évolution de la situation. Car si à cette heure nous avons l'impression de combattre un ennemi sans nom, cela n'a pas commencé ainsi. C'est un conflit qui, comme une hydre à de nombreuses têtes, et lorsque l'on en coupe une, elle repousse!
Au départ donc, des troubles fomentés au Samnium avec au minimum des rebelles aidés en sous main par la Lucanie. L'intervention du consul Cornelius Scipio qui poursuivi des troupes ennemies du Samnium en Lucanie, entraînant l'entrée dans le conflit de la Ligue de Corinthe. Les victoires du consul Détritus sur les phalanges grecques, du siège de Siris et de la défaite totale de la Lucanie. Mais aussi du saccage par des armées de mercenaires grecs de notre province du Bruttium, du légat Petronius Felix, mon neveu, prit en étau à Croto avec une légion! Souvenez vous que nous sommes allés le secourir sans pouvoir toutefois reconquérir le Bruttium dans un premier temps!
Voyez l'effort fourni par nos aigles sur plusieurs années, la ligne directrice qui à dictée notre politique!
Réfléchissez à tout cela!
maintenant vous allez entendre le récit de ma campagne au Bruttium, que tous soit au même degré d'information. C'est le rapport que j'avais envoyé au consul Détritus.
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Consul suffect |
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FUGITIVUS PERTINAX Septime
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Posté le : Mer 18 Juil 2018 |
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/ un assesseur fait lecture du rapport concernant le Bruttium./
" Argentanum, automne 405.
Consul Détritus, je t'envoie ce premier rapport qui vient conclure la première partie de notre campagne de reconquête.
1/ L'ex territoire de Lucanie subit encore la pression de partisans du feu archonte Thanos. Afin d'alléger nos colons qui subissent des attaques récurrentes, j'ai laissé une légion à Siris en charge de leur donner la chasse. Les efforts de nos hommes ont payé, car nous avons réduit leur champ d'action et leur avons coupé la route vers le Bruttium et les avons acculés dans la zone montagneuse entre Velia et Semuncla. Ils sont toutefois encore actif et tentent de se ravitailler sur la plaine de Sélé sur laquelle veillent les colons de Paestum.
2/ pour faire le point sur l'état du Bruttium et la localisation des forces ennemies, en plus des cavaliers envoyés en éclaireurs j'ai pu compter sur l'aide précieuse de notre flotte, dont voici le rapport:
- "Tempsa a été complètement rasée, aucune troupe ennemie ne semble y stationner.
- Sur la côte nord du Reghium, la seul cité fortifiée est Vibo Valentia, l’Hippnium des grecs. Dans scs deux ports , Navalia et Portus, aucun navire de guerre n'a été remarqué, quelques navires de commerce restent cachés sur la grève.
- Le détroit de Reghium était en pleine effervescence, des navires traversaient le détroit entre Reghium et Zancle situé en Sicile . L’arrivé de la Flotte romaine a mis fin a cette activité et mis en alerte le port de Reghium qui dispose de fortification et d’un armement important; cependant là encore aucune trace de la flotte reghiote, à l’exception de plusieurs navires de guerre lourd qui ont fermé l’accès au port au moment du passage de la flotte romaine.
- Sur la côte sud, deux cités sont fortifiées d’importance sont : Locre Epizephyri dont le port artificiel est collé aux murailles de la cité. Là encore pas trace de la flotte reghiote . La seconde cité fortifiée est Caulonia, cité riche en matière première venant de la montagne proche : bois, pierre, sel, or et plomb et possède un important port, Cocyntium, à double accostage sur le fleuve proche de la cité.
En continuant le long de la côte du Bruttium, on peut constater que rien n’a été épargné, les villages côtiers sont pillés, incendiés et vidés de leur population.
Quand a Croto elle-même, les fortifications de la cités ont été éventrés : deux portes ont été complétement détruite et il ne reste debout que les Temples et quelques bâtiments épars. Des troupes ont été repérer sur la côte qui surveille la mer, mais aucune troupes d’importance, visiblement des patrouilles uniquement." Ultérieurement, j'ai appris par les décurions de Tarente que des voiles avaient été aperçues au large de la Calabre, ce qu'à confirmé le Navarque. Cependant il semble que ce soit la flotte de la ligue de Corinthe, et non la flotte de Rhégium qui nous est pour l'instant invisible.
Par mes éclaireurs j'ai pu rendre que Thurii était également entièrement pillée, t nous sommes tombés très tôt sur des patrouilles ennemies. Nous avons localisé nos adversaires autours des cités de Caprasia, Interamnium et Argentanum où ils semblent nous attendre. Entre 20 à 25000 hommes avaient pris position dans Argentanum, qu'ils avaient transformé en camp retranché.
