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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Mariage Patricien - Alliance entre Junii et Olecranii
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Mariage Patricien - Alliance entre Junii et Olecranii
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OLECRANUS Thierus
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Posté le : Mer 09 Juil 2008    

Thierus Olecranus présente ses clients à tous les grands de Rome et notamment Pompée aux magistrats à imperium présents.

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Major de l ASLR 333; beau frère des sénateurs Aegidius, Labienus Titus et Flaminius ; Légat en Gaule 334/335 ; Général en Gaule 336/337 ; Ambassadeur en Grèce 338 à 340 ; Emprisonné en Grèce 341 et 342 ; Radié 358 et plus...
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TUBBSARIUS Flavius
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Posté le : Sam 12 Juil 2008    

/le pontifex fait une arrivée tardive... il semble se porter mieux que lorsqu'il est reparu au sénat, dernierement... et va rapidement féliciter les jeunes mariés/

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Respublica defensor

Dictateur 362
Pontife (Crucifixion adept)341-342-343-344-345-346-347-348-349-350-351-352-353-354-355-356-357-358-359
Consul 333-334-335------360-361
Préteur 331-
Edile 330-
Questeur 328-329-
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JUNIUS CAMILLUS Caius
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Posté le : Lun 14 Juil 2008    


Citer : AEGIDIUS Sirius Sextus
/ Le vieux Censeur arbore un petit sourire et s’incline légèrement devant Sempronia Minor /

Je suis très honoré par cet accueil Sempronia Fille de Tertius Sempronius Caecus et je ne doute pas que cette union soit bénie des Dieux, j’ai organisé personnellement quelques sacrifices sur l’autel familial dédié à Junon afin qu’elle puisse dispenser ses bienfaits à nos chers petits…

/ Accepte quelques collations offertes par les deux servantes et hoche la tête après avoir apprécié ces préparations /

Puis-je rencontré les autres membres de la familia présent à ce mariage ? Je serais curieux de connaître nos futurs alliés !



/ Sempronia Minor souriat en signe de respect au Censeur et donna des ordres à ses servantes /

J'ai fait appelé ma jeune fille Junia . Mon second fils , Caius ,ne pourra pas venir tout de suite car il accompagnera Lucius lorsque celui ci va arriver. D'ailleurs je vois que les derniers invités arrivent. La cérémonie va enfin pouvoir démarrer.

/ La servante revint en marchant derrière une toute jeune enfant vetues de blanc et arborant une coiffe ornée de fleurs colorées d'été /

Sirius Sextus Aegidius voici ma fille Junia elle est née lors du Consulat d'Atreus Leto et de Titus Valerius Publicola ce qui lui fait aujourd'hui neuf printemps. Junia salue l'ancien Censeur comme il se doit

/ La jeune enfant s'executa comme on le faisait après avoir repeté sa leçon /

"Bonjour Sans-soeur Aegidius je suis très honorée de te voir ici à la cérémonie de mon grand frère et j'espère que tu passera une agréable fête de mari-en-âge...euh de mariage. Notre famille est très reconnaissante de ta présence ici et n'oubliera pas cela."

/ Sempronia regarda sa fille avec sévérité pour ses quelques fautes mais ne voulut pas la réprimer devant les invités et congédia sa fille en voyant le Pontife Tubssarius arriver /

Veuillez me pardonner mais le Pontife vient d'arriver je vais devoir prendre congé pour lancer la cérémonie.

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Lucius Junius Camillus - IIIème du nom

Descendant des Junii Brutii, Sénateur Patricien

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JUNIUS CAMILLUS Caius
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Posté le : Lun 14 Juil 2008    

La cérémonie de mariage





La mise en place

C'est dans la magnifique et immense Villa Magna du Palais Olecranus que les invités s'étaient rassemblé avant le début du mariage, bavardant et se désaltarant à l’air libre dans les splendides Jardins Olecranus qui faisaient parti de l’ensemble du palais. Les futurs mariés n'étaient pas encore arrivés et on les attendaient.

