| CARCER TULLIANUM (Prisons de Rome) |
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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 Posté le : Jeu 08 Nov 2018 |
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"Tu comptais dire des mensonges sur le forum en te moquant de nous !"
Le decemvir ferme le poing !
"Tu finiras par parler... ou, sans nourriture dans cette prison, tu finiras fou ou cannibale !"
Un horrible cri se fait à nouveau entendre
"Le repas est bientôt servi ! De la viande crue en quantité !"
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Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas) |
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CORNELIUS SCIPIO Publius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2287
Inscrit le : Mar 17 Avr 2012
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Posté le : Jeu 08 Nov 2018 |
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Le censeur répond calmement :
J'ai déjà passé un hiver, assiégé avec mon armée, dans un oppidum gaulois, sans que nous ayons grand-chose à manger.
Alors, tes petits fantasmes, tu peux te les garder. Mais fais bien attention à toi ...
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Imperator - Triomphe sur les Insubres en 394.
Victorieux des Lucaniens en 402.
Censeur 404-405, 406-407.
Consul 391, 395, 396, 397, 400, 401, 402, 408.
Préteur 386, 387, 388.
Édile 382, 383, 384.
Questeur 380, 381. |
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Jeu 08 Nov 2018 |
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Le decemvir blêmit. Rageusement, il jette la pomme dans un coin sombre.
"Prends, tu n'auras que cela à manger jusqu'au moment de ton exécution... ou de tes aveux ! Tu es Censeur, ancien consul ! Tu connais assez de monde... Dans un premier temps, dénonce moi juste tes ennemis."
Deux esclaves apportent une forme de vie atrocement torturée.
"Voilà ton compagnon Préteur, regardes le et réfléchis ! Tu ne voudrais pas devenir comme lui ?"
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Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas) |
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CORNELIUS SCIPIO Publius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2287
Inscrit le : Mar 17 Avr 2012
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Posté le : Jeu 08 Nov 2018 |
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En guise de réponse, le censeur s'assoit au fond du cachot, prend la pomme entamée et la lance à la figure du décemvir :
Je suis un peu maniaque, c'est sans doute mon âge ... Je mets toujours les ordures ensemble.
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VALERIUS PUBLICOLA Primus
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1704
Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016
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Posté le : Jeu 08 Nov 2018 |
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Un rire entrecoupé de toux jaillit faiblement de la gorge du Préteur.
Son bras se relève lentement, essuie le sang de ses lèvres. Il marmonne difficilement.
"Bien joué !"
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Gens Valerii Publicolae
Naissance en 369  Historien de Rome
Rang et tendanceSénateur patricien Faction des Modérés
Cursus honorum  Flamine de Vesta (400 - )  Questeur : 401  Edile : 402, 403, 404
 Préteur : 406, 408
Consul (409)
Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité.
SALLUSTE, Cat, I |
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Sam 10 Nov 2018 |
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Les jours suivants...
"Toujours rien à boire !"
Le gardien, une amphorette à la main, regardait les deux hommes.
"Bon, ceci dit il y a poire sort, pardon pire sort..."
Il boit à nouveau.
"Vraiment pas, il suffirait de quelques noms pourtant !"
Des bruits de pas lourds se font entendre
"Ecoute Censeur, pendant que tu te prélasses, le Préteur est torturé. Voilà les hommes qui vont l'interroger ! Tu ne veux pas parler pour le soulager un peu ?"
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Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas) |
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VALERIUS PUBLICOLA Primus
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1704
Inscrit le : Ven 12 Aoû 2016
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Posté le : Sam 10 Nov 2018 |
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Le Préteur secoue la tête, mais ne se lève pas en entendant les pas des geôliers.
Il souffle à voix basse pour que seul le Censeur l'entende
"Ils ne me posent même pas de questions. Ils tentent de briser ma volonté et surtout la tienne."
Reprenant après une courte respiration
"Ils ont laissé mon corps intact, s'en prenant uniquement à mes cicatrices résultant de mes tentatives d'assassinat. Ils ne veulent pas laisser de traces..."
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Gens Valerii Publicolae
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CORNELIUS SCIPIO Publius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2287
Inscrit le : Mar 17 Avr 2012
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Posté le : Sam 10 Nov 2018 |
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Le censeur répond au gardien :
J'ai donné mes conditions à ton ami le décemvir. Il n'a pas voulu, tant pis pour lui.
