Année 334 AUC

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Cursus Honorum
image:MedConsul.gif Consulat TUBBSARIUS Flavius et

COLDEEUS Nicolaeus

image:MedPreteur.gif Préture TARANTINUS Caius et

OVATORIUS Paulus

image:MedEdile.gif Edilité AELIUS AGRICOLA Tiberius et SABINUS AQUILA Lucius
image:MedQuest.gif Questure BELLANIUS Alexander, DARUS Benitus et CORNELIUS SCIPIO Publius (démission)
Autres fonctions
image:MedCenseur.gif Censure ANTONICUS Cornelius
image:MedTribun.gif Tribunat de la Plèbe TARINIUS Marcus Flavius et RASTINUS Marcus Gaius
image:MedPontifex.gif Pontificat DETRITUS Paulus
image:MedNavarq.gif Navarquat AVITUS Marcus Maecilius

et MASTOS (ajoint, décès)

image:popularite.png Autres n/a

Sommaire

Politique Intérieure

Des nouvelles rassurantes arrivèrent du nord. Les autels de Tellus furent détruits pierre par pierre devant une foule enthousiaste et soulagée. De grandes cérémonies religieuses à l'initiative de l'envoyé consulaire Fugitivus accompagnèrent ces destructions. Des prètres venus tout spécialement de Rome seraient venus pour officier lors de ces cérémonies. La population attendait maintenant avec impatience que les bâtiments détruits soient reconstruits.

Le Préteur Tarantinus publia un édit sur les enchères non provisionnées et prit des mesures contre les Sénateurs insolvables.

La construction d'un temple de Mercure sur le Mont Viminal fut voté et les reconstructions des deux temples détruits en Etrurie furent achevées. Six caserne de vigile en Campanie, chez les Vosques et en Aesium furent édifiées.

28 birèmes et 20 transports furent mis en chantier.

Le République romaine avait en stock au début du printemps près de total 52 000 tonnes, loin des 120 000 tonnes maximum de stockage.

L'affaire sur le meurtre d’un prêtre de Junon en Etrurie lié à l'attaque des augures se poursuit, la collaboration de certains gaulois permirent d’apprendre que nombre de magistrat et sénateurs importants ont été surveillés par leur commanditaire. Leur recruteur échappa aux services édilitaires.

Une affaire sur les attaques de Temples en Etrurie et une affaire sur les profanations des autels de Rome étaient en cours. Un certain nombre d’indication laissait à penser que ces deux affaires étaient liées. Un procès pourrait être ouvert en 335.

L'affaire sur le meurtre de Dalitus pourrait être rattache aux affaires précédente mais quelques éléments manquaient encore à l'Edilité.

L'Edilité et la Préture ne chômèrent pas suite aux échauffourées qui embrasèrent la place des Rostres lors du discours du Consulaire Flaminius, gravement blessé l'an passé. Plusieurs dizaines de personnes furent arrétées par les vigiles et la plupart furent condamnés à de lourdes amendes par une préture peu commode avant d'âtre remis en liberté.

Le pro-édile Vidrus, nommé en 333 par les Préteurs Coldeeus et Ovatorius, et confirmé dans sa fontion par les Préteurs Tarantinus et Ovatorius démissiona en 334 car il mit fin à l'enquête sur la corruption dans la Sodalité de Cérès, enquête commencé 4 ans plus tôt.

La balance de l'année 334 était proche des 41 millions, soit plus de 2 millions de déficit. Une enquête fut ordonnée par le questeur Bellanius sur la Questure en 334, dans le cadre de la lutte contre la corruption, menée par le fonctionnaire Rectus INTEGERRIMUS. Elle ne révela aucun detournements, corruptions ou autres irrégularités à Rome et dans le Latium. De meme dans les autres 13 Provinces, mais une enquête plus approfondie hors-Latium sera menée par deux intendants de la Questure dont l'experimenté Rectus INTEGERRIMUS en 335.

Le Questeur Publius Cornelius Scipio Junior disparut dès le début de son mandat. Il fut victime d'une longue séquestration, enlevé par des bandits sur les routes peu sûres de l'Italie. Il critiqua fortement ses deux collègues et démissionna de son poste. Les deux autres Questeurs exigèrent des excuses, mais il ne revint pas au Sénat.

Politique Extérieure

Campagne de Massalia

Au début du printemps, une terrible rumeur se répandit, des voyageurs passant aux abords de Massilia auraient vus la ville en proie aux flammes. On racontait que le territoire massiliote fut entièrement pillé par des mercenaires fêtant leur victoire. On racontait également que l'accropole de Massilia était en flamme, les troupes d'Andronicus auraient investi la ville. Aucun message n'était parvenu à Rome depuis l'envoi du Légat Labienus et des deux Légions Vulcain, et le traître Andronicus attaqua la ville à la fin de l'hiver, laissant Rome sans nouvelle.