En concertation avec le légat petronius, la décision fut prise d'engager le combat et de manoeuvrer ainsi. 2 légions sous le commandement du légat Petronius prirent position autour d'Argentanum, en bâtissant des contre fortifications autour. Nous savions qu'agissant ainsi nous serions repérés, et que nos adversaires enverraient des troupes de renforts vers leurs unités assiégées. Il ne savaient pas que le reste de nos légions avaient pris positions à la base des montagnes, les attendant de pied ferme. J'avais pris position avec eux de manière bien visible, afin que les efforts des grecs portent vers moi. Je regroupais l'ensemble de notre cavalerie sur notre flanc droit, bien cachée dans un renfoncement du massif sous le commandement du fidèle Bauerus, que je nommais pour l'occasion maître de cavalerie.
Les combats commencèrent autour d'Argentanum alors que les troupes de renforts commençaient à affluer dans la plaine.. Par une ruse digne du grand Ulysse, le légat Petronius fit croire aux assiégés qu'ils pouvaient se porter sur nos arrières, et les forçât à sortir de leurs retranchement. C'était pour mieux les prendre en embuscade et leur porter de grandes pertes, et ils durent honteusement retourner derrières leurs palissades et assister impuissant aux combats se déroulant dans la plaine.
En contrebas, nos légions attendaient fièrement l'assaut des mercenaires Rhégiotes. Se croyant maîtres en notre maison ils nous chargèrent avec hargne, les longues sarisses des hoplites donnaient l'impression d'un champ de blé aux épis métallique. Une pluie de flèche et une grêle de balles de frondes tombait sur nous et protégeait leur approche, tandis que leur cavalerie protégeait leurs flancs.
Sur les hauteurs, nos aigles les dominaient, et alors qu'ils arrivèrent à mi hauteur, nous fondîmes sur eux, portés par l'ardeur de Mars Vengeur. Les débuts de l'engagement semblait à leur avantage, leur cavalerie s'élançait sur notre flanc gauche. C'était bien là notre intention, et nous reculions, petit à petit, comme si nous perdions du terrain. C'est le moment ou, encore invisible, notre cavalerie s'élança, faisant gronder la plaine d'un roulement de tonnerre, comme si Jupiter nous accompagnait. Sous les ordres de Bauerus nos cavaliers balayèrent la cavalerie ennemie, et nous en profitâmes pour contre attaquer , tout d'abord au centre.
Bauerus engagea alors le flanc des hoplites en y portant la panique, alors nous relançâmes l'assaut sur tous les fronts, sonnant ainsi le repli des mercenaires Rhégiotes. Sous le commandement de leurs généraux ils se retirèrent auprès de leurs bagages et chariots, tentant une dernière fois d'agréger leurs forces. Mais nous étions derrière eux, et ils n'eurent pas le temps de se déployer. La lutte fut de courte durée et nous les contraignîmes à la fuite, durant laquelle ils furent acculés à une rivière qui fut le lit de leur défaite totale.
Seul le crépuscule arrivant fit cesser le mouvement sanglant de nos glaives; des flots rougeoyants s'écoulait la vie de nos ennemis, nous leur fîmes rendre gorges, eux qui se croyaient invincibles.
A la fin de cette journée de combats, nous fîmes le décompte des pertes; où nous perdîmes un peu moins de 5000 hommes l'armée mercenaire compta plus de 14000 morts.
Nos prochains efforts porterons sur les mercenaires retranchés dans Argentanum, et, avant que ne s'installe l'hiver nous tenterons de libérer Nova Narnia d'une garnison grecque. Je pense que les fuyards de l'armée défaite tenterons de les rejoindre.
Consul Détritus, dis aux romains qu'ils peuvent être fiers de leurs Aigles! Que Mars soit remercié comme il se doit!
Mais je ne crie pas victoire, car le Bruttium n'est pas encore vengé. Il faut aussi nous méfier, car la flotte de Rhégium reste invisible, et que celle de la ligue de Corinthe à été aperçu au large de la Calabre. Il nous faut redoubler d'attention. C'est à ce prix là que la victoire de nos aigles sera totale!
Pour le sénat et le peuple de Rome,
Légat Fugitivus Pertinax Septime".
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Consul suffect |
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SERGIUS AHENOBARBUS Manius
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Inscrit le : Mar 21 Mar 2017
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Posté le : Ven 20 Juil 2018 |
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/Vers un de ses amis sénateurs.
Le Bruttium n'est pas encore vengé ... ni même reprit.
/Se levant.