Marque une pause, puis reprend :
Mais, dis-moi, toi ... Combien les décemvirs te paient-ils donc pour que tu acceptes ainsi d'abandonner tes amis, de trahir ta patrie, de souiller l'honneur de ta famille et le souvenir de tes ancêtres ?
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Sam 10 Nov 2018 |
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Avec un large sourire
"Dix fois plus !"
Continuant
"Ma "Patrie" nous laisse tous crever de faim. Le prix du pain, et même du rat, a tant augmenter que nous sommes tous devenus des mercenaires."
Il crache par terre
"Et je suis heureux d'infliger le même sort à ces patriciens gorgés de richesses à s'en faire exploser le ventre"
Désormais très en colère
"Ton ventre de nanti!"
Il s'approche et donne un fort coup de pied au ventre du Censeur. Son regard est enflammé, il est prêt à recommencer...
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CORNELIUS SCIPIO Publius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2287
Inscrit le : Mar 17 Avr 2012
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Posté le : Sam 10 Nov 2018 |
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Le censeur se relève difficilement, puis répond :
Tu peux bien me frapper, moi, les patriciens, les sénateurs, ou qui tu veux, cela ne fera pas baisser le prix du pain.
En attendant, sous le règne de tes chers décemvirs, ce prix n'a fait encore que monter davantage ...
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Sam 10 Nov 2018 |
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"Ouais !"
A ce moment entrent les gardiens en charge des tortures du Préteur. Sans ménagements ils emportent avec eux le corps du jeune homme, hilares, et laissent le gardien brutal avec le Censeur.
Les hommes s'éloignent. Un instant plus tard de nouveaux hurlements se font entendre.
"Reprenons... Ou souhaites-tu en venir ?"
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Mar 13 Nov 2018 |
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Le silence du Censeur reprenant son souffle après les coups exaspère le gardien. Ce dernier s'approche du Censeur, les poings levés.
"Parles ! Tu veux me corrompre c'est cela !"
Le souffle bruyant, l'homme au facies bovin contemple l'ancien Censeur. De multiples expressions parcourent son visage allant de la colère à la vanité, de la tristesse à l'avidité. Enfin, calmé et décidé, il murmure en se rapprochant de Publius Cornelius Scipio.
"Fais-moi devenir riche, et je te ferais t'évader !"
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CORNELIUS SCIPIO Publius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2287
Inscrit le : Mar 17 Avr 2012
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Posté le : Mer 14 Nov 2018 |
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Le censeur regarde l'homme en souriant, et répond :
C'est tentant ... Mais comment pourrais-je avoir confiance en quelqu'un qui se vend chaque jour au plus offrant ?
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Mer 14 Nov 2018 |
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L'homme tend une main avide
"En me payant plus que tous les autres ne le feront jamais !"
Puis, brusquement.
"Ton procès est proche. Ecoutes ! Je peux te faire évader, seul, pour 20 000 sesterces et les sommes que demanderons mes complices. Ensuite, tu auras un cheval. Le Préteur est trop torturé pour avoir les forces de s'évader."
Il s'approche encore du Censeur
"De l'or... ou la mort ?"
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MJ Apollon
Autorisation : Administrateur
Nb de messages : 1592
Inscrit le : Lun 11 Jui 2018
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Posté le : Mar 20 Nov 2018 |
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Un homme murmure à un autre...
"Si, voici le récit de la force d'âme des deux héros de la République. L'un se fait torturer sans faiblir et l'autre résiste à l'intimidation !"
Puis, sa voix commence à raconter.
"Le Gardien désirait faire évader le Censeur en échange d'or...
Le gardien fixe le Censeur et lui propose le marché suivant
« 20 000 sesterces plus les éventuels dépassements pour mes complices. En échange tu es conduit hors de la prison, on te donne un cheval. Mais tu n’emportes pas le Préteur qui n’es pas en état ! »
Il réfléchit un peu puis continue
« Tu t’évaderais pendant ton transfert du tribunal à la prison… »
Le censeur, allongé dans sa geôle aussi confortablement qu'il peut, regarde le censeur, et répond :
"Effectivement, c'est intéressant ..." répond le Censeur
Mais comment pourrais-je me fier à quelqu'un qui se vend ainsi au plus offrant ?