En effet depuis le matin Ulna Olecranus était dans le bâtiment principal, en train de se préparer, la jeune fille devait porter une tunique blanche immaculée. Ses servantes l’habillaient de ses plus belles parures au couleur rituelles et travaillaient ses cheveux de façon ingénieuse. Elle fut ainsi coiffée à la manière des Vestales, avec six tresses ramenées autour de la tête. On s’occupa ainsi de la jeune Ulna des heures durant avant la cérémonie afin que la future mariée soit en ce jour la plus belle de toutes les romaines.

Puis les invités s'installèrent un à un dans les jardins au milieu de l’après midi. Chacun allant à la place qui lui était réservé. Les gens dont la famille avait eu un Consul comme les Detritii avaient le droit aux premières loges et une chaise confortable, par manque de place les autres devaient rester debout plus en arrière. En effet un bon nombre de sénateur moins illustre s’étaient présenté en bon nombre, plus certaines personnalités plébéiennes dont des gens des sodalités. Mais ce n’était pas sans compter les clients des Gens Junii et Olecranii qui s’étaient évidemment déplacés pour assister à cette cérémonie pour leur patron, et ces gens rattachés à cette famille, une fois rassemblés, représentais plusieurs centaines de personnes. De plus n’importe quel citoyen romain pouvait venir assister à la cérémonie si l’envie lui en prenait et surtout si place il y avait. L’endroit était donc bondé de monde, illustre et moins illustre, lorsqu'on le put démarrer la cérémonie. Des femmes appelèrent l'épouse de Thierus Olecranus qui rentra discretement dans les batiments du palais.



L'arrivée des mariés

Lorsque le Pontife arriva on pu en effet débuter. C'est alors qu'arriva le marié Lucius Junius Camillus, paré de sa plus belle toge et fraichement coiffé et rasé de très près. Arriva d’un coté opposé la mariée Ulna Olecranus, radieuse. Elle étaitaccompagnée par sa mère tandis que Lucius Junius Camillus lui l'était par son jeune frère Caius. Leur arrivée mis fin au brouhaha des invités qui discutait en attendant le début des cérémonies. Celle ci allait commencer dans l'instant.


Les futurs époux se postèrent devant une matrone veuve, qui n'était autre que Sempronia , la mère de Lucius Junius Camillus. Celle ci prit la parole devant tout l'auditoire :

" Toi mon fils , Lucius Junius Camillus , j'ai attendu tant de temps que tu puisse enfin sortir de ton célibat. Aujourd'hui tu te marie avec une fille des plus honorable. Ce jour est heureux mais avant cela je dois te prévenir car un mariage est un engagement pris les ancêtres , devant la Cité , devant les Dieux.

Je dois maintenant te rappeler qui tu es car pour que jamais tu n'oubli ton devoir. Des Troyens , toi fils de Junius , tu descends. Du Libérateur Junius Brutus tu descend . Tu es un Junii et l'engagement que tu prend aujourd'hui te liera à cette jeune femme , tu lui donnera un fils pour perpetuer le sang de Juno car c'est ton devoir et jamais tu ne t'en affranchira. D'autre avant toi s'en sont acquitté. Mon fils tu ne devra pas faillir , tu n'en a pas le droit car tu es un Junii.


Et toi jeune Ulna... / Sempronia lui souriat / Soit une bonne épouse. "


Après ce rappel aux deux futurs époux Sempronia devait ensuite joindre les mains de Lucius Junius et Ulna Olecranus pour signifier leur union. Ce qui fut fait devant 10 témoins « officiels » dont l'Edile Poussinus et le Consul Fugitivus en plus de personnages familiaux des Gens Junii et Olecranii. Mais d’aucun ne dira ce jour là que ce mariage n’eut pas lieu car des dizaines, des centaines mêmes de Romains furent témoin de l’acte de mariage et sa consécration en tant que simple invités.

