Années 250 à 255 AUC

Un article de RomeWiki.

(Fait à partir notamment des "Tablettes du Sénateur Claudius Eusèbe" retrouvées en 313 par ses descendants, de "Moi Imperator, de Quintus Forestus " publié par son fils, Tarentus en 306, des " Chroniques de la Louve Sabine ", de Lucius Sabinus Carmanovius, et de l’ " Histoire de la flotte Rome " rédigée par Iulius Emilius)

Sommaire

Politique Intérieure

Extrait des tablettes du Sénateur Eusèbe CLAUDIUS retrouvées en 313 par ses descendants. Le texte semblait avoir été écrit peu de temps avant sa mort en 265 après la fondation de la Ville :


"Le Sénat était léthargique, embourbé dans des discussions stériles et sans objet. Incapables de prendre une décision, les Sénateurs s'attachèrent pourtant à leurs vieilles prérogatives et se refusèrent à laisser le pouvoir à seulement quelques hommes, mais ne prirent aucune décision, les discussions devinrent interminables. Les traîtrises se multiplièrent, ainsi que les actes de vandalisme. Même la demeure du Censeur, Quintus Ecritus Stilo, fut attaquée ! L'inertie des Sénateurs, la multiplication des atteintes au droit, la crainte suprême enfin de voir Rome tomber aux mains des Grecs rendirent une action vigoureuse nécessaire du point de vue des Triumvirs. Talarius, un sénateur au passé louche, soupçonné d'être à la solde des Napolitains et de leur avoir vendu Ostie, brigua le poste de tribun de la Plèbe. Le Sénat accepta. Titus Claudius, Tribun sortant, y opposa son veto. La crise atteignit alors son paroxysme. Le Censeur, s'appuyant sur une large majorite senatoriale, declara illégal le veto de Titus Claudius. Les deux Consuls, Titus Andronicus et Marcus Lucius Actae, inquiets, eux, de voir le Sénateur Talarius occuper le Tribunat, prirent fermement position aux côtés de Titus Claudius. Les débats furent interminables et violents. Felenis Talarius multiplia les actions pour agiter la Plèbe en sa faveur. De violentes bagarres éclatèrent dans les rues entre opposants et sympathisants du nouveau Tribun. Les bagarres de rue se transformèrent en émeutes. Le fossé s'agrandit entre le peuple assiégé, qui redoutait la famine, et le Sénat qui semblait impuissant à retablir le calme, et maitriser la situation. Rome était assiégée. Ostie était prise par traîtrise, la Campanie était soulevée. Jamais le péril n'avait paru aussi grand.

Ce fut alors que trois généraux décidèrent de passer à l'action et planifièrent un coup d'état militaire, afin de rétablir la paix civile, et lever le siège de Rome : Titus Andronicus, Consul, maître des troupes qui combattaient les grecs sous les murs de Rome. Marcus Lucius Actae, Consul, vainqueur des Etrusques à Tarquini. Il avait une grande influence sur les plus anciennes familles patriciennes du Sénat, et sa probité et sa piété le faisaient comparer à Numa. Le dernier des trois s'appelait Titus Claudius. Il était jeune mais descendait d'une vieille famille patricienne réputée dont le représentant le plus éminent était Eusèbe Claudius. Tribun de la Plèbe, il avait son soutien. Légat de Rome en Etrurie, il achèva de prendre Saturnae et fit envoyer la tête du dernier des Tarquins à Rome, suspendue au sommet d'une pique. L'armée d'Etrurie était sous son commandement.

Tous trois se partagèrent les rôles : Titus Andronicus commandait aux légions qui engageraient la bataille contre les Grecs. Marcus Lucius Actae devait prendre le contrôle de l'Urbs. Titus Claudius, d'Etrurie, ferait progresser sa légion à travers le Latium pour rallier Rome, à marches forcées. Pour justifier l'emploi de la force, il leur fallait cependant un bouc émissaire, et le Sénateur Talarius était tout désigné pour le rôle. Le Triumvir Actae, qui réussit à prendre vivant un saboteur napolitain, lui fit avouer que le poison lui avait été fourni par le Tribun : Les traitres étaient dans l'Urbs, le recours à l'armée s'imposait.

