| Du sud et de l'organisation de ses territoires |
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FUGITIVUS Felix
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2342
Inscrit le : Sam 26 Aoû 2006
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 Posté le : Mar 23 Fév 2010 |
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Consul Justus ce que je voudrais dire... Nous pourrions regarder dans chaque province et trouver ce qui est différent à chaque fois, culturellement, historiquement, etc. Mais une autre manière de faire serait deregarder au delà de ces différences ce qui rapproche, et d'en tirer un cadre plus large.
Puis, pour ce qui est de l'archontat, cela concerne seulement deux citées. Mais pour le reste des citées du Sud, que doit il en être?
Quoique nous retirions de cette proposition de loi, c'est là l'occasion de penser à nos provinces et de trouver au delà de leurs spécificité un cadre qui permettrait de resserrer peut être le sentiment d'appartenance à la République Romaine.
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81 ans. - Flamine de Mercure de 346 à 368. Pontifex Maximus de 369 a 376.
5 fois consul. Légat durant la campagne contre Tarente (340-345), campagne chez les Anares; Imperator. |
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MARCELLUS Marcus claudius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 936
Inscrit le : Lun 15 Oct 2007
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Posté le : Mer 24 Fév 2010 |
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L'appartenance c'est surtout et d'abord la loyauté. Pour qu'elle existe, les deux côtés doivent avoir l'impression d'en tirer quelque chose de cette relation. Quesqui motive un sentiments d'appartenance à un groupe? Avoir une voix sur des enjeux communs. Il faut définir ces enjeux d'abord. Et en dehors de toute grande action législative, si au moins chaque région peut avoir une voix, active au Sénat; des Sénateurs capable de patronage et d'évergistime sur des provinces. Ce sera déja un progrès. Un lien formelle à défault d'une loi.
Si nous prenons l'exemple de l'étrurie et la révolte du Rei, nous voyons comme une personnalité importante peut être percutante dans la vie d'une région, si nous aurions eu là bas au lieu de ce sinistre personnage, un sénateur dévoué et loyal au sénat et à ses convictions, les choses auraient été certainement différente.
Sinon Tout cela est un débat intéressant, lors de longue veillés innocentes le Prêteur Petronius et moi même avons tenter d'ébaucher quelques lignes sur ces structures provinciales et urbaines. Une organisation qui serait reprise et calqué du modèle romain; finalement quelque chose d'assez simple et tiré du vécu. Peut-être se travail deviendra t'il utile un jour.
Un fait par contre qui se dégage du débat actuel est que pour imposer un nouveau modèle il faut écarter les anciens modèles. Hors certaines grandes villes de notre république, tel Naples et Tarente, ont leur propres traditions et facon de faire, leur imposer une nouvelle facon de faire deviendrait délicat. Rome à surtout prouver qu'elle aime imposer SA facon de vivre, et n'a guère démontrer qu'elle pouvait rendre la pareille.
Ainsi une réforme provincial serait-elle limité seulement aux villes et régions qui vivent clairement sous le droit romain dans sa forme puriste? Car il va sans dire que si nous imposons par exemple à Naples un modèle, elle nous renvoyara le revers de la médaille; à savoir tout les frais d'infrastuctures et de services qu'elle pourvoit déja par une structure traditionnelle bien rodée e et qui à fait ses preuves. Je doute qu'elle menacerait de quitter la république, mais elle nous rappelerait l'engagement à respecter une partie de son intégrité traditionnelle, une des conditions de son adhésion. Naples vit d'un grand commerce, particulièrement avec les puniques et les grecs.
Je compte d'ailleurs me rendre à Naples sous peu et discuter de cette situation pour en apprendre plus.
Mais revenons au propos de réfome... D'un côté nous avons des villes romaines dévelloper sur un modèle exemplaire, par exemple Capoue; une seconde Rome. D'un autre d'autres villes ou régions qui apprécient leur distinction et qui demandent le respect de cela, je parle de l'Apulie, de Tarente ou de Croto. Un modèle uniforme sans les nuances à la fois historique et pragmatique mentionné par le Consulaire, serait brutale.
Il me semble qu'une structure améliorée devra inclure une solide ossature sur le statut des provinces et des villes, afin que préserver les distinctions entre provinces romaines, provinces latines, et provinces alliés, provinces vassales, territoires conquis, colonies, et je crois même que la notion de "cité" devrait s'y rajouter.
Notre république est un ensemble hétéroclite, et souvent l'on est tenter de la traité comme un ensemble homogène. Et cette réalité ne couvre pas seulement les territoires mais les droits des individus, le débat soulevé par le Sénateur Arius le prouve. Il faut donc penser une structure très habile.
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Patricien Gens Claudii
marcellus_mc@yahoo.fr
Consul en exercice |
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ARIUS SAXA Lucius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2408
Inscrit le : Jeu 04 Fév 2010
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Posté le : Mer 24 Fév 2010 |
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Nous devrions probablement commencer par respecter les lois-cadres que nous nous donnons. Les statuts de nos provinces sont flous. Par exemple, la Ombrie est qualifiée d'alliée de Rome, pourtant la description de son statut la rapproche plutôt d'une province autonome.
La distinction entre droit latin et droit romain me parait floue, également, et porteuse de confusions.
Consul, tu as raison de souligner que les provinces dont nous parlons sont incroyablement hétérogènes : non seulement dans leur identité culturelle et dans les formes traditionnelles de la politique, mais également dans le statut juridique que nous leur appliquons. Chaque traité d'intégration apporte sa spécificité, une précision sur le tributum pour l'un, la reconnaissance d'une "élite locale" pour l'autre...
Il sera donc nécessaire de reprendre le cas de chaque province, une part une.
Homogénéiser le droit sur nos provinces, tout en respectant les particularismes locaux... Cela me semble une lourde tâche !
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Pacta sunt servanda !
Consul 386
En mission consulaire chez les Gaulois 383-385
Consul 380, 381, 382
Préteur 377, 379
Légat en Lucanie 374-376
Edile 373, 374
Ambassadeur à Rhegium 370-372
Questeur 368, 369 |
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DOBRASUS Clodianus
Autorisation : Modérateur
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Inscrit le : Lun 05 Nov 2007
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Posté le : Jeu 25 Fév 2010 |
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Homogénéiser le codex avec des textes sans failles, parce que débattus au sénat, ne devrait pas poser d'insondables problèmes.
Consulaire, j'apprécie cette intervention, mais laissons donc travailler ce texte si d'aventure il est voté. Dans le cas contraire, je le reverrai.
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Entrée au sénat en 348
Vit à Tarente, personnage inactif. |
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