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Lucius Junius Camillus - IIIème du nom

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JUNIUS CAMILLUS Caius
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Le Cortège Nuptial





Un fin traditionnel

Ca y ai c'était fait. Ils étaient enfin marié...mais la cérémonie n'était pas terminée pour autant. On laissa les invités venir saluer et féliciter les nouveaux mariés ce qui prit un certain. Lorsque ce fut fait Ulna prétexta une excuse pour se retirer discretement.


Quelques minutes passèrent quand une femme vint crier qu’on avait enlevé la jeune mariée alors tout le monde était en train de manger. C’était le simulacre d’enlèvement qui donnait lieu au cortège nuptial.


La traversée de Rome



Un chemin fut fait pour laisser passer les premiers personnages qui devaient créer le cortège de noces et se diriger dans la demeure du marié. Le chemin était long car le cortège partait du Quirinal pour se rendre au Vélabre et pour cela devait passer par l’Argilete et Suburre pour finir au pied du Palatin là où la vieille et modeste Domus des Junii, vestige des anciens temps, se tenait. La Gens Junii avait prévu pour les Censeurs Aegidius et Ruffinus un palanquin ouvert et des esclaves pour les porter tout le long du chemin afin de leur épargner les souffrances de l’âge. Les autres invités et pouvait si il le souhaitait à amener un cheval comme monture qui suivrait le cortège tandis que les nombreux clients et ceux qui ne pouvait avoir de monture suivaient à pied.


Lorsque les invités rejoignirent l’entrée du Jardin Olecranus ou devait débuter le cortège ils trouvent Lucius Junius et Ulna Olecranus sur un cheval blanc dont le selle à été décorée de fleurs aux couleurs éclatantes. La jeune fille, assise en amazone sur la monture tiens dans ses mains ses poupées de jeune fille. Derrière elle se trouve Junius qui dirige la monture. Autour les centaines de clients ont formés une haie d’honneur et devant eux légèrement sur les cotés de petites filles vêtues de blanc commencent à jeter des pétales fleurs colorées sur le chemin du cortège. Commence alors des chants poétiques et romantiques glorifiant la vertu et le bonheur conjugal pendant plusieurs dizaines de minutes. Mais comme pour leur répondre les hommes de la haie d’honneur se mettent à raconter des plaisanteries grivoises en chantant de leur voix masculine, ceux-ci s’amusent à décrire la virilité de Junius ou le derrière d’Ulna et leur futur nuit de noce, et ce dans la joie et la bonne humeur. Et ainsi ceux-ci alternent en se répondant, les femmes répondants aux hommes par leurs douces chansons et les hommes répondant aux femmes par leur plaisanterie chantantes. Tout le long des musiciens recrutés spécialement pour l’occasion accompagnent ce chœur joyeux et cherchent pas leurs mélodies à entrainer les passants et faire partager la joie du cortège à tous ceux qui se trouvent sur le chemin tandis que des noix sont lancées aux enfants sur tout le chemin.

On avance ainsi longtemps, le cortège grossissant au fur et à mesure du chemin par les passants qui veulent suivre le mouvement. Des crieurs en profitent pour annoncer partout qu’à la tombée de la nuit un énorme banquet sera tenu pour tous les citoyens qui désirent partager avec les Junii et les Olecranii les joies du mariage. Ils auront lieu dans les principaux quartiers de la ville en l’honneur de Junon et de la mariée. On traverse alors comme ça l’Argilète et même Suburre en empruntant les grandes artères de la ville. Le Cortège fini par arriver devant la Domus des Junius où une stèle à l’entrée rappel aux visiteurs le sort des tyrans Etrusques.



