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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Harangue du consulat, et d'autres...
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Harangue du consulat, et d'autres...
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VANSTENUS Julius
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Inscrit le : Dim 04 Nov 2007
Posté le : Lun 13 Jui 2011    

Le Censeur et ses clients applaudissent les discours du Sénateur Forestus et du Pontife Fugitivus.

Entendant la réponse du Tribun Crassinus, le Censeur ne peut s'empêcher de dire à ses clients :

Même le Pontife... Même le Pontife n'est plus entendu...
Pauvre Rome ! Pauvres Romains !
Il faut donc répondre à l'appel du Consul Barrezus. Mobiliser tous vos clients.

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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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Caius AETIUS Mamercus
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Posté le : Lun 13 Jui 2011    

Le sénateur regarde le ciel et interprètes le message des Dieux. Il se lève et est rejoint par ces clients. Il leur annonce :
- Je vais demander au Consul BARREZUS de le rejoindre dans le sud. Vous venez si vous le souhaitez.
- Mais … sénateur… ta famille…
- Vous pourrez vous en occupez. Et il y a le Consulaire ORLENUS. Il a toute ma confiance pour cela.
- Sénateur, je viens avec toi.
- Moi aussi.

Le groupe se tourne vers le dernier qui reste silencieux…
- Je ne peux pas. Je viens d’avoir un enfant, un fils. Je dois rester ici pour m’occuper de vous.
- Nous ne t’en voulons pas. Occupes-toi de nos familles, de nos femmes et de nos enfants.


Le groupe s’avance lorsqu’on entend parler le sénateur SERGIUS. Le groupe s’arrête. Le sénateur se tourne face au sénateur.
- Je ne m’en fais pas… Je préfère que tu verses une larme qu’une goutte de vin. Tu ne sais même pas ce que tu dis. Tu n’es qu’une girouette qui tourne au gré du vent… Tu serais capable de dire n’importe quoi pour gagner une élection.

Le sénateur se détourne du roux et écoute le discours du Pontife qu'il applaudit, ces clients font de même. Puis, le sénateur se dirige vers le Consul BARREZUS.
- Consuls, saches que si tu l’acceptes, je serais fier de combattre à tes côtés. Je te suivrais même aux portes du Royaume de Pluton s’il le faut pour la gloire de Rome !
- Moi aussi, Consul.
- Moi aussi.

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Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One !
Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367
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ARIUS SAXA Lucius
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Posté le : Lun 13 Jui 2011    

Arius Saxa ne dit rien, mais ceux qui l'entourent voient bien qu'il est touché au cœur par les mots du Pontife.

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Pacta sunt servanda !
Consul 386
En mission consulaire chez les Gaulois 383-385
Consul 380, 381, 382
Préteur 377, 379
Légat en Lucanie 374-376
Edile 373, 374
Ambassadeur à Rhegium 370-372
Questeur 368, 369
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SERGIUS AHENOBARBUS Appius
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Posté le : Lun 13 Jui 2011    

/Se tournant vers Mamercus Caius Aetius, qui l'interpellait.

Gagner une élection ? Sommes nous en période électorale ? Et dois je rappeler que j'ai juré que plus jamais je ne me représenterai ?

/Se tournant vers la foule.

Voyez braves fils de Rome, ils ne pensent qu'en profits. Ils m'accusent de chercher à être démagogue afin de gagner un scrutin par ci ou une magistrature par là. Ils sont incapables de penser à autre chose qu'à remporter une fonction afin de s'en mettre plein la toge. Du coup, toute action n'est pour eux qu'un jeu politique. Des comédiens, je vous les dis, des comédiens cupides et vénales.

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APPIVS•SERGIVS•PROCVLI•FILIVS•VOPISCI•NEPSOS•AHENOBARBVS
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ARIUS SAXA Lucius
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Inscrit le : Jeu 04 Fév 2010
Posté le : Lun 13 Jui 2011    

Maugrée, sans doute un peu trop fort :

Ah, mais il n'y aura donc aucun homme honnête pour écraser le serpent à coup de talon ?

Se tourne vers le Consul, assez fort pour être entendu.

Rassemblons-nous sur le champ de Mars. Nous verrons alors où sont les Romains.

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BARREZUS Patronus Collegius
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Posté le : Lun 13 Jui 2011    

Collegius remercie les hommes qui sont prêts à partir, mais attend encore un peu.

Puis il prend la parole.


Je ne ferai pas de discours sur le devoir, je ne ferai pas de discours sur nos frère déjà au combat... cela je l'ai déjà fait...

Non, je vais prendre les trois problèmes que nous venons d'évoquer, et je commencerai par celui qui vous préoccupe la torture.

Il s'arrête un moment puis reprend.

Qu'un citoyen romain ait le droit à son intégrité physique la plus complète, cela va de soi, qu'on puisse torturer un citoyen romain, comme un vulgaire étranger, ou un esclave est intolérable, je suis d'accord avec vous.

Mais si on regarde du côté des magistrats, des vigiles, ou même des victimes de crime : Comment pourrions-nous tolérer qu'un individu qui tue des enfants, des romains... puisse s'en tirer, par faute de preuve, et par désaveu... dans ce cas-là, les choses se compliquent ...

Alors, je sais, on peut envisager qu'il soit innocent, mais il peut aussi être coupable...

Il faut donc trouver un juste milieu entre les droits des citoyens, et les besoins des enquêteurs dans Rome ?

Mais je vous l'accorde la torture n'est pas ce moyen.

Le tribun Urbanis proposait un texte dont le tribun Crassinius estime qu’il est inacceptable toutefois je me demande s’il ne peut pas être repris.

Il fait signe à ses secrétaires de noter ce qu’il dit.


Citer
La Loi sur l'interdiction de la torture, mise en application en l’an 374 après la fondation de Rome, sous l’égide des Consul Petronius Sabinus Publius et Barrezus Collegius, sur la proposition du tribun Flavius Urbanis Iustus et du consul Collegius Patronus Barrezus, est applicable à partir de ce jour dans toutes les provinces, cités et terres placées sous la juridiction de la République Romaine.

Le Sénat et le Peuple Romain, conscients des droits inhérents à la citoyenneté, des devoirs de protection du citoyen incombant aux magistrats de la République mais aussi des nécessités impérieuses de maintenir le droit et la justice sur le territoire de la République, ordonnent et déclarent :

Article 1 : La loi romaine protège les citoyens de la République dans leur intégrité physique. De ce fait, la torture à l’égard d’un ou plusieurs citoyens Optimo Jure ou Minuto Jure constitue une violation des lois de la République et un crime relevant des peines infâmantes.


Article 2 : La torture est définie comme l'imposition volontaire de sévices d'ordre physique qui visent à faire souffrir un individu. Elle est caractérisée par des séquelles visibles causées par ces sévices.
Les coups et blessures portés dans le cas d’actes défensifs ou à l’occasion de combats à main nue ou armées ne correspondent pas à de la torture bien qu’ils restent punis par la loi.
De même, les violences physiques exercées par les vigiles, légionnaires ou toute autre force publique légalement constituée, à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions et dans la mesure du raisonnable ne constituent pas des actes de tortures.

Article 3 : L'usage de la torture à l'encontre de citoyen est un crime puni par la justice romaine. Il relève des peines infâmantes.

Article 4 : Dans l’intérêt supérieur de la République, la loi permet aux autorités légales d’user de la torture dans certains cas de force majeure strictement encadrés. Ainsi, les généraux et légats dans le cadre du droit de la guerre et les magistrats dans le cadre des enquêtes peuvent-ils faire l’usage de la torture sans violer la loi romaine.

