Années 216 à 245 AUC

Un article de RomeWiki.

(Résumé fait grâce au rapport du Consul KARMHANOVIUS, rapport daté des derniers jours de l’automne 246. Aucune autre archive n’ayant été retrouvé. Les archives de cette époque ont disparu dans la grande inondation de 248. Le rapport du Consul KARMHANOVIUS est donc la seule trace de cette époque, et la véracité de ses propos ne peut être vraiment vérifiée ; c’est un rapport qui est incomplet...)


Sommaire

Politique intérieure

Au Nord, la Sabine fut bien intégrée à la République, et mis à part quelques illuminés locaux, tout le monde était satisfait de cette intégration pacifique.

En Ombrie, le Nord du pays restait incontrôlable, même si le Sud était parfaitement intégré à la République.


Politique extérieure

Au Sud, les Samnites furent repoussés dans leurs montagnes vers les années 220. Les villes de Fregenae, Arsenae, Formies, Minturnae furent vaillamment conquises dans la décennie suivante et toute la côte de Graviscae à Taenum était contrôlée, région qui intégra officiellement la République vers 240. Les Samnites n'eurent plus les moyens de lever une grande armée capable d’inquiéter Rome, mais leurs raids incessants sur les côtes de Rome sont profondément douloureux.

Plus au Sud, les Napolitains étaient isolés. Ils n'avaient plus aucune autorité sur la Campanie, mais conservaient une flotte puissante, ce qui empêcha Rome de prendre possession officiellement du reste de la Campanie. La flotte de Rome étant très loin de valoir la leur, elle aurait été rapidement anéantie en cas de conflit direct.

Au Nord, après 15 ans d'efforts, dans les années 230, Rome finit par réussir à se débarrasser de Tarquin en l'empoisonnant subtilement, mais il fut remplacé par un de ses proches qui prit son nom et son titre. Après une politique de réchauffement des relations avec Rome, il revint à la politique de son prédécesseur. Ce nouveau Tarquin n'avait que 45 ans en 245.

En Pays Marses, la situation était des plus changeante. Toutes les tribus du pays se déchiraient en guerres incessantes et, malgré le soutien de Rome, les Marses d'Alba, acquis à notre cause, eurent bien du mal à s'imposer face au reste du pays. Depuis que Rome s’est intéressé à ce pays, ce fut un gouffre financier pour cette dernière.

A Naples, les dirigeants étaient toujours anti-Latins. L’ambassade dut fermer lors de l'intégration de Taenum, elle ne fut toujours pas réouverte.

Plus loin au Sud, en Sicile, c'est le statu quo. Syracuse et Carthage se menaient toujours une guerre plus ou moins ouverte depuis les années 210, et nos ambassades permanentes sur place faisaient tout pour calmer les choses. Mais les progrès carthaginois semblaient inéluctables. Rome depuis 30 ans tentait d’implanter une Colonie romaine à Syracuse malgré les refus permanents. Mais les progrès des Carthaginois mettaient Syracuse dans une situation difficile, ayant besoin de nouveaux soutiens. Rome pouvait espérer l’implantation d’une Colonie sur l’île en échange d’un soutien fort de la part de Rome.


Divers

Concernant le reste de la Méditerranée, les Phéniciens étaient toujours des marchands très habiles, Grecs et Perses étaient toujours en mauvais terme, et l'Égypte paraissait être un colosse au pied d'argile.


Magistratures et autres fonctions importantes

(Aucune archive retrouvée sur les magistratures entre 216 et 245, sauf TALARIUS Felenis Grollius Questeur en 245)

Année 215 AUCAnnées 216 à 245 AUCAnnée 246 AUC