Quelle stratégie est prévue pour reprendre Nova Narnia ?
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MANIVS•SERGIVS•VOLVSI•FILIVS•VOPISCI•NEPSOS•AHENOBARBVS
Rang et tendance :  Patricien et belliqueux
Première page de la domus : En cliquant sur la domus, pour savoir tout sur les membres, sur la richesse familiale, qui est encore à marier ou mort.
Naissance : 357
Cursus Honorum :  Quaestor: 403  Aedilis: 405  Praetor: 406
Cursus Officium :  Missum Extraordinarium : 390 à 398  Magister opus: 402  Flamen: 404 (Saturne)
Liens divers : Pour en savoir plus sur les Sergii Ahenobarbi, suffit de cliquer dessus. Ou encore sur l'arbre généalogique (dernière mise à jour : 397) de la gens Sergia. Ou bien sur la composition du sénat (dernière mise à jour : 390). Ma carte perso montrant l'étendue de la république romaine (dernière mise à jour : 405), et des territoires connus. |
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FUGITIVUS PERTINAX Septime
Autorisation : Membre
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Inscrit le : Dim 11 Mar 2012
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Posté le : Ven 20 Juil 2018 |
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/Ayant l'ouïe fine/
- Tu as raison en partie seulement préteur. Le Bruttium n'est pas totalement vengé, ni totalement reprit. C'est un pays désertique avec des cités en ruine qui appel de tout son cœur à la vengeance. Oui, la justice n'y suffira pas, ni la mort du dernier mercenaire grec.
-Quand à Nova Narnia, au moment où j'en suis parti, la stratégie s'appelait Siège, Hiver, et Famine. Et je devais revenir avec des légions nouvelles, pour préparer la suite, c'est à dire la sécurisation totale du Bruttium, et la vengeance. Car c'est de cela qu'il s'agit maintenant, de montrer que l'on ne peut pas s'attaquer à la République comme le Rhégium l'a fait, et s'en sortir sans représailles aucunes.
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Consul suffect |
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FUGITIVUS PERTINAX Septime
Autorisation : Membre
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Posté le : Dim 29 Juil 2018 |
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/regarde les sénateurs, cherchant les regards/
- 5 légions sont restées au Bruttium et je compte les conserver car les acquis de nos légionnaires sont indispensables dans la poursuite de nos efforts.
Mais il faut que 5 légions supplémentaires partent les rejoindre, afin à la fois de stabiliser le sud, et de passer à l'étape suivante, la reddition du Rhégium.
Je le pense et le dis haut et fort: laisser le Rhégium s'en sortir indemne, c'est leur laisser croire qu'ils pourront, dans le futur, porter le fer contre nous sans risque.
Il en est hors de question.
Donc je demande dans un premier temps le départ de 5 légions pour soulager nos frères d'armes qui rétablissent la situation dans le sud.
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Consul suffect |
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SERGIUS AHENOBARBUS Manius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 471
Inscrit le : Mar 21 Mar 2017
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Posté le : Lun 30 Juil 2018 |
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/Intervenant.
Dix légions ? Est ce que le Trésor peut se permettre un tel effort en cette difficile période ? Beaucoup de troubles ont lieu. Les citoyens, certes les plus modestes, ont du mal à se nourrir. Pouvons nous retirer de nos campagnes tant de bras ?
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MANIVS•SERGIVS•VOLVSI•FILIVS•VOPISCI•NEPSOS•AHENOBARBVS
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FUGITIVUS PERTINAX Septime
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1163
Inscrit le : Dim 11 Mar 2012
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Posté le : Mer 01 Aoû 2018 |
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Le trésor peut être aidé, mais ton questionnement est légitime. Un questeur peut-il y répondre?
Très honnêtement, les 5 légions au Bruttium doivent y rester mais elles n'auront pas de capacités invasives, tout au plus de nuisance, ce qui peut convenir dans une stratégie de mise en tension. Mais elles auront besoin de relai sur place, ne serait-ce que pour assurer la capacité de tourner entre les légions.
Mettons 3 légions en sus, puis deux légions pour envoyer en Campanie en vue de chasser les brigands et d'assurer les convois de blés. Ces légions pourraient être levées sur la Campanie . Qu'en penses-tu préteur?
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Consul suffect |
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VALERIUS PUBLICOLA Primus
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1704
Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016
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Posté le : Mer 01 Aoû 2018 |
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Printemps 406
Le sénateur Primus Valerius Publicola intervint à son tour.
"Pères de la Patrie, Rome est en guerre depuis de nombreuses années contre une coalition et des mercenaires aguerris et, face à ce danger, nous ne pouvons différer les mesures à prendre.