Devant l’entrée Junius invite son épouse à s’avancer et lui demande son nom. Ulna Olecranus répond alors « Là ou tu seras Gaius, je serais Gaia », c’est alors qu’Arturus Orlenus soulève la jeune fille pour la faire rentrer dans la Domus pour éviter les mauvais présages. Junius lui présente alors les lares qui protègent toute la famille, Jupiter Caelestis auquel Ulna vouera désormais un culte. Puis il lui présente les mânes de la famille ou apparait le masque mortuaire de Lucius Junius Camillus, premier du nom, le père de l’actuel Lucius Junius mais aussi de l’illustre Lucius Junius Brutus, celui qui chassa les Tarquins il y a plusieurs siècles. Enfin Junius termine en lui présentant le feu de la maison où Ulna Olecranus jette ses vieille poupées de jeunes fille pour signifier qu’elle est n’est plus une fille mais une femme auprès de son mari.


Seuls les invités sont alors permis d’entrée, les clients et les badauds restant à l’extérieur. Mais pas pour longtemps car le grand banquet va démarrer bientôt... la cérémonie du mariage n'était qu'un début !

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Lucius Junius Camillus - IIIème du nom

Descendant des Junii Brutii, Sénateur Patricien

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MJ Magnetis
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Le banquet est faramineux et tous les mets de luxe y sont disposés en bon nombre, un grand nombre de citoyens peuvent y goûter, souvent pour la première fois.

Toutes et tous y vont de leur petit mot pour remercier et féliciter le sénateur Junius !


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MJ à la retraite (2003; 2006-2009)
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MJ Magnetis
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Citer : MJ Mulet
Après le banquet des gros bonnets du Sénat et de l'Ordre Equestre c'est au tour des petites gens de célébrer le mariage du sénateur Junius.
Pendant trois jours, des banquets sont offerts à quiconque est désireux de faire la fête, c'est à dire beaucoup de monde vu l'enthousiasme qui fait tâche d'huile.
Pain, viande et vin sont distribués en quantité assez colossales.
Des artistes sont chargés d'égayer le festin, la musique invitant les plébéiens à danser en l'honneur du généreux marié.

Après les trois jours de fête les deux époux parcourent une Rome qui a une légère gueule de bois pour distribuer des poupées de mariés pour les jeunes filles ainsi que des plumes de paon, symbole de Junon.




Citer : MJ Mulet
Une pièce publique donnée au théâtre Olecranus (pour rester dans le cercle familial...) vient clore ce long mariage. Le thème nuptial est de rigueur et la jeune troupe parrainée par le sénateur présente donc une œuvre créée pour l'occasion, inspirée de l'enlèvement des Sabines.

Rome, peu de temps après la fondation. Romulus a rassemblé les premiers habitants des sept collines en promettant l'asile à tous, mais ces hommes n'ont pas de femmes et l'avenir de la cité naissante semble compromis. Le fondateur tente bien d'obtenir des voisins des mariages entre Romains et femmes Latines mais qui voudrait donner sa fille a des aventuriers et des esclaves en fuite ? Tous refusent.
L'idée qui va sauver les Romains acculés vient de Manius, qui propose d'enlever les sœurs et les filles des Sabins. Et ce qui ne peut pas être fait par la force ils l'accompliront par la ruse, en invitant leurs voisins à des jeux ils profiteront de leur inattention pour arriver à leurs fins.
Les jeux sont donc organisés.

Arrivant à Rome un jeune Sabin, Titus, croise l'une des rares Romaines, Curia, sœur de Manius et promise de celui qui deviendra un grand patricien mais n'est pour encore qu'un berger. Epris de la belle, Titus abandonne ses amis pour approcher la demoiselle.
Alors qu'il la suit dans la petite ville presque déserte, essayant d'entamer une galante conversation Titus entend les cris de rage et de déconvenue des Sabins : l'enlèvement vient d'être révélé ! Les hommes quittent déjà la ville, impatients d'aller chercher armes et armures pour revenir à Rome laver l'affront dans le sang Romain. Curia cherche à s'échapper pour gagner la sûreté relative de sa maison mais Titus la saisit pour qu'elle ne se mette pas sur le chemin de Sabins très remontés.
Des Romains qui ne sont pas en reste et arrivent bientôt sur les lieux, armés. Apercevant Curia et Titus qui la retient, Manius imagine qu'il tente de l'enlever en représailles et se rue sur lui, ses camarades à sa suite. Titus prend la fuite, entraînant Curia qu'il tient toujours.