L'ambassadeur romain Leto Atreus fut retrouvé en territoire gaulois délirant et ramené par un druide à Rome où il confirma que Massalia était assiégé et en flammes ! Le port était notemment bloqué par des machines de guerre prêtes à faire feu sur une flotte voulant rentrer ou sortir du port de Massalia. Le Légat Labienus ordonna au Navarque adjoint Mastos et à la flotte napolitaine de tenter une sortie la nuit venue, très peu de batiments survécurent et le Navarque adjoint mourut lors de cette sortie désastreuse.

Les Consuls, après une longue discussion, préparèrent un plan. Le Consul Coldeeus partira avec les troupes pour libérer Massalia, mais le Consul Tubbsarius fit de la désinformation au Sénat en espérant que le traître Andronicus soit prit au piège. Il annonça en effet que son collègue Coldeeus débarquerait entre Massalia et Tolosa alors que celui-ci débarqua en territoire ligure, bientôt rejoint par le légat Olecranus.

Les quatre Légions firent la traversée en plusieurs semaines. Pour ce faire, un nouveau Navarque Adjoint fut nommé pour aider le Navarque Avitus dans sa tâche, ce fut le Sénateur Gaius Lucius. Le Navarque établit une base navale sur un îlot qui semblait désert, Porquerolles, et le Consul Coldeeus débarqua près d'un village nommé Fréjus en territoire Ligure. Deux gauloise de l'assemblée Ligure vinrent à lui, et il reconnu dans un accord les frontières de la Ligurie contre un droit de passage des deux Légions Jupiter I et II sur leur territoire. Ils apprirent au Consul Coldeeus que les forces d'Andronicus étaient massées autour de Massilia. Que l'accropole était tombée et de nombreuses tribues ralliaient la nouvelle puissance. La flotte romaine fut entièrement anéantie et les pièces d'armement romains se négociaient sur les marchés. Le Navarque confirma par des Navires éclaireurs que la ville était en flamme. Le Légat Olecranus et les Légions Stalion I et II débarquèrent en territoire massaliote où elles rejoinrent le Consul Coldeeus avec de nouvelles provisions. Les deux débarquements eurent lieu sans heurts, Neptune ayant été clément.

Un leurre fut envoyé pour faire croire à un débarquement de l'autre côté de Massalia, et une partie de la flotte dirigée par le Navarque Avitus croisa dans cette zone deux jours avant l'arrivée des quatre Légions. Le Consul Coldeeus s'enfonca dans les terres et posta un contingent pour surveiller le flanc droit de l'armée romaine en marche sur Massalia.

Il arriva en pleine nuit quelque heures avant le Légat Olecranus, réorganisa ses troupes en attendant son Légat et envoya des éclaireurs sur le camp du fils d'Andronicus, qui dirigeait les forces mercenaires du traître. Le camp semblait étrangement calme, et la charge de cavalerie sur le camp confirma que celui-ci était vide d'hommes. Le Légat Olecranus envoya des cavaliers dans la ville, puis le Consul fit de même. Ils apprirent que le légat était dans la ville mais qu'il ne fallait pas pénétrer dans celle-ci avec les troupes. Il donna rendez-vous au Consul Coldeeus et au Légat Olecranus à la porte Est. Devant la porte, 50 hommes bien alignés mais qui font peine à voire, amaigri et blessé, présentèrent les armes au Consul, entourant le Légat Labienus et le Stratège massaliote. Le Légat prévint le Consul qu'il y avait une épidémie dans la ville, que 25% de la population était décimée, qu'il n'y avait plus de vivres, que seul l'acropole résistait encore. L'armée mercenaire avait quitté son camp quelques heures avant l'arrivée des Légions romaines, et était parti dans une direction inconnue. Des Légions Vulcain I et II, ne restaient que 850 Légionnaires et 2 200 Vélites, incapables de reprendre le chemin du combat et traumatisés à vie. La ville basse fut pillée, l'acropole était en flamme mais le trésor de Massalia était intacte, le port était jonché de carcasses de navires de la brillante flotte napolitaine. Le stratège assura au Consul que l'arrière pays massaliote était ravagé mais qu'ils avaient des ressources et qu'ils rétabliront les contacts avec leurs clients, ainsi qu'ils reconstruiraient les murailles en partie détruites.

