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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Villa Valeria Cotta
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Villa Valeria Cotta
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VALERIUS COTTA Caius
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Le soleil n'est pas encore levé lorsque Caius Valerius Cotta - ainsi s'appellent les ainés de cette branche de la gens Valeria - voit pour le première fois l'Vrbs, là, juste à quelques kilomètres de lui. Avec sa troupe d'esclaves, armés pour certains (les routes réservent parfois de drôles de surprises...), ainsi qu'accompagné de son fidèle intendant, le vieux Valdus, qui fut intendant de feu son père, Caius affiche un large sourire. Dans la pénombre encore persistante de ce levé de soleil, personne ne remarque sa satisfaction.

Après un voyage de deux jours depuis Narnia, le capitale sabine, Caius arrive enfin à Rome ! Non pas que deux jours soient un délai interminable, c'est seulement que cela fait des années qu'il attendait de quitter sa bonne vieille Sabine pour rejoindre la capitale, et ainsi accomplir son destin.

Son père, Caius Valerius Cotta était un homme solitaire et obscure. Non pas obscure du point de vue des origines, la Gens Valeria Cotta remonte à la fondation de la Ville, avant de s'installer il y a de cela un siècle en pays sabin, mais obscure dans le sens de la vision qu'il avait du monde, et surtout de la place qu'avait pour lui sa famille. Jamais son père ne tenta quoi que se soit pour entamer une carrière à Rome, pour gravir un à un les échelons du cursus honorum. Toujours il resta cloitré dans sa maison de Narnia, faisant de rares voyages hors de la municipe, et uniquement pour ses affaires. Il a toujours interdit à son fils de partir pour Rome, ce qui était pourtant son voeux le plus cher.

De nombreux sabins le traitaient de fou, et on ne l'aimait guère là-bas. Jamais il ne fit les démarches nécessaires pour marier son fils Caius, aujourd'hui âgé de 30 ans ! Un âge qui impose d'être déjà marié, ce qui n'est pas malheureusement pas le cas...

Caius fait maintenant son entrée dans l'Vrbs, par la porte Collina. La pénombre a désormais disparue et les dernières charrettes, interdites de circuler le jour dans Rome, s'en vont. Tout en continuant à progresser pour rejoindre la petite domus qu'il a acheté entre la collline du Palatin et celle du Caelius - l'état des finances familliales ne lui permettaient pas de s'installer plus haut sur la colline...-, Caius ne peut s'empêcher de regarder autour de lui: les gens, les bâtiments en tous genres, les animaux dans les rues, etc... Il inspire bien pronfondément les différentes odeurs sur son passage. A cette heure-ci de la journée, on ne sent que les odeurs de cuisson d'aliments et du parfum dont se parfument les nombreux romains venus se faire raser chez leur barbier.


"Quelle activité, quelle frénésie, de si bon matin" se dit Caius; "Cela change de la Sabine où personne ne se pressait et où le temps coulait comme un ruisseau".

Et c'est enfin l'arrivée devant la modeste domus. N'étant jamais venu à Rome, Caius ne l'avait jamais vue. Il avait chargé Valdus, son vieil intendant, de lui en trouver une. Caius l'interpelle:

"C'est tout ce que tu as trouvé ?
-"Oui, Caius, au vu des finances familliales, et surtout quand on voit le prix de l'immobilier à Rome, on aurait mieux de rester à Narnia, là-bas au moins on..."
"Il suffit, Valdus ! Nous en avons déjà parlé, il me fallait venir ici. Un sénateur de Rome ne peut tout de même pas vivre toute l'année à la campagne. Aujourd'hui, l'avenir de la gens Valeria Cotta se joue ici, et ton destin est liée à elle. Oublie la Sabine,je t'ai déjà dit que c'était de l'histoire ancienne. Déjà que nous avons retardé notre départ de Narnia à cause de cette maudite peste... Il était vraiment temps de prendre notre envol mon vieil ami !"
-"J'espère que tu as raison et que tu sais ce que tu fais, Caius."

