Cesar Julius
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 Consulat
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 Préture
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 Edilité
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 Questure
| 206 |
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 Censure
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 Tribunat de la Plèbe
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 Pontificat
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 Navarquat
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 Autres
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Naissance et mort
Né dans les années 170
Décédé dans les années 215/220
Biographie
Julius Cesar naquit dans les années 170. Jeune Sénateur progressiste, en butte au puissant groupe des Conservateurs qui dominait alors le Sénat, il créa une formation d'inspiration Populares, Vox Populi. Ce Sénateur ambigu, agitateur et populiste, ayant des méthodes à la limite de la légalité, semblait avoir des motivations plus personnelles que plébéiennes. En 200, il définissa par une loi le mode d'élection des ambassadeurs, puis, en 201, il reprit une loi du Sénateur Laevinius, sur l'ager, qui rallia la majorité du Sénat contrairement à la première loi sur l'ager. Une autre loi porta son nom en 203 : la mise en place d'un aqueduc, mais l'idée venait du jeune Sénateur Claudius Eusèbe. Il fut élu en 206, malgré le fait qu'il était décrié au Sénat, à la Questure, puis en 207, à l'Edilité. En cette même année 207, il rédigea la première loi sur le Tribunat de la Plèbe, ajoutée au Codex l'année suivante. Mais cette loi ne fut jamais appliquée !
Son principal adversaire politique était Caius Valerius, Conservateur. Au printemps 208, il fit une telle campagne contre Julius Cesar, l'accusant "de fructifier son bien et d’accumuler de grandes richesses" alors qu'il se disait populiste. Cette campagne fit grand effet sur le peuple.
Le nom du sénateur Julius Cesar fut mêlé à plusieurs affaires louches. On le soupçonna de s'être enrichi aux dépens de deux sénateurs, Ecritus et Italius, qu'on accusa d'être ses hommes de paille. Au printemps 211, une vague de rumeurs parcourut Rome sur le Sénateur Julius Cesar. Celle-ci l'accusait d'être lié à l'assassinat du Sénateur Deximus, d'être un agent des étrusques et d'avoir fait assassiner une dizaine de Sénateurs. Sa popularité descendit en flèche.
Au printemps 213, l’Affaire Crassus contre Cesar fut jugée par le consul Marximus et le sénateur Quintus Mumius. Licinius Crassus porta donc plainte contre Julius Cesar pour extorsion de fonds ayant cause la ruine des sénateurs Askus Caius, Ecritus Stilo et Italus Gus. Le procès devint Etat contre Cesar, avec pour chef d’accusation : Cesar fut accusé d'extorsion de fonds et de manipulation politique. Cesar refusa d’abord les peines qui furent proposés, clamant son innocence, et demandant une remise de peine, mais il du malgré tout paye les sommes qui avaient été demandées à son encontre lors du procès de 211 : 200 000 as d'amende pour le préjudice politique envers Rome, 21 600 as du tributum du sénateur Italus Gus de 206 à 211, 43 200 as du tributum du sénateur Ecritus Stilo de 206 à 211et le remboursement des dettes des sénateurs Ecritus Stilo et Italus Gus contractées envers leurs clients, soit 210 000 as. Le Sénateur Cesar, qui fut durant le début des années 200 aimé du peuple, disparut de la scène politique après ce procès ! Il mourut dans l'oubli entre 215 et 225.
Lois
Elections des ambassadeurs votée en 200.
Loi sur l'Ager, votée en 201
Création des Tribuns de la Plèbe, votée en 208