Le Consul Coldeeus et le Légat établirent les quatre Légions sur les hauteurs de Massalia et donnèrent une partie de leurs réserves aux massaliotes, le Navarque adjoint Gaius Lucius en ayant ramené de Rome. Le Consul Coldeeus envoya des éclaireurs pour localiser l'armée ennemie, qui se trouva être derrière le seul pont sur le Rhône, qu'ils fortifièrent. Aucun ennemi proche ne fut à signaler. Quelques ligures débarquèrent sur l'île de Porquerolles et demandèrent au Navarque de quitter leur île, puisque Rome avait reconnu leurs frontières et que cette île, qui semblait complétement déserte, était leur proprité. Une délégation ligure partit à Massalia lorsque le Navarque prit la mer et le Consul Coldeeus ordonna à la flotte de quitter l'île, pour respecter ses engagements. En effet, en accédant aux doléances des ligures, et en reconnaissant le territoire ligure, ceux-ci acceptaient que Rome envoie un représentant chez eux pour négocier et créer un lien entre Rome et la Ligurie, initié par le Consul Coldeeus quand celui-ci reconnut les frontières massaliotes. L'hiver finissant, le Consul prépara le changement des Légions avec les Navarques.


L'ambassadeur boïen apporta un message de Caudérix au Sénat. Celui-ci tenait à faire savoir au sénat de Rome que les rapports mutuels ne pouvaient qu'aller en s'améliorant étant donné les derniers gestes de Rome. En effet, les cousins ligures leurs informèrent d'un accord conclu entre le Consul Coldeeus et les Ligures, par lequel il déclarait que Rome reconnaissait et respectait les frontières Ligures. Ce geste d'apaisement envers les cousins gaulois des boïens, signe d'une probable amélioration des rapports entre Rome et la Ligurie, reçut un écho très favorable chez les peuples gaulois et chez les boiens en premier lieu. Caudérix espèrait que cet engagement préfigure une plus grande coopération. L'armée romaine débarqua en territoire ligure, là le Consul Coldeeus négocia le passage libre contre cette reconnaissance qui mit fin de facto à votre différent. Caudérix considérait cela comme un engagement ferme qui marquait un geste de bonne volonté et des Ligures, et de Rome. Les Sénateurs qui apprenaient la nouvelle de cet accord furent plutôt enthousiasthe de cette initiative du Consul Coldeeus.

Un groupe de cavaliers boiens et un druide arrivèrent au milieu du printemps pour renouveller le pacte de non agression.

Le Navarque, rappelé en urgence par les Consuls, ramena avec lui les dirigents de plusieurs villes de l'Illyrie non romaine ainsi qu'un nouveau traité, de vassalisation. L'apparition des illyriens au Sénat laissa certains Sénateurs sceptiques, montrant leur hostilité devant ces "barbares", mais l'accueil fut plutôt indifférent. Le Navarque critiqua fortement le Sénateur Poussinus, qui fut le Général de la campagne d'Illyrie l'accusant de n'avoir pas fini sa campagne et d'être revenu chercher les lauriers trop tôt à Rome, ce qui relança la polémique entre le Consulaire et le Navarque. Mais ce dernier fut appelé par le devoir et quitta Rome, laissant le soin au Consul Tubbsarius de diriger les débats concernant les Illyriens et le traité négocié par le Navarque. Pancreas, Membre du Conseil de la Cité de Seni, servait au groupe d'Illyrien de traducteur et dirigea le débat pour les Illyriens. Les représentants des villes "occupées" par Rome s’en remirent à la sagesse de Rome pour leur avenir. Ils attirèrent cependant l’attention de Rome sur le fait que l’Illyrie côtière était trop pauvre pour nourrir toute sa population. Les représentants des villes du Sud, Dalluntum, Adzizium, Andarba, Siparuntum et Risinium, acceptèrent de suivre l’exemple de la Cité d’Epidaurum et demandèrent d’être placés sous la protection de Rome tout en gardant leurs coutumes, leur droit et leur Conseil des Anciens. Les représentants des villes de Bigeste et de Narona, situées dans les montagnes, à mi-chemin entre Salonae et Epidaurum choisirent d’être rattachés à la province Romaine d’Illyrie. Les habitants de ces deux villes avaient besoin de Rome pour ne pas être constamment sous la menace des cavaliers noirs de Penderix qui occupaient actuellement la région à l’Est de Salonae. Les représentants des villes de Burnum et Salviae à l’Est de Blandonae, pour des raisons similaires à celles des représentants de Bigeste et Narona, souhaitaient également être rattachés à la province Romaine d’Illyrie. D’un autre côté, les cités de Raetinum et Sarnadis au Nord de Salviae, souhaiteraient garder leur indépendance tout en maintenant des liens étroits avec Rome, elles étaient farouchement opposées à perdre leur indépendance. Les représentants des villes libres du Nord, Senia, Epidotium et Metelum souhaitaient garder leur indépendance tout en maintenant des liens étroits avec Rome. Les Romains qui souhaiteraient s’établir dans toutes ces cités auraient les mêmes droits que les Illyriens, même pour les cités voulant garder leur indépendance.