Celui-ci ne répondit rien. Valdus, exepté son père, était le seul à pouvoir l'appeler par son prénom. Sa mère était morte en couche - ce qui expliquerait peut-être le caractère dérangé de son père, qui aimait sa femme d'un amour profond - et après la mort de son père l'an dernier, il ne lui restait que son fidèle Valdus. Pas de frère, pas de soeur, il ne pouvait compter que sur lui.

A la mort de son père, Caius, pour remercier l'intendant sabin (d'où sa nostalgie pour sa terre), lui avait proposer de prendre sa retraite et de couler des jours heureux sur des terres que le nouveau pater familias lui offrirait. L'intendant refusa aussi sec. Pour lui, il était de son devoir de servir aussi bien le fils qu'il avait servi le père. Et puis d'ailleurs, son heure à lui n'était pas encore arrivée, aimait-il a répéter, il se voyait mal languir au soleil, inactif, à attendre que la mort l'emporte.

Devant la domus, un des nouveaux esclaves que Valdus avait acheté pour son maitre attendait devant le porte. Il se précipita vers Caius:

"Bonjour, maître, et bienvenue à Rome !"
-"As-tu fait ce qui t'a été demandé ?"
"Oui, maître. J'ai vérifié et re-vérifié... ton illustre nom ne se trouve pas sur l'album sénatorial. On ne m'a pas laissé approché le censeur et..."
"C'est bon. Je vais me rendre chez le censeur. Valdus, décharge les charettes et... regardant le domus décrépie... essaie d'en faire quelque chose de convenable."

Caius monta sur son cheval et se dirigea vers le bureau du censeur.

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VALERIUS COTTA Caius
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De retour chez lui, Caius confie son cheval à un esclave.

"Qu'il se repose, il l'a bien mérité"
-"Bien, dominus"

La porte s'ouvre devant Caius, il pénètre pour la première fois dans sa domus. Il confie son manteau de voyage à un autre esclave qui le dépose dans le vestibulum. Pénétrant dans l'atrium, la pièce centrale de la maison, Caius voit Valdus s'afférer à diriger les dernières opération pour vider les charettes et disposer les quelques meubles emportés depuis la Sabine. Celui-ci se tourne vers Caius:

-"Alors, Caius, qu'en est-il ?"
"C'est réglé. Le censeur me semble être quelqu'un de tout à fait charmant... à l'écoute également."
-"Et comment trouves-tu ta nouvelle demeure ?"

Caius fait le tour du propriétaire.



"Tu installeras mon bureau dans le tablinum. Je dormirai dans le cubiculum juste à côté. Quant à toi, mon cher Valdus, tu roupilleras dans le cubiculum de l'autre côté de l'aile. Ainsi tu ne seras pas trop loin de moi"....

Sourire et tape sur l'épaule du vieux sabin. Puis, à Vilpurnia, sa cuisinière qui fut aussi sa nourrice il y de ça une trentaine d'année, esclave puis affranchie depuis de nombreuses années et restée fidèle à la gens Valentia Cotta/

"La culina est-elle a ton goût ?"
-"Pour sûr ! Laisse moi le temps de trouver mes repères... En tout cas, compte sur moi pour te mijoter quelques bons petits plats de Sabine !"
"Mmmmhhh, oui, j'en ai faim d'avance ! Mais alterne tout de même les recettes, je ne voudrais pas que ce bon vieux Valdus soit pris de nostalgie."

Se tournant à nouveau vers Valdus

"Tu feras aménager les deux tabernae pour loger les esclaves. Je les veux propres et disciplinés. Et pas de grec, je ne veux que des italiens."
-"J'avais prévu le coup Caius. Les esclaves répondent à tous tes critères"
"Ah, tu me connais si bien, que ferais-je sans toi ?"
"Je ne sais pas, mais tu aurais en tout cas quitté la Sabine depuis belle lurette !"

Rires de Caius, puis scrutant attentivement l'atrium et le compluvium

"Valdus, trouve des gens pour agrandir ce compluvium. Il est trop petit et ne laisse donc pas assez de lumière passer. Il fait vraiment sombre ici. Qu'on allume des bougies ! Rajoute également au compluvium des petites têtes de lions. Evidemment, tu feras agrandir l'impluvium, celui-ci doit rester proportionnel au compluvium."

Se tournant vers deux esclaves portant avec grande précaution la statue du dieu Lare, la divinité protectrive du foyer:

"Faites très attention ! Posez le de l'autre côté, dans le lararium.... Voilà, doucement... Parfait !"



Caius s'agenouille face à l'autel.



Celui-ci est une sorte de petit temple entouré de deux colonnes et surmonté d'un fronton triangulaire. Au fond de ce temple, une image représentant l'ancêtre de la famille, le premier Caius Valerius Cotta, vêtu d'une toge, faisant une libation, entouré des dieux Lares qui dansent en tenant en main un rhyton, une corne d'abondance. En bas de la figure est peint un serpent qui représente le génie du des Valerii Cotta.

Un esclave tend des guirlandes de fleurs ainsi que de l'encens à Caius. Celui-ci accroche les fleurs autour de l'autel et allume l'encens. Tous les esclaves se sont arrêtés de gesticuler, plus personne ne bouge, plus aucun bruit ne vient trombler la prière que Caius fait à voix basse. On peut y discerner, entre autre:

"Oh Dieux Lares, oh divinités protectrices de notre foyer et de notre famille, apportez votre bienveillance et votre protection sur cette domus. Soyons bons avec nous aussi longtemps que je vous honorerai tel que mes ancêtres me l'ont appris. Oh Dieux Lares, écoutez ma prière."

Aussi Caius se relève. Un esclave lui apporte un bout de pain qu'il avale à moitié et dont il dépose l'autre moitié aux pieds de la statue du Dieu Lare. Serain, Caius se retourne vers sa troupe d'esclaves devenus inactifs:

"Allez, au travail bande de fainéants !"

A Valdus

"Engage-moi un secrétaire particulier. Un italien, mais il doit aussi savoir parler et écrire le grec. Il logera avec nous. Je le veux plus jeune que moi."
-"Mais, Caius... Je peux me charger de ce travail tu sais !"
"Oh oui Valdus, je n'en doute pas une seule seconde. Mais il faut ménager tes forces mon ami, et puis tu auras bien assez de travail en tant qu'intendant"

Valdus, visiblement déçu

-"Très bien... J'y vais de ce pas"

Ni une ni deux, Valdus enfile un manteau, indispensable en cet hiver froid et pluvieux et se dirige vers le forum pour aller négocier un prix.

Caius se dirige ensuite vers l'hortus, le jardin. Un endroit bien triste, se dit-il. Aucun fontaine, aucune fleur, aucune statue, aucun potager. A peine un banc en vieux marbre blanc, même si le blanc a tourné au vert. Caius accoste deux esclaves.

"Vous. Allez chercher des outils et arrachez moi toutes ces mauvaises herbes. Cette terre doit pouvoir redonner la vie !"

En rentrant dans la maison, Caius participe au déchargement des imago, ces masques des ancêtres, moulés en cire, que l'on range dans des niches. Ainsi l'arbre généalogique de la famille est-il toujours présent, car c'est aux yeux des ancêtres que chaque génération doit mener sa vie et accomplir son destin. Caius aménage ainsi une autre cubiculum où les imago, les effigies, sont accrochées délicatement et où, le soir venu, brillent des bougies afin d'éclairer les visages moulés dans le platre. Un lieu de silence où Caius aime se recueillir, réflechissant, tout en regardant les visages de ses glorieux ancêtres. Ce n'est d'ailleurs pas sans émotion qu'il accroche l'imago de son père, mort il y a peu. Bien que les relations entre eux deux aient toujours été difficiles - sa froideur, son manque d'ambition, ses attitudes d'ascètes, ...- Caius respectait son père. peut-être même l'aimait-t-il un peu, mais que signifie l'amour d'un fils pour son père quand on est patricien ?