Consul Fugitivus Pertinax, agissez comme notre glaive et notre bouclier, sans montrer de vindicte contre les civils pour montrer aux Hellènes que notre mission est de nous défendre avec justice et mesure, non de les agresser.
Sénateurs, que le Consul mène nos armées à la victoire par les armes.
Nous débattrons ici, en salle interdite au public, les mesures politiques et diplomatique pour permettre l'achèvement de cette guerre. Offrons une porte de sortie à la coalition ennemie, de façon à éviter une lutte désespérée."
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Gens Valerii Publicolae
Naissance en 369  Historien de Rome
Rang et tendanceSénateur patricien Faction des Modérés
Cursus honorum Flamine de Vesta (400 - ) Questeur : 401 Edile : 402, 403, 404
Préteur : 406, 408
Consul (409)
Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité.
SALLUSTE, Cat, I |
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Mer 01 Aoû 2018 |
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Les sénateurs modérés acclament le préteur.
Lucius Macedo, voûté et affecté par l'âge, sourit doucement à l'orateur.
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Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas) |
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Mer 01 Aoû 2018 |
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Du rang des enragés un homme au teint hâlé et à la voix puissante clame alors d'une voix de stentor
"Que le consul parte alors ! Qu'il parte vite avec ses légions ! Et surtout qu'il nous revienne avec du blé pris à l'ennemi ! Pille Consul !"
Une voix reprit alors
"Pour une fois qu'il ne pillera pas les pauvres Romains !"
Les acclamations provocatrices des enragés s'éternisèrent alors...
Les autres factions montrèrent leur approbation au départ de l'un des consuls et à la levée du nombre de légions demandées.
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Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas) |
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CORNELIUS SCIPIO Publius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2287
Inscrit le : Mar 17 Avr 2012
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Posté le : Ven 03 Aoû 2018 |
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Le censeur revient peu après dans la Curie. Il prend connaissance des échanges précédents puis se lève et prend la parole :
Patres, pendant trop longtemps nous avons enduré la présence de l'ennemi à nos portes. Celui-ci a finalement frappé en tentant de susciter une révolte sur le territoire de la République, puis en nous déclarant formellement la guerre.
La sécurité de Rome ne pourra être assurée que lorsque toute l'Italie sera nôtre. Il est capital pour la survie même de la République que nos provinces du Sud soient intégralement libérées et que Rhegium tombe définitivement en notre pouvoir.
L'enjeu est de la plus haute importance, et, pour cela, nous devons engager les moyens nécessaires. Ne lésinons pas sur les moyens. Refuser d'engager suffisamment de légions pourrait nous coûter très cher. Mieux vaut en lever peut-être plus que nécessaire que pas assez. Le Trésor a les moyens de couvrir cela et, si nous l'emportons, les profits de la victoire et de la paix viendront ensuite rapidement le combler.
Que les dieux protègent nos armées.
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Imperator - Triomphe sur les Insubres en 394.
Victorieux des Lucaniens en 402.
Censeur 404-405, 406-407.
Consul 391, 395, 396, 397, 400, 401, 402, 408.
Préteur 386, 387, 388.
Édile 382, 383, 384.
Questeur 380, 381. |
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Ven 03 Aoû 2018 |
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Les Conservateurs manifestent leur approbation aux paroles de leur chef naturel, le Censeur.
Le tribun de la plèbe et le nouveau sénateur Dillius Colombanus apportent leur soutien.
Puis, le sénateur Valerius Publicola entraine les modérés avec l'assentiment de Lucius Macedo.
Bientôt, ce sont presque tous les sénateurs à l'exception de quelques rares isolationnistes qui approuvent la proposition du Censeur.
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Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas) |
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SERGIUS AHENOBARBUS Manius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 471
Inscrit le : Mar 21 Mar 2017
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Posté le : Dim 05 Aoû 2018 |
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/Laissant les sénateurs et magistrats s'exprimer, le préteur revient sur l'interrogation du consul Septimus Fugitivus.
Pour les nouvelles légions, si le Trésor le supporte, d'accord. Si certaines seront utilisées pour la protection de l'approvisionnement en blé pour l'Urbs, d'accord.
... Mais ne serait il pas judicieux de lever ailleurs qu'en Campanie ? Je veux dire, que les bras qui seront utilisés dans les légions, ne seront plus utilisés dans les champs. Hors, ce sont dans les champs de blé qu'ils nous seront les plus utiles.
Levons dans les provinces où l'approvisionnement en blé pour Rome n'est pas aussi important que peut l'être, la part du blé campanien dans les estomacs de nos concitoyens est trop grande pour risque d'en perturber les récoltes.
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