Année 246 AUC
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 Consulat
| KARMHANOVIUS Juliannus |
 Préture
| FORESTUS Thierus |
 Edilité
| VOVKUS Marcus et TALARIUS Felenis Grollius |
 Questure
| CLAUDIUS Titus, ACTAE Julius et ACTAE Marcus Lucius |
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 Censure
| MARCORUS Quintus |
 Tribunat de la Plèbe
| n/a |
 Pontificat
| n/a |
 Navarquat
| n/a |
 Autres
| n/a |
Sommaire |
Politique Intérieure
En automne de cette année 246, la domus du Censeur Marcorus fut brûlée durant une nuit. Il n'y eut aucun blessé, que des dégâts matériels importants. La maison du Consul Karmhanovius vint elle aussi de brûler dans des circonstances mystérieuses une heure après le coucher du soleil. Par chance, il n'y eut aucune victime, la famille du Consul étant de sortie, et le Consul travaillant encore au Sénat. Les Esclaves du Consul eurent eu aussi pu s'enfuir à temps, mais trois d'entre eux furent néanmoins un peu brûlés. La maison des Valerius, une des plus ancienne famille Patricienne de Rome qui s'était retirée des affaires publiques depuis une dizaine d'année brûla à son tour ! Toutefois, comme ils étaient installés à proximité de l'Aqueduc, ils purent circoncire l'incendie à l'aile ouest de leur maison. La famille VALERIUS fut accueilli chez le Sénateur PHALUS, protégeant sa maison par des ... babouins ! D'autres domus furent le foyer d'incendies criminels.
Peu après, des nouveaux graffitis rageur du FRRR apparurent. Les premiers appelant la Plèbe à les soutenir, eux et la Royauté. Les autres menaçant "Tous les Patriciens !", et s'amusant de "l'étroitesse d'esprit de l'Édile Talarius". Si la Plèbe ria franchement des premiers messages, les seconds l'inquiétèrent réellement. Le FRRR semblait en effet en mesure de ridiculiser l'Edilité et de continuer ses méfaits sans être jamais inquiété. Un mystérieux graffiti apparut une nuit sur le mur d'une simple maison, non loin du Sénat : "Le FRRR poursuivra la lutte jusqu'au bout ! Plus aucun Républicain n'est à l'abri ! Front de Restauration de la Royauté Romaine". Le Sénat et la Plèbe firent immédiatement le lien avec les récents incendies. Au début amusé des déboires des puissants, elle commença maintenant à craindre des troubles plus graves. La méfiance réapparaît dans Rome.
Quelques semaines après, en hiver 246, la Plèbe de Rome commença à s'inquiéter de l'inefficacité du Sénat, qui révoquait ses Édiles alors que des terroristes couraient les rues. On murmurait dans les milieux les plus défavorisés que même un Roi ne serait pas aussi inefficace que cette institution de vieillards enfermés dans leur bulle. Les graffitis du FRRR se multipliaient, ils annonçaient que "la chasse" allait reprendre dès que les pluies se seraient arrêtées.
Politique Extérieure
Carthage recruta énormément de mercenaire dans toute la Méditerranée, et même au delà. Son armée doubla de taille. Sous l'impulsion du nouvel homme fort, le Général Lèk-Ter, ils commencèrent à "muscler" leurs négociations. Syracuse refusait toujours la paix, elle semblait toute indiquée pour être la première cible de Carthage. La flotte Carthaginoise elle aussi avait augmentée, et elle était toujours la première de Mediterannée. Même les flottes conjuguées de Syracuse, Naples et Tarente n'égalaient pas la sienne.
A la fin de l'Hiver 246, l'armée Carthaginoise était au pied des murailles de Syracuse. Après des dizaines d'années de tensions et de guerres, Carthage avait enfin établit un campement afin d'engendrer un siège permanent en attendant l'été. Tandis que la flotte Carthaginoise faisait le Blocus de Syracuse, une ville extrêmement fortifiée et très difficilement prenable d’assauts, la flotte Syracusaine protégeait t'en bien que mal le port de la Ville. Le stratège de la ville avait réussi à s'exiler vers Tarente. Le général syracusain Héraclès dirigeait Syracuse, par intérim. Tarente offrit à Syracuse de l'argent ainsi qu'une aide militaire et navale.
Des débats faisaient rage à la Curie sur la possibilité d’une aide financière et/ou militaire à Syracuse, en échange d’un comptoir, mais les débats n’aboutirent à aucune décision, notamment dû à la faiblesse de la flotte de Rome, une quinzaine de galères à peine armée rendant difficile toute action militaire, mais aussi dû à la lenteur des débats et aux désaccords des Sénateurs !
Principales lois
Aucune notables
Divers
n/a
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