Journal

Un article de RomeWiki.

Sommaire

Le Romain déchainé

Journal de Rome, paraissant toutes les Calendes, sauf celle des Grecs

Préambule

Salve, chers lecteurs. Ici Scribonius Drusus, seul journaliste indépendant de Rome, qui vous présente votre nouvel organe d'information. Ce journal est une tribune libre totalement sous mon contrôle. Toute modification abusive (cad qui me plait pas) entrainera la pose de graffitis sur votre Domus. A part ça, libre à vous d'y ajouter votre propre contribution dans la rubrique concernée, ou de me contacter en "discussion" pour créer une nouvelle rubrique. Et si vous êtes timides, envoyez moi votre contribution à cette adresse: fauad_brami@yahoo.fr

Éditorial

Annonce ici le sujet d'éditorial de ton choix, j'ai un coup de barre inspirationnel, en ce moment.

Actualité

Actualités

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Articles

Bientôt, ici même, une grande enquête sur la dure condition de jeune Sénateur.


L'Hellenisme à Rome

Il est encore tres dur pour un sénateur d'analyser le rôle réel d'un novice a Rome. Chacun d'entre nous a surement voulu effacer ce passage de notre mémoire autant traumatisant moralment que physiquement.

Il est convenu que l'hellenisation de la société romaine est une réalité qui s'exprime au plus au point dans les couloirs du Senat.

Je me rappelle encore mon premier jour a la curie, tout les anciens senateurs etaient ensembles et riés a ma premiere intervention aussi inninterressante que décroché de la réalité de notre société. La frustartion et la timidité m'assaillit, je senti ce jour la que mon integration serait difficile. Je remarquais cependant que derrière cette façade cynique il nous jugeait autant moralement que physiquement. Souvent se portait sur moi des regards concupissant et des messes basses se faisaient a mon passage. Il etait evidant que des anciens m'avaient remarqué pour mes qualités politiques ou tout du moins pour mon physique de jeune homme. Un jour a mon grand bonheur, je ne savais pas encore ce qu'il m'attendait un ancien consulaire, dont je tairais le nom (V......s) me contacta me promettant une mission, et me proposa d'en discuter dans son bureau. Trop heureux de cette oportunité je su l'en remercié. Je du aussi monter mais connaissance a nombre de senateur. La pénétaration de la culture grecque au Sénat ne fut jamais aussi marquante pour moi que ce jour là. Certain le refusairent et preferent l'exil et le sucide, ils furent tres peu nombreux... d'autres prirent plaisir à monter leur incompetence pour refaire chaque jour leurs preuves. Ce qui est sur après quelques année de noviciat et une longue periode a Carthage, j'attend avec impatience mon retour au sénat pour affiché ma barbe et initié de nombreux jeunes sénateurs a la politique du Sénat.

Silanus Kaeso (sénateur depuis 319)

Interview

Aujourd'hui, interview du Sénateur Gaius Lucius sur le thèmes des jeunes Sénateurs. Tous les Sénateurs ont-ils été jeune un jour? Apparamment, c'est loin d'être sûr...


SCRIBONIUS : Salve, Sénateur Gaius. Tout d'abord, merci beaucoup d'accepter de nous recevoire. Comme vous le savez, vous allez être interviewé dans le cadre de notre enquête sur la dure condition de jeune Sénateur au Sénat. Pour commencer, pouvez vous nous dire quand vous êtes arrivés au Sénat?


GAIUS : Salve, Citoyen Scribonius. Je suis arrivé au sénat au milieu de l'automne de l'année 330, je ne suis donc pas parmis les plus jeunes sénateurs de la Curie.


SCRIBONIUS : /reprenant ses fiches, bruit de marbre qui s'entrechoquent/

Ah oui, tout de même... Hum... Pas grave, vous devez bien avoir quelques souvenirs de cette période, n'est-ce pas? Pouvez vous nous décrire rapidement votre arrivée au Sénat? Vos impressions quand vous êtes pour la première fois rentré dans ce bâtiment, quand vous avez commencé à croiser tous ces Sénateurs célèbres, qui fut le premier à vous adresser la parole, etc?


GAIUS : A vrai dire je n'ai pas une très bonne mémoire. vous avez une autre question ?