Parvenu à semer les Romains avec l'aide des dieux Titus réalise son geste. Il ne peut pas se résoudre à emmener de force la belle Romaine mais craint pour elle s'il la renvoie dans une ville qui sera bientôt attaquée par son propre peuple. à force de paroles et de gestes apaisants il parvient à persuader Curia de ses intentions honorables et de le suivre jusqu'à Narnia, en Sabine, où elle sera en sécurité jusqu'à la fin des combats.
Mais sur place la réalité est toute autre. Révoltés par la rupture de l'hospitalité des Romains les Sabins veulent prendre Curia comme otage pour se venger de l'enlèvement de leurs sœurs et de leurs filles.
C'est sans compter Titus qui la défend avec ardeur. Comment prendre en otage une jeune fille innocente du crime de ses concitoyens ? S'abaisseraient-ils au niveau des Romains ? De plus il lui a donné sa parole qu'elle serait en sûreté et il mourrait plutôt que de laisser malheur arriver à son hôte.
Les Sabins plient devant la fougue du jeune homme, certains de toute manière que l'issue des armes leur sera favorable, inutile donc de commettre cette bassesse par dépit.
Les hommes s'arment puis partent en direction de Rome pour anéantir les ravisseurs et libérer les Sabines.

Laissée à la garde des vieillards restés en arrière, Curia ne peut se résoudre à la mort de son frère, de son père et des autres Romains. Elle s'éclipse donc, décidée à arrêter d'une manière ou d'une autre la tragédie qui s'annonce.
Alors que les deux armées se font face les Sabines sortent de Rome pour arrêter leurs frères qui hésitent. Les Romains et Manius en tête ne l'entendent pas de cette oreille et décident quant à deux de poursuivre l'attaque, afin de détruire un peuple qui leur est hostile et restera une menace pour Rome.
Curia, voyant les lignes romaines se diriger vers les Sabins désorganisés et apaisés par les femmes qui les prient d'abandonner leurs velléités guerrières, prend en pitié ceux voulaient la retenir elle.
Elle court donc pour trouver Manius et l'enjoindre de retenir les Romains. Entendant la méprise dont Titus a été la victime et les égards qui lui ont été accordés par les Sabins il convainc les Romains de s'arrêter.

Tout semble bon mais Titus est toujours sous le charme de Curia, qui de son côté s'est éprise de ce "ravisseur" qui l'a défendue avec acharnement contre les injustices de son propre peuple. Le couple tente d'obtenir l'assentiment de Manius qui ne l'entend pas de cette oreille, Curia étant déjà promise à Septius, l'un des tous premiers compagnons de Romulus, honneur prestigieux pour ces Romains qui sont arrivés après la fondation.
Mais le sage roi de Rome a entendu l'histoire. Soucieux des relations entre Romains et Sabins autant que du destin de cette jeune fille innocente et de cet homme juste il pousse Manius et Septius à accepter le mariage de Titus et Curia.

La pièce s'achève donc sur cet heureux dénouement, un enlèvement à contre-courant qui se termine de la plus belle des manières.



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MJ à la retraite (2003; 2006-2009)
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MJ Magnetis
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Les citoyens de Rome ressortent de ce mariage-marathon émerveillés, convaincus qu'ils viennent d'assister à un des plus beaux, sinon le plus beau, mariage romain de l'Histoire de la république


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MJ à la retraite (2003; 2006-2009)
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