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CARNEUS Tiberius
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Tiberius se promenait dans le quartier, entouré de quelques personnes lui demandant quelques précisions sur son programme au Tribunat. "Le Navarque" marchait d'un pas lent, mains croisées dans le dos, et répondait aux questions diverses qu'on lui posait, avec néanmoins une lassitude naissante. On pouvait sentir en lui une certaine fatigue et depuis la guerre au Samnium, les marches à pied lui étaient toujours difficiles quand elles s'éternisaient. D'ailleurs, au loin, on pouvait voir une litière qui semblait l'attendre.

Tiberius continuait son chemin et sa discussion avant de passer devant la domus du Sénateur Valerius, passant un instant devant sans s'arrêter avant de remarquer une activité qu'il ne lui avait pas semblé lors de ses précédents passages. Il s'arrête et observe la demeure, pensif, avant d'être ramené sur Terre par la conversation qu'on lui faisait :


"Hein ? Quoi ? Ah, ça ! Mais tu sais ce que j'en pense, je te l'ai dit tout à l'heure... Mais... dis-moi... On vient de s'installer ici ?"

La personne avec qui Tiberius conversait haussa les épaules dans un geste qui révélait son manque de réponse, mais la personne à ses côtés, habitant le quartier, précisa :

"Si fait, Sénateur, si fait. On dit que c'est un Patricien venu siéger au Sénat...
- Ah oui, vraiment ?"

Tiberius leva une nouvelle fois la tête pour regarder la domus, grimaçant en sentant son dos le tirer...

"De quel gens s'agit-il ?
- Ça, je ne le sais pas..."

"Le Navarque" marmonna vaguement quelque chose, puis se retourna vers ceux qui l'accompagnaient pour les saluer et prendre congé d'eux, avant de se retourner vers ceux qui l'attendaient en litière et de leur faire un signe pour qu'ils attendent.
Ceci fait, Tiberius s'avança vers la domus, interpellant le premier serviteur passant à sa portée :


"Hey... Ton maître est-il là ?"

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Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
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VALERIUS COTTA Caius
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L'esclave va chercher son maitre. Une minute ne s'est pas écoulée que Caius vient à la rencontre de celui qui le demande.

"Salut à toi ! Je suis Caius Valerius Cotta et, comme tu peux le constater, je viens d'emmenager dans cette modeste domus. Pardonne moi de converser avec toi dans cette tenue de voyage,

montrant les tâches de boue maculant ses vêtements, signe d'un voyage hors de la ville

je n'ai pas encore pris le temps de me changer. Pardonne également mon ignorance qui s'explique par mon arrivée récente dans l'Vrbs, mais à qui ais-je l'honneur ?

Souriant, visiblement heureux de cette visite impromptue

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CARNEUS Tiberius
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Pendant la brève minute durant laquelle il patiente, Tiberius reste sur place, mains toujours croisées dans le dos, tournant lentement sur lui-même pour lancer quelques regards et détailler les lieux. Quand le Sénateur Valerius Cotta apparaît devant lui, il le regarde d'abord de pied en cape puis affiche un vague sourire aux excuses du Sénateur légèrement boueux.
Tiberius, loin de porter la toge qu'il évite d'ailleurs autant que possible, surtout au Sénat, se trouve pour sa part coincé dans une armure qui semble particulièrement serré et l'on peut deviner sous l'armure la présence d'une simple tunique.


"Il n'y a aucun mal, Patricien. Je viens à toi sans être annoncé et il se pourrait d'ailleurs bien que je te dérange. Mais la curiosité m'a poussé à franchir les portes de ta domus lorsque j'ai vu qu'il semblait y avoir de l'activité..."

Voyant un esclave porter une imago pour la mettre à la place qui lui est destiné, et un autre porter quelques guirlandes pour mettre vers l'autel, Tiberius s'interrompt un instant avant de reprendre :

"...une saine activité..."

Puis, retournant son regard vers le Sénateur :

"Hum, il est vrai que je ne me suis pas présenté... Tiberius Carneus Oceanus, pater familias des Carnei, et Sénateur... hum... comme toi, peut-être ?"

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VALERIUS COTTA Caius
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Tique en entendant le nom du navarque, montrant qu'il le connait de nom:

Honoré et ravi de faire ta connaissance, navarque. Ton nom m'est connu depuis déjà de longues années, aujourd'hui je peux y mettre un visage.

Effectivement, sénateur également. Je viens de quitter la Sabine où j'ai toujours vécu et, en tant que pater familias de famille noble, occuper le siège sénatorial qui me revient de droit.

Comme tu peux le constater, mes gens s'occupent d'emménager à l'intérieur tout ce que nous avons emporter de Narnia, la capitale sabine. Y es-tu déjà allé, Tiberius Carneus ? C'est une bien belle contrée, et si différente de Rome...

Un brin nostalogique, puis se ressaisissant

Puis-je te demander quelles sont les nouvelles récentes, ici, à Rome ? Comme tu peux l'imaginer, je ne suis pas très au fait des derniers évenements politiques...

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CARNEUS Tiberius
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Tiberius affiche un vague sourire un peu étrange, ni ravi ni même moqueur, à l'annonce que le Sénateur le connaisse de nom... Son ton devenait pourtant un instant vaguement provoquant :

"Ah, oui, vraiment ? Pas en bien, j'espère ?"

Puis, jetant un regard autour de lui sur l'activité qu'il continue de régner, "le Navarque" acquiesce avant de réfléchir quelques instants...

"Hum... Non... J'ai eu l'occasion de passer par bien des villes de l'Italie depuis que je suis Sénateur, mais Narnia n'est pour moi encore connue que de nom, et la Sabine n'évoque pour moi que le vin que l'on ne cesse de vanter..."

"Quant aux événements politiques, je t'en parlerais bien mais..."

"Il m'est difficile de rester trop longtemps immobile debout... Ce n'est pas que je rechigne à la conversation et encore moins à te tenir aux derniers événements, mais sans chercher à abuser de ton hospitalité, serait-il possible de m'offrir un siège ?"

HJ : et accessoirement, de continuer par email winkle.gif

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VALERIUS COTTA Caius
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Se ressaisissant

Oh oui, bien sûr, évidemment ! Je suis confus, je manque à tous mes devoirs d'hospitalité et de bienséance.

En parlant de vin, j'ai ramené du municipe un "p'tit sabin" comme on dit chez nous... exquis !

Je t'en prie, entre...

Fait signe des bras en direction de la porte de sa domus

[Suite par mail]

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JUNIUS CAMILLUS Caius
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Posté le : Dim 01 Aoû 2010    

Le Sénateur Junius se présente à la Villa Valeria Cotta

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Lucius Junius Camillus - IIIème du nom

Descendant des Junii Brutii, Sénateur Patricien

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VALERIUS COTTA Caius
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Posté le : Dim 01 Aoû 2010    

Lucius Junius Camillus est introduit dans la domus par l'intendant Valdus.

[suite mail]

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VALERIUS COTTA Caius
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Posté le : Dim 12 Sep 2010    

On raconte que Caius Valerius Cotta est tombé malade et qu'il n'est pas sorti de chez lui depuis maintenant 3 jours.

Un médecin d'originie grec, entendant la rumeur se propager dans le quartier que le sénateur était souffrant, se proposa de l'ausculter et de le soigner. Il fut ordonné que ce rat fut chassé de devant la porte de la domus. Valdus, l'intendant sabin, le poursuivit d'ailleurs dans la rue, un bâton à la main. Mais ce satané grec fut était plus rapide que le vieillissant sabin.

Un autre médecin, d'originie sabine cette fois-ci, comme la gens Valeria, diagnostiqua un mal au niveau du ventre. Il prédit deux bons mois de repos, en interdisant toute visite au sénateur. Valdus est désormais aux petits soins du patricien.


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Sénateur patricien
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JUNIUS CAMILLUS Caius
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/ Les visites étant interdites , le Sénateur Junius envoi un message à la famille , leurs indiquant qu'il est disposé à leur apporter toute aide souhaitée et que la Gens Junia prie pour son rétablissement rapide /

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Lucius Junius Camillus - IIIème du nom

Descendant des Junii Brutii, Sénateur Patricien

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