SCRIBONIUS : /regard furibard/

Vous ne vous souvenez même plus de votre arrivée au Sénat, de la première fois que vous avez pris la parole, du premier Sénateur qui vous a répondu?? Rassurez moi, vous avez déjà été au Sénat?


GAIUS : A vrai dire, il me semble que ce fut le sénateur Atreus qui le premier me salua, puis le consul Dobrasus peut-être. Je me souviens que j'ai croisé Marcus Carmanovius peu de temps avant son départ... son dernier départ.


SCRIBONIUS : /faisant la moue, l'air déçu/

Quelle palpitante entrée en matière, n'est-ce pas... Bon... Et en terme d'impression, de ressenti? Vous êtes vous senti tout de suite à l'aise au Sénat? On parle beaucoup de cette espèce d'ignorance dont sont victimes les jeunes Sénateurs... En avez vous été vous même victime? ?

GAIUS : oui mais j'ai heureusement été aidé par d'autre sénateurs, et avec d'autre jeunes arrivants nous nous sommes serré les coudes. Une lecture attentive des archives récentes du sénat et du codex m'a permis d'acquérir rapidement les connaissances de base nécéssaire pour débattre à la curie sans avoir trop l'air bête. Ainsi, j'ai pu voté en mon âme et conscience aux élections de cette même année, sans fonder mes votes sur des premières impressions.


SCRIBONIUS : /Visiblement atterré par son interviewé et pressé d'en voir la fin/

Bon, eh bien, merci mille fois, Sénateur Gaius... Pour finir, si vous aviez un conseil à donner à un jeune Sénateur qui arriverait à la Curie, quel serait-il?


GAIUS : De clore son organe buccal suffisement de temps dans l'intention de ne pas commettre d'erreur lors des élections.

Débat

Premier débat: Répartition des terres Illyriennes: spoliation ou rétribution?

Nous attendons ici vos contributions.


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Scandale à la curie ?

Il est difficile de réponde a cette question soulevé par la répartion faite par la consulaire Poussinus suite à la conquète de l'illyrie. Pour ma part je pense que cette répartition est des plus problématique. Effectivement nous somme face a un problème de corruption, mais le clientélisme n'est il pas légal a Rome, nous somme face aussi à un probleme de spoliation des vétérans, mais cela ne regarde que le général et ses hommes. Le seul véritable problème vient de la non répartition d'une part de ces terres dans l'ager, oublie d'autant plus problématique que l'initiateur de ce partage est un populares reconnu de rome. un tel oublie est une grave erreur politique des plus inacceptables, car il spolie l'idée même de la République. Comment les citoyens pourrons accepter de ce battre pour la rèpublique si le senat et ses généraux ne reconnaissent pas la notion de bien commun au travers de l'ager. Notion d'autant plus urgente qu'aujourd'hui l'ager se retrouve des plus insuffisant face aux demandes. il est vrai que 350 000 ares ont été mise a la disposition des futurs colons pour cette zone. Action des plus louable mais qui cache derriere une volonté légitime, mais contestable, de faire de cette province une province attractive et riche. Poussinus a très a coeur la constitution de la province Illyrienne, province auquel il s'est attaché affectivement, jusqu'a avoir le désir secret d'en faire son fief en y démontrant ses compétences de gestionnaire tout en faisant de celle ci une véritable base arrière de sa politique future.

Malheuresemnt ce scandale a éclaboussé une carrière "sans tache", sa popularité risque d'en subir les conséquences ainsi que sa candidature au gouvernorat de cette même province (je lui souhaite d'etre elu a ce poste).

Silanus Kaeso.


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Scandale en paquet, pour un Sénat prompt à manier le spectre de la peur de l'autre en des temps cycliques et redondants. Il est difficile en effet de se prononcer, quand le consulaire POussinus travaille a ramener des colons travailler leur terre en Illyrie, quand les plus riches des patriciens offusqués de ce partage en louent autant tous les ans, quand les plus populaires d'entre eux en ont gagné plus dans leurs précédentes campagnes. Il y a une proportion a la malhionneteté et l'hypocrisie donc, quand en réaction, les gentils patriciens anti pop, anti populares jouent aux parfais démagogues en lancant des appels aux votes, de la part de miséreux de la classe V, qui ne savent pas ce qu'est un bulletin de vote. Une campagne savamment organisée contre des gêneurs; inavoués ