Traité sur les dieux
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Chapitre premier : De la nature des Dieux
Dans ce premier chapitre le consulaire reprend les différentes théogonies afin d'analyser la naissance et la nature des Dieu. Il énonce le fait que le monde ne saurait exister sans la présence divine. En effet chaque geste des hommes, chaque souffle du vent, chaque vague est conditionnée par la volonté divine. Sans vent comment les oiseau pourraient ils voler, sans les dieux, les hommes n'auraient même pas de volonté. Ce sont les dieux qui ont façonnés le monde, les dieux qui ont façonnés les hommes et ce sont eux qui, grâce à leur puissance et leur volonté permettent que le subtile équilibre qu'ils ont crées ne s'effondre pas. Les hommes doivent donc tout aux dieux, la seule volonté divine suffirait à faire sombrer la terre dans le chaos originel dont ils l'ont tiré. A ce titre les hommes doivent chaque jour louer et honorer les dieux afin de les remercier pour leur infinie bonté. Les hommes doivent respecter les dieux non pour obtenir des bienfaits, mais pour les remercier de leur bienveillance. De plus la sagesse des dieux est infinie, leurs volontés insondable, il est donc illusoire de vouloir percer les volonté des dieux et de tenter de les égaler.
Second chapitre: De la supériorité des Dieux romains.
Dans cette seconde partie le consulaire démontre que les dieux du panthéon romain sont supérieurs à tous les autres. Il compare les dieux romains, qu'il considère comme les seuls véritables dieux aux dieux étrangers afin de montrer leur supériorité. Tout d'abord aux dieux grecs qui pourraient sembler bien proche des dieux romain. Il met en avant qu'il n'en est rien: ces dieux ont laissés leur peuple s'amollir si bien qu'il n'y a pas à proprement parler de nation grecque juste des cités, des factions qui s'opposent. Quels dieux laisseraient ceux qui les honorent dans un tel état de mollesse. Si des dieux se désintéressent ainsi de leur peuple, ils ne peuvent être supérieurs aux dieux romains qui ont toujours su motiver les mortels et les ramener dans le droit chemin si jamais il s'en écartaient. Puis il aborde ensuite le cas des dieux gaulois, dieux barbares par excellence, qui, dit-on, réclament des sacrifices humains. Ces dieux barbares laissent leur peuple à l'état de bêtes sauvages incapables de s'unir. Comment des dieux bienveillants pourraient laisser les hommes vivre d'une façon si rustre. Le consulaire parle ensuite des dieux Égyptiens, dieux mi hommes mi animaux. Ces dieux Égyptiens, créatures hybrides, ne pourraient être comparées aux divinités romaines, parfaites, les animaux étant par essence des créatures inférieures. Il en conclu que les dieux romains, de par leur bienveillance envers Rome, les bienfaits qu'ils prodiguent sont supérieurs a tous les autres et doivent être honorés comme tels.
Troisième chapitre: De la bonne façon d'honorer les Dieux.
Dans cette ultime partie le consulaire entreprend de déterminer quelle est la meilleure façon pour les romain d'honorer les dieux. Il expose le fait qu'il faut prier les dieux avant tout pour leur rendre gloire, honorer leur toute puissance. Cela doit être la base de toute prière, trop souvent les prières sont des moyens pour les mortels de demander des bienfaits aux dieux. Pour lui cela ne doit être placé qu'au second plan, après les honneurs rendus aux dieux. De plus si quelque chose est demandé aux dieux, il faut savoir s'en montrer digne, il ne sert à rien de prier les dieux en réclamant et ensuite être passif, il faut au contraire montrer aux dieu que l'on est digne , de par son attitude , de par sa piété, à recevoir un bienfait. De plus il met l'accent sur le fait que les augures doivent être prises avec parcimonie afin de ne pas courroucer les dieux: les mortels ne doivent y recourir qu'en des cas précis. De plus il aborde dans cette partie le fait que c'est par une attitude quotidienne que l'on peu également honorer les dieux, en respectant les loi et les traditions les plus élémentaire. La vie publique constitue une façon d'honorer les dieu, mais celle-ci doit être irréprochable. Les dieux réprouvent les les luttes de clan stériles. La concorde civique,est pour lui un bon moyen d'honorer les dieux. Les dieux ont donnés à Rome le meilleur système politique qui soit, il est du devoir de tous les romains que de le respecter et lui faire honneur.
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