Je peux te promettre maintenant 20 000 sesterces pour que tu m'aides à me libérer. Mais peut m'assurer que ce soir, pour 30 000 sesterces, tu ne révèleras pas aux décemvirs que j'ai prévu une évasion sur le chemin du tribunal ?"
Le gardien se gratte la tête. Il semble réfléchir furieusement. Enfin, un sourire hideux déforme sa large face. Quelques instants plus tard il court, semblable à un fou, recherchant dans les coins obscurs de la prison une chose inconnue. Enfin, heureux, il agite sous le nez de Publius un rat énorme doté de yeux rouges flamboyants.
Quelques instants après, il le décapite en croquant sa tête d’un geste rapide et sur.
« L’habitude d’en attraper pour se nourrir, cela peut-être utile. »
Enfin, il verse le sang de l’animal immonde et prononce des paroles les yeux révulsés, bave écumante sur les lèvres.
« Je jure par Hécate la déesse des sorcières d’être fidèle à ma parole donnée à Publius Cornelius Scipio, de tout faire pour assurer son évasion en échange d’une somme de plus de 20 000 sesterces, ou de le tuer s’il s’efforce de me trahir. »
Puis, après avoir versé du sang sur ses lèvres il en propose au Censeur…
Le censeur regarde le gardien agir d'un air un peu dégoûté, puis, après un instant de silence, reprend :
"C'est comme ça que tu prononces tes serment ? Normalement, on prononce l'imprécation contre soi-même, si on ne respecte pas sa parole, pas contre l'autre !
Et, puis, moi, qu'aurais-je à gagner à te trahir ?"
Le censeur marque un autre silence, puis reprend :
Arrête donc tes bêtises. J'ai peut-être un autre marché à te proposer. Tu travailles avec les vigiles, c'est bien ça ?
Je peux te promettre 50 000 as si tu veilles à ce que le préteur Valerius Publicola ne souffre plus d'aucun tourment, et si tu t'assures que ni toi ni aucun de tes collègues ne frapperez plus aucune citoyen dans les rues ou en quelque occasion que ce soit..."
Le gardien renifle bruyamment puis croque dans le rat.
« Bon, je prononce l’imprécation pour te convaincre. Simplement Publicola ce n’est pas la peine de payer pour lui. Il faut au moins un mort pour les décemvirs dans l’avenir, et les hommes aiment bien taper dessus : à chaque fois il crie « Vesta » ou « Apollon », alors on parie sur le mot prononcé ! »
Il émet un rire long et gras puis s’interrompt en fixant le Censeur
« Après cela tu paie ou tu meurs !
J’en appelle à la déesse Hécate des serments sombres
Là où loge les lémures et les monstres de l’ombre
J’en appelle aux Furies, aux déesses de la vengeance
Qu’elles me fouettent, me frappent de démence
Si je trahis ma parole de faire s’évader
Celui qui de l’or et de l’argent m’a concédé. »
Il sort un couteau puis fixe le Censeur…
Le censeur répond calmement :
"Tu ne m'as pas compris. Je ne souhaite pas m'évader. Ce n'est plus de mon âge, et ne me servirait pas à grand-chose.
S'il faut un mort, alors ce doit être moi. Le préteur Publicola a encore bien des choses à faire. Ce n'est pas mon cas.
Alors, quelle est ta réponse ? Veilleras-tu à ce qu'il soit épargné, et à ce qu'aucun citoyen ne soit plus maltraité par tes collègues ?"
La violence des coups s’écrasant sur le Censeur fut la seule réponse. Le gardien envoya ses pieds dans son ventre, les gifles se succédèrent, les poings martelèrent son torse. Publius s’évanouit dans un râle douloureux.
« Voilà pour m’avoir fait perdre mon temps, Censeur ! »
L’homme s’éloigna d’un pas lourd. Arrivé derrière la porte il maugréa
« L’opération pour le faire suivre et remonter par des filatures le réseau de ses complices à échoué ! »
L’homme à qui il s’adressait cracha par terre puis sortit de son étui un long couteau acéré
« Passons à une autre étape alors ! »
Clôture partielle du rp et distribution des conséquences
| Citer | Publius Cornelius Scipio
Gain en prestige auprès du peuple:
Défenseur de la République : +4
Martyrs de la République : +1 |
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