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| + | Hors de Rome, 338 se présentait comme une année d'attente: l'Hegemon moribond, ses fils intriguaient et comptaient leurs partisans pour savoir à qui le pouvoir suprême reviendrait; Carthage se préparait tranquillement à envahir la Sicile, tentant d'obtenir un soutien de Rome. | ||
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Version du 25 mai 2006 à 18:50
| Cursus Honorum et autres fonctions | |
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 Censure | {{{censeur}}} |
 Consulat | {{{consul}}} |
 Préture | {{{preteur}}} |
 Edilité | {{{edile}}} |
 Questure | {{{questeur}}} |
 Navarquat | {{{navarque}}} |
 Tribunat de la Plèbe | {{{tribuns}}} |
 Pontificat | {{{pontife}}} |
 Autres | {{{autre}}} |
Sommaire |
Politique Intérieure
Pour la première fois, au terme d'une carrière savamment construite, le brillant sénateur Caïus RUFFINUS VULPUS exerçait le consulat aux côtés de Nicolaeus COLDEEUS. La campagne fut marquée par l'irrégularité d'un premier scrutin qui avait bénéficié au sénateur DETRITUS. Ce dernier, politicien habile, venait de délaisser sa charge de grand pontife, dont il escomptait retirer quelque prestige, pour briguer le consulat! Beau joueur, RUFFINUS le laissera en toute tranquilité briguer le consulat l'année suivante! DETRITUS avait fait campagne sur le thème d'une entrée en guerre immédiate et sans préparation contre les Grecs. Les consuls élus étaient au contraire résolus à laisser du temps au temps : COLDEEUS, expérimenté en désastres militaires, et RUFFINUS, décidé à ne pas brusquer les choses, non pour passer un consulat tranquille, mais pour laisser à d'autres, par pure abnégation, les lauriers de la victoire contre le perfide Hélène!
L'année fut donc placée sous le signe du réarmement de Rome. Un réarmement planifié, raisonné, qui tranche avec le fiasco qui s'ensuivit sous le consualat de DETRITUS et DARUS. Un des grands moments fut l'exposé du navarque PLINIUS VICTOR.
Au plan politique, l'année fut assez calme. Il faut dire que le peuple était tout à la construction de Suburre, qui avait brûlé.
Principales lois
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Politique Extérieure
L'année fut marquée par la préparation des Jeux latins. Les consuls et les tribuns ont pesé de tout leur poids pour que de riches mécènes en assurent la charge. Les consuls savaient qu'en période de réarmement, chaque sesterce compte! Mais quelle ne fut pas leur déception face au faible engouement du Sénat.
Hors de Rome, 338 se présentait comme une année d'attente: l'Hegemon moribond, ses fils intriguaient et comptaient leurs partisans pour savoir à qui le pouvoir suprême reviendrait; Carthage se préparait tranquillement à envahir la Sicile, tentant d'obtenir un soutien de Rome.
Divers
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