Article 5 : L’usage de la torture à l’égard des populations ennemies comme des prisonniers de guerre n’est pas restreint par cette loi. Les généraux et légats sont donc autorisés à user de la torture dans le cadre du droit de la guerre. Un tel acte ne relève que de leur compétence et de leur responsabilité personnelle.

Article 6 : La torture est admise dans le cadre d’enquêtes judiciaires menées par les édiles ou, à défaut, par les magistrats légalement chargés d’une telle enquête dans le cadre suivant.
L’usage de la torture est autorisé, dans le cadre d’une enquête judiciaire, à l’encontre des pérégrins comme des esclaves mais tout abus est passible d’une amende, en dehors de toute autre peine judiciaire, définie en fonction de la qualité du pérégrin ou de la valeur de l’esclave.
La torture d’esclave d’autrui est soumise à la volonté du maître dont il est la propriété, sauf si ce dernier est fortement suspecté de crime.
Tout citoyen romain, condamné pour crime odieux et grave relevant de peine infamante et perdant donc ses droits de citoyen, peut-être torturé si l’on considère qu’il connait des informations importantes dans le cadre d’une enquête visant à faire respecter les intérêts supérieurs de la république.



Voilà, Quirites, ce que je propose comme projet de loi, ici devant vous pour garantir vos droits. Il est probablement imparfait, mais il s’efforce de garantir les droits des citoyens, et de laisser les magistrats travailler…

S’il vous convient.

Il prend les tablettes de ces secrétaires.

Je laisse un exemplaire de ce projet à mon collègue, et l’autre au tribun Crassinius, libre à eux d'en faire ce qu’ils veulent pour que vos droits soient respectés : mise au débat, vote, plébiscites, SC le temps de la guerre à vocation de devenir une loi, …

Ce projet, même si je ne suis pas là, aura tout mon soutien.

Maintenant, j’ai juré, de partir défendre Rome, je le ferai.

J’invite tous ceux qui sont prêt à partir avec moi, à se rendre sur le forum.

Si le pontife veut bien nous accompagner, nous accomplirons plusieurs rites religieux : celui de la concorde et ceux d’entrée en guerre.

Nous prononcerons le sacramentum, et une fois que nous serons armées et prêts, nous partirons.

Il se tourne vers le Pontife d'un air interrogateur et lui tend à nouveau son bras.

----------------------
Inexpérimenté jusqu'en 350.
Administrateur des travaux dans le sud 350- 352, 355.
Secrétaire de la coopérative de Cérès 353-359.
Quaestor 356, 357, 358 ; surnommé le financier, puis le Questeur.
Aedilis 360, 361, 362.
Légat en Samnium 364, surnommé Patronus.
Préteur 366, 367, surnommé la Mule.
Gouverneur du Samnium 368, 369, 371.
Consul 374, 375, 376.
Retraité 377-380.
Pontife 381-
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MJ Mars
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Autorisation : Modérateur global
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Inscrit le : Ven 03 Déc 2010
Posté le : Mar 14 Jui 2011    

Les arguments donnés ici et là font pencher balance tantôt vers un parti , tantôt vers l'autre.

Mais l'intervention du Pontife apporte du poids aux arguments de la majorité des sénateur. La vision de ce Vénérable qui s'obstine à vivre pour servir la religion civique et donner sa sagesse à ses concitoyen force le respect. Lorsqu'il apparait , le peuple se calme et écoute l'Ancien. Le respect force les romains à se taire pour ne pas obliger le vieillard à pousser de la voix pour qu'on l'entende.

Ses argument percutent , certains romains acquiescent , d'autre se sentent honteux de leur prise de position , trop en colère contre le Sénat qu'ils étaient . Et lorsqu'il annonce la mort du Tribun Carnéus , c'est la stupeur. Le peuple dans son écrasante majorité apprend la nouvelle à ce moment là. Aimé et respecté , l'ancien Tribun et tout de suite regretté et des lamentations se font entendre. La honte se fait plus forte au sein de la plèbe au fur et mesure que le Pontife continue. On chuchote << Notre Tribun est mort, il faut le venger...>> , << J'ai un cousin en Illyrie...>> , << On ne pas laisser le Consul et le Pontife partir seul...>>

Le Pontife achève de rassembler le peuple par ses derniers arguments. Et alors que l'on annonce un signe divin - que beaucoup de citoyens n'ont pas eu malheureusement le temps ou la présence d'esprit de regarder - les dernières réticences se dissipent. L'intervention du sénateur Sergius ni changeras plus rien et celle des partisans de la guerre ouvriront désormais des portes ouverte.

Le Consul parle alors et le peuple et désormais près à le suivre. Jusqu'a ce qu'arrive un homme habillé d'une simple tunique , ce qui le rend assez miséreux. Ses mains boudineuses et larges indique qu'il fait parti du peuple travailleur. Il chercher à monter sur l'estrade des rostres , mais les Licteurs du Consul l'en empêche. Il clame être Aulus Lanius , le seul et vrai candidat de la plèbe pour le Tribunat , il ne souhaite que parler. Les licteurs le laissent d'abord monter mais lui indique de s'éloigner du Consul et ceux ci gardent un oeil sur lui. Il prend alors la parole

<< Peuple de Rome !

Je suis Aulus Lanius , je suis boucher et candidat perdant aux dernieres élection de la plèbe

Je vais pas chercher à vous parler avec des paroles de sénateur. Je sais pas pas parler comme ça de toute façon.

Je vais aller droit au but , hein , comme un vrai romain le ferait.

Partez pas vous battre pour eux. Ne partez pas !

Pourquoi ? Parcequ'ils sortent tout leur blabla qui n'engage que ceux qui croit d'abord.
Après parce que je pense que ce qu'ils disent est faux. Le Consul il vous sort une loi qui abolit la torture sans l'abolir. Vous avez entendu sa proposition ? Est ce sérieux ? La torture est interdite , sauf par ceux qui ont le droit de vous torturer qu'il dit, en gros.

On se moque de qui là !

Vous êtes de chiens , des chiens doublé d'ânes . Voila ce que vous êtes. Et pas qu'à leurs yeux si vous vous laissez faire.

Il est temps d'arracher ce droit en faisant plier le Sénat. Il a besoin de vous , maintenant. Forcez le plébéien , forcez le !

Il veut votre sang ? Qu'il vous donne vos droits ! Point !

" La torture sur des citoyens romain est interdite "

Pas d'amendements , pas de blablabla , rien que ces mots et juste ces mots. Et partez pas tant que vous les aurez pas obtenus !


Réclamez que ceci soit écrit sur le marble de la loi et rien d'autre !!

Alors moi je vous dis une seule chose

Plutot que d'aller au champ de Mars , allez au Sénat réequilibrer vos droits devant vos devoirs !

Au Sénat ! >>

Surpris le peuple , n'est pas pour autant séduit par les propos de cette homme qui parle sans l'esthétique oratoire des patriciens. Pourtant ces arguments le touche.

Mais rien n'y fait. Un groupe de citoyen prend le chemin du champ de Mars , sans enthousiasme et résigné , mais il le prend quand même. Et ce groupe et peu à peu suivi par d'autre. Jusqu'à ce que le place se vide progressivement.


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AQUILIUS SCAEVA Lucius
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Posté le : Mar 14 Jui 2011    

Le Questeur écoute les débats et observe cette harangue dans son ensemble puis dit à son voisin :

"Tu vois il y aura toujours des perturbateurs dans un débat, des gens qui crient... certains pour ce faire remarquer d'autre car ils ont la certitude de dire l'absolue vérité. Je pense que l'absolue vérité ne peut pas exister et que chacun prend la voie qui lui semble la plus juste. Je suis heureux de voir tous ces citoyens partir pour le champ de Mars et j'aurais fait de même si ma fonction de Questeur ne me retenait pas ici."

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URBANIS IUSTUS Flavius
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Posté le : Mar 14 Jui 2011    

Hj : J'ai eu un soucis de connexion et je le regrette en voyant comme ça a avancé en à peine un week end !

Ej : Le tribun, qui discutait auparavant avec son collègue, semble être resté coi durant les harangues. Surpris voir désemparé, Flavius se réveille pourtant à la fin et suit le pontife, emmenant avec lui ceux pour qui il compte.

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Caius AETIUS Mamercus
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Posté le : Mar 14 Jui 2011    

Alors que la foule se dirige vers le champs de Mars, le sénateur s'arrête et cherche le Censeur du regard... Ses trois clients se retournent et regard le sénateur...
- Partez... je rejoins dans quelques minutes.

Il cherche le Censeur parmi la foule... Lorsqu'il le trouve enfin, il se glisse parmi la foule en mouvement.
- Censeur ! Censeur ! Attends...

Il rejoint le Censeur. A cause de la foule en mouvement, la voix du sénateur n'est audible que par ceux qui sont proches d'eux.
- Censeur, cette loi... Il faut qu'elle soit un amendement. Un amendement de la loi sur la "Citoyenneté romaine, droits et devoirs des citoyens" de 330. Si des nouvelles lois viennent à s'ajouter au Codex, alors qu'elles peuvent être insérés dans d'autres, mon travail ne sert à rien....

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SERGIUS AHENOBARBUS Appius
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Posté le : Mar 14 Jui 2011    

/Le sénateur laisse la foule vider la place. Discutant avec l'un ou l'autre citoyen qui désirait s'entretenir avec lui. Il savait que son beau-père, Petrus Semperclarus, n'aime guère marcher parmi la foule, donc autant laisser cette dernière devenir moins dense avant d'accompagner le vieux sénateur.

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VANSTENUS Julius
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Citer : CAIUS AETIUS Mamercus
Il cherche le Censeur parmi la foule... Lorsqu'il le trouve enfin, il se glisse parmi la foule en mouvement.
- Censeur ! Censeur ! Attends...

Il rejoint le Censeur. A cause de la foule en mouvement, la voix du sénateur n'est audible que par ceux qui sont proches d'eux.
- Censeur, cette loi... Il faut qu'elle soit un amendement. Un amendement de la loi sur la "Citoyenneté romaine, droits et devoirs des citoyens" de 330. Si des nouvelles lois viennent à s'ajouter au Codex, alors qu'elles peuvent être insérés dans d'autres, mon travail ne sert à rien....



Oui, oui. Cela peut s'envisager en effet comme un amendement à la loi existante. D'ailleurs, un des sénateurs, Aquilius, si je me souviens bien, en a fait la proposition.
Voyons si le Tribun Crassinus en reparle au Sénat.

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J. Vanstenus Sanctus
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SERGIUS AHENOBARBUS Appius
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Posté le : Jeu 16 Jui 2011    

/Appius Sergius était près des rostres en train d'observer les foules se diviser en quatre groupe. L'un allant vers le Campus Martius, un autre groupe plus petit se dirigeant vers la curie, un autre se dirigeant vers les quartiers de la Subura, et encore un autre qui restait près des rostes. C'est à ce moment là que surgit son intendant, à bout de souffle.

Dominus, on m'a apporté ceci pour toi.

/L'intendant sorti un petit message de son sac et la tendit à Appius Sergius qui la lit avant de devenir aussi rouge que la pourpre des magistrats romains.

L'espèce de fils de Grec !!!

/Il fit une boule avec le message et l'envoya en plein visage de l'intendant.

Que dois je en faire, dominus ? Je l'archive ?

/Lui tournant le dos.

Torches toi le cul avec si cela te chante mais fais moi disparaitre ça !

/L'intendant disparu avec le document et Appius Sergius reprit l'observation des mouvements de foules.

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