Aux premiers jours de l'hiver, Marcus Lucius Actae se présenta devant la légion cantonnée aux faubourgs de Rome. Après en avoir pris le contrôle, il lui fait emprunter, de nuit, les portes de la ville. Quand Rome s'éveille, au petit matin, elle découvre avec stupeur que l'armée est dans les rues, et occupe l'ensemble des points stratégiques. Marcus Lucius Actae s'adresse alors au Sénat et déclare la formation d'un gouvernement provisoire : Le Triumvirat prenait le contrôle des Institutions et de l'armée, le temps pour la République de vaincre les Grecs, le Sénateur Talarius était placé en residence surveillée.

La réaction sénatoriale fut immédiate, et furieuse. Le Censeur Quintus Ecritus Stilo, soutenu par la jeune génération sénatoriale, déclara le Triumvirat illégal et traitre à la Republique ; il fut consigné dans son domus également. Pendant ce temps, Titus Claudius ramenait une partie de ses troupes sur Rome, laissant le contrôle du reste de l'armée de Saturnae à Cnaeus Crassius. Avec ce renfort, Titus Andronicus pouvait enfin engager la bataille contre les Napolitains, et les vainquit. Les armées, revigorées, reprirent Ostie et infligèrent des pertes énormes aux Grecs en déroute! La famine, crainte par les assiégés, était évitée grâce aux mesures prises par les trois hommes. Mais à Rome, la résistance sénatoriale s'était organisée. Un jeune magistrat, Publius Cornelius Scipio, y joua un rôle majeur, en obtenant du Pontife qu'il déclare le Triumvirat impie. Le Censeur Quintus Ecritus Stilo, très populaire, réussissait à retourner ses gardiens, et ralliait la Plebe à sa cause.

Marcus Lucius Actae fut retrouvé mort, assassiné. Aucune enquête ne fut menée à son terme pour tenter d'établir le coupable, ce qui laissera accroire que certains membres du Senat pouvaient être responsables. Titus Claudius se suicida alors que les vigiles pénètraient chez lui pour l'arrêter. Sa famille avait fui chez des alliés Gaulois mettant un terme à la présence des Claudii sur Rome. Titus Andronicus, vainqueur des Napolitains, rentra à Rome pour faire face à ses juges. C'est Quintus Ecritus Stilo qui le défendit, et obtint sa grâce, ainsi que la conservation de ses privilèges.

Principales lois

La Commission de Réflexion sur les Institutions créée par Marcus Lucius Actae et dirigée par Quintus Ecritus Stilo, rendit ses travaux et les Grandes Réformes organiques de 250 furent votées : de la Dictature, du Sénateur Cornelius Scipio ; de la Censure, du Sénateur Thimestius ; du Consulat, du Sénateur Cornelius Scipio ; de la Préture, du Sénateur Thimestius ; de l’Edilité, du Sénateur Actae ; de la Questure du Sénateur Claudius ; des statuts juridiques des cités et territoires de la République Romaine, du Sénateur Kaeso Thimestius, ; des différents modes de décisions législatives, hiérarchie des normes, du Sénateur Andronicus ; du Tribunat de la Plèbe, du Sénateur Ecritus ; et du statut d’Ambassadeur de la République romaine, du Sénateur Karmhanovius.

La Sabine fut intégrée à la République en 253, par une loi du Sénateur Cornelius Scipio.

Le Navarque Iulius fit votée au Sénat la loi des flottes de guerre, des marins et des militaires auxiliaires de la flotte en 253.

Du tributum de guerre fut votée en 253, loi du Sénateur Caius Crassius.

Une loi du Sénateur Cornelius Scipio Publius ordonna la construction d’aqueducs dans 18 villes romaines, à partir de 253.


Politique Extérieure

La brillante victoire au Nord permit à Rome d’affronter les forces Hellènes au Sud avec plus de forces. Incapables d’endiguer l’avancée des Phalanges Napolitaine avec une force cinq fois inférieure en nombre, les Légions retardaient les forces ennemies sans pouvoir jamais les arrêter, tandis qu’Ostie était la proie des flammes, assiégée par la puissante flotte ennemie. Felenis Talarius se distinguait dans cette campagne par une intelligence et une ruse hors du commun, mais qui ne suffisèrent jamais à attirer les lauriers de la victoire sur les fronts Romains.

Devant ce désastre annoncé, trois Patriciens décidèrent de prendre d'exceptionnelles mesures. Eusèbe Claudius, Actae Marcus Lucius et Andronicus Titus, fort du soutien de l’armée et d’une partie de la Plèbe lasse de voire le débat s’enfermer en stériles palabres quand le péril nécessitait fortes décisions, prirent le pouvoir par la force à Rome, créant le Triumvirat.

Le Triumvir Andronicus put, en une immense bataille dans les plaines du Latium, prendre le dessus sur l’armée Napolitaine arrivée aux portes de Rome. A cette occasion, Tullius Karmhanovius se distingua, en commandant la cavalerie Romaine. En 253, Titus Andronicus, poursuivant les Napolitains, remportera une nouvelle victoire écrasante sur leurs alliés, et exterminera 20.000 Samnites près d’Arsenae.


Un nouveau Navarque fut nommé : Caius Julius Caesar. La Flotte de Rome qui avait donné tant d’elle-même pour abattre en Corse les restes du dernier TARQUIN était exsangue et quasi réduite à néant. Heureusement, la sage politique d’apaisement envers le peuple étrusque menée par les Généraux commençait à porter ses fruits. Une majorité du petit peuple se ralliait spontanément à Rome et abandonnait sans remords les artifices de la monarchie déchue. Une bonne partie de ce qui restait de la Flotte étrusque se mit spontanément aux ordres du nouveau Navarque. Seules, quelques trirèmes, qui sans doute se considéraient comme l’aristocratie maritime, déserta et rejoignit Tarquin sur son île d’exil. Caius Julius Caesar rassembla au port de Cosa la Flotte Romaine dont l’armature était constituée essentiellement de bâtiments de l’ex-flotte étrusque. Par droit de conquête, Rome héritait de deux importants arsenaux pour la Flotte : Cosa et Populonia. Victorieuse au Nord, Rome voyait cependant s’amonceler au Sud de noirs nuages. Naples, ravageait la Campanie qu’elle estimait être sienne et s’approchait de la Ville Eternelle. Naples possédait une immense et redoutable Flotte qui appuyait de tout son poids l’avance de ses troupes. La petite Flotte de Rome n’était pas en mesure de s’opposer à la Flotte Napolitaine. Aussi les Consuls de l’époque, Marcus Lucius Actae et Quintus Ecritus Stilo, préférèrent qu’elle se concentra d’abord sur la menace que représentait pour Rome la présence de Tarquin en Corse. L’ex roi d’Etrurie avait à sa disposition 15 000 combattants, une dizaine de trirèmes, des transports, son immense trésor, et menaçait à tout moment de débarquer dans la péninsule pour reprendre ce qu’il considérait comme son bien. Caius Julius Caesar partit lui aussi pour capturer le couillard qui se terrait en Corse. Il tenta de prendre le port, de débarquer, de soulever la population autochtone, il mit le feu au campement étrusque, harcela les rares navires qui osaient quitter le refuge de la Bête, fit tant et si bien que Tarquin resta terré dans son trou. Un jour, lors de la traversée de retour d’une action bien menée, par temps d’orage, la foudre toucha le navire amiral et Caius Julius Caesar qui veillait à la sécurité de ses marins, qui debout à la proue de la galère de tête traçait la route et conduisait à bon port ses hommes, disparu aux yeux de ses marins. Les dieux l’avaient appelé à eux !

En automne 250, les Consuls Marcus Lucius Actae et Quintus Ecritus Stilo désignèrent le Sénateur Emilius Iulius comme nouveau Navarque. L’ordre de mission était semblable : empêcher Tarquin de quitter son île. A Cosa, Emilius IULIUS Sr trouva 30 birèmes, mais dans un état de délabrement avancé. Les marins étrusques, rendus peureux par la soudaine disparition de leur ancien chef, ne voulaient plus reprendre la mer. Le Navarque consacra d’abord son temps et son énergie à reprendre en main la Flotte de Rome. Avec une petite dizaine de birème, il s’échina à contenir Tarquin en Corse, à rechercher vers le Nord le reste de la marine étrusque qui avait disparu, et à surveiller l’imposante Flotte Napolitaine de 50 trirèmes qui venait d’investir Ostie. Systématiquement, il refusait le combat, préservant ses faibles unités, et renseignait sur les mouvements ennemis les Consuls restés à Rome. Régulièrement, Emilius Iulius Sr observait que le port corse était ravitaillé par les Puniques. Le Navarque fit occuper au nom de Rome l’île d’Elbe, source de minerais de fer, laissée à l’abandon par les Etrusques et convoitée par les Carthaginois qui rodaient.

En 251, après une longue année d’occupation, les Napolitains, chassés par le Triumvir Titus ANDRONICUS évacuèrent le Port d’Ostie. La Flotte de Rome y repris ses quartiers. S’étant refait une santé, ayant récupéré et remis à flot tous les navires qu’elle avait pu dénicher, (30 birèmes) libérée du poids napolitain, la Flotte de Guerre pu de nouveau sérieusement s’occuper de la Corse.

Le Navarque mit sur pied, avec le concours du Légat en le Etrurie Lucius Metellus une ruse pour enfin détruire les restes de TARQUIN Corse. Les Légions, juste retour des choses, assiégeaient maintenant Naples. Le Légat Lucius METTELUS embarqua à Cosa une Légion entière sur une ribambelle de navires civils, disparates et dépenaillés. Il fit voile au Sud, jusqu’à la pointe de la Sardaigne, et là, profitant du vent, fit remonter sa flotte le long des côtes corses. Une longue file, naviguant en désordre, les plus véloces attendant les plus lents, quelques galères semblant endommagés par de lourds combats tentant vaille que vaille de maintenir une cohérence au troupeau, approchait le repère du pleutre corse. A leur vue, les trirèmes de Tarquin sortirent du port, et commencèrent à venir, tels des chiens flairant des plaies, observer de plus près cette étrange armada. Lucius Mettelus avait pris la précaution de cacher à la vue toutes les armes et apparats militaires, et de placer en première ligne des hommes d’origine campanienne qui pouvaient s’exprimer en grec avec l’accent de Naples, et même quelques femmes et enfants. Ils se faisaient passer pour des fuyards Napolitains, chassés de leur ville et, pour poursuivre la lutte, cherchant refuge auprès du dernier adversaire de Rome. Les partisans de Tarquin, refusant que leur port soit submergé par la masse de réfugiés, désignèrent une plage au Nord de leur repère pour le débarquement. Enthousiastes à l’idée de bientôt toucher terre, les navires les plus rapides se précipitèrent vers la plage, laissant les autres terminer le reste du trajet suivant leur capacité de navigation. Bientôt, la flotte de réfugiés s’étirait du Nord au Sud de l’entrée du port. Tarquin, pour empêcher toutes tentatives de débarquement dans son port, avait fait placer ses 27 trirèmes à la sortie de celui-ci, côtes à côtes, barrant l’entrée d’un formidable mur de rostres et de rames. Chaque fois qu’un pauvre navire de Mettelus passait devant une galère corse, les réfugiés poussaient une grande clameur de remerciement. Des bras joyeux s’agitaient, des femmes présentaient à bout de bras leurs enfants. A midi, à l’instant où le soleil était au faîte de sa course, les premiers navires de Mettelus allaient toucher la plage, les derniers allaient parvenir à hauteur des premières défenses de Tarquin. Les capitaines de tous ces navires fuyants, avaient calculé leur course pour se trouver exactement dans cette position exactement à ce moment ! Ce fut à cet instant précis que le Navarque Iulius Sr apparut venant de l’Est, en pleine mer, avec 12 birèmes de guerre. Petit moment de calme plat dans les rangs de réfugiés pendant l’interrogation, les 12 birèmes du Navarque foncèrent droit sur les réfugiés, ensuite panique dans les rangs de Metellus en comprenant le danger ! Ses navires affolés changent de cap et courirent se mettre sous la protection des trirèmes corses. Le Navarque modifia sa couse vers le Nord et pointe vers les derniers traînarts, qui paraissaient une proie plus faciles. Les galères Corses, emberlificotés par les embarcations qui grouillaient autour d’elles, restaient immobilisées à l’entrée du port. Soudain, arrivé au Nord des défenses ennemies, le Navarque Iulius fit volte face et à toutes rames attaque par le travers la première trirème corse. Les fuyards de Metellus, engluèrent les galères de Tarquin qui ne parvinrent pas à se dégager pour gagner la haute mer, passant à l’attaque et montent à l’assaut. La Flotte Corse tomba comme un fruit mûr. Tarquin perdit sa Flotte, mais la tentative de prendre pied sur l’île échoua. D’un commun accord, les Sénateurs Mettelus et Iulius Sr décidèrent d’arrêter les frais. Le gain était appréciable, même si le but ultime n’était pas atteint. Ils rassemblèrent tout ce qui peut encore naviguer, détruisirent systématiquement le reste, et s’en retournèrent à Ostie. De grandes cérémonies à la gloire des dieux de Rome qui permirent cette lourde vengeance, émailleront le chemin de retour d’Ostie à Rome. Rome n’entendra plus parler de TARQUIN. Les Puniques, profitant de la victoire de Rome, étendront bientôt sans coup frémir leur domination sur l’île de Corse.


En 253, le Sénat signa la paix avec les gaulois au Nord de l’Etrurie : il offrait Saturnae, Cosa, Tarquini, Volsini, Vetulonia et Populonia à la domination Romaine et les cités de Voltera, Clusium, Perouze et Arezzo aux tribus Gauloises. Cet accord fut approuvé en hiver 251 par Vannix pour les tribus Gauloises et par le légat Cnaeus Crassius pour Rome.

En 255, le sommet de Yaltus eut lieu entre Mericlès, Publius Cornelius et Adopolis. Naples était finalement intégrée à la République de Campanie après plusieurs années de négociations acharnées. Cette même année, l’ancien archonte de Naples revint avec une armée de mercenaires et défit la faible défense de la République de Campanie, toute la région était sinistrée mais Naples proclama de nouveau son indépendance. Tarente, qui n’avait pu réagir à temps, se brouilla avec Rome qui n’a pas aidé la République de Campanie à se défendre. Il y eut pourtant un fort débat à ce sujet au Sénat mais les voix qui souhaitaient l’indépendance de Naples durant le sommet de Yaltus, pour que la République de Campanie ne soit pas un futur concurrent direct se firent cette fois mieux entendre.

Magistratures et autres fonctions importantes

(Aucune archive retrouvée sur les magistrats de cette année)

A noter quand même :

image:MedCenseur.gif Censeur 250 : MARXIMUS Karlus

image:MedConsul.gif Consuls 250 : ECRITUS STILO Quintus et Actae Marcus Lucius

image:MedPreteur.gif Préteur 250 : ANDRONICUS Titus

image:MedQuest.gif Questeur 250 : CORNELIUS SCIPIO Publius

image:MedTribun.gif Tribun de la Plèbe 250-251 : TALARIUS Felenis Grollius

image:MedNavarq.gif Navarque 250 : CAESAR Caius Julius (décès)

image:MedNavarq.gif Navarque 250 à ? : IULIUS Emilius Sr

image:MedCenseur.gif Censeur 251-253 : ECRITUS STILO Quintus

image:MedConsul.gif Consuls 251 : ANDRONICUS Titus et Actae Marcus Lucius

image:MedEdile.gif Edile 251 : CORNELIUS SCIPIO Publius

image:MedTribun.gif Tribun de la Plèbe 251 : CLAUDIUS Titus

image:MedPreteur.gif Préteur 252 : CORNELIUS SCIPIO Publius

image:MedConsul.gif Consul 253 : ANDRONICUS Titus

image:popularite.png Pro-Préteur 253 : CORNELIUS SCIPIO Publius


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