Après le retour du Navarque avec les Illyriens, les Consuls autorisèrent enfin la nommination d'un Gouverneur pour l'Illyrie. Trois candidats se firent connaître, parmi lesquels le Général de la campagne illyrienne, le Consulaire Poussinus, ainsi que le prétorien Ruffinus et le consulaire Laudanum, qui se retira rapidement de la course au Gouvernorat. Le Consulaire Poussinus, pourtant attaché à l'Illyrie, décida à son tour de retirer sa candidature, notemment à cause de ses échecs de l'année précédente, et espéra accompagner le Gouverneur en tant qu'adjoint. Le Prétorien Ruffinus fut élu sans surprise et choisit comme adjoint le Sénateur Aperlautenus Caius. Le Sénateur Leto fut choisit comme Légat en Illyrie pour assurer la sécurité de l'illyrie, et remplacer le legat Nobleum qui fut dans l'incapacité d'assurer ses fonctions.

Les Légionnaires qui formèrent les troupes du pharaon d'Egypte étaient de retour après trois années de service. Il leur a fallu des guides égyptiens ou des coureurs des sables pour entreprendre ce voyage pour éviter une mort assurée. Il fallait traverser les déserts libyens, en s'arrêtant aux quelques oasis que Pharaon contrôlait pour se ravitailler. Les troupes de Pharaon comportaient 20 000 hommes, les troupes étaient essentiellement égyptienne, il y avait quelques contingents provenant du royaume de Koush, allié de Pharaon et quelques Perses qui encadraient la cavalerie égyptienne. Les vétérans romains étaient stationnés à Thèbes, une grande et belle cité. Le Pharaon semblait avoir le soutien total de son peuple. Les réactions du peuple égyptien envers les vétérans romains étaient toléré car leur étant utiles. Ils furent parfois en but avec la caste des officiers thébains. Il y eut des tensions lorsque le sénateur Brutus subit une lourde défaite face aux grecs. Plusieurs hauts dirigeants égyptiens affirmèrent que le sénateur Brutus était l’unique responsable de ce désastre. Il fut même écarté du conseil de guerre de Pharaon pendant une courte période. Mais il sut reprendre le dessus et retrouver sa place, mais il semblait qu’il y ait toujours une faction qui lui restait hostile.

Principales lois

La loi sur le Tribunat de la Plèbe autorisant à nouveau les Sénateurs patriciens de se présenter à ce poste fut votée, loi écrite par l'ancien Tribun de la Plèbe membre de l'Ordre Equestre Verres Aulus Brutus.

Le Traité commercial Rome-Vénétie fut lui aussi ajoutée au Codex, co-rédigé par les Sénateurs Macellius Gaius et Darus.

Enfin, un amendement de la loi sur les constructions civiles et militaires par l'archiviste Septimus clarifia cette loi.

Divers

Aux Equirria 334, le Pontife qui montait lui-même son cheval et deux Flamines majeurs finirent parmi les quatre premières places, la foule fut radieuse, les dieux étaient avec Rome. Le pontife et le Flamine Tarantinus furent longuement acclamés par le peuple après cette course fabuleuse.

Plusieurs jours durant, le sujet de conversation sembla être le sexe d'Oppius Rupitus, le candidat à l'élection tribunicienne. De nombreux jeunes hommes assez efféminés affirmèrent qu'ils reçurent de nombreuses faveurs et gratifications de la part de Rupitus. Certains prétendaient même que dans les moments intimes, ce dernier serait encore plus femme qu'eux. Plusieurs jeunes hommes qui avaient colportés des assannités sur Rupitus furent retrouvés morts dans des ruelles sombres de Subure : égorgés et le sexe tranché.

Une grande agitation règna dans la domus du sénateur Maltus Corus, selon l’un de ses serviteurs le sénateur était très malade. On craignait qu’il ne puisse passer l’année.

Les enfants de feu Marcus Publicola, ancien Légat et Questeur de Rome assassiné en 325, furent adoptés par le sénateur Titus Publicola, qui possèdait avec eux un lien de parenté et qui hérita de la fortune du Sénateur.

Les enfants de feu Julius Lucius Anterus, ancien Questeur et Edile de Rome, furent adoptés par le sénateur Licinius Anterus, leur oncle.

Des distributions de pain et de vin eurent lieu chaque jour sur le Quirinal durant une partie du printemps, distribution offerte par deux jeunes fiancés, le sénateur Thierus Olecranus et Julia Aegidia.

En ce froid hiver 334, un heureux évènement réchauffa le coeur de toute la Sabine. Le jeune sénateur Carmanovius vint en effet d'organiser une grande fete à l'occasion de son mariage. Plusieurs prètres de Junon firent le voyage jusqu'à Narnia ou se déroula une bien belle réception. Les plus grandes personnalités de Sabine furent invité et même le tribun Rastinus d'origine Sabine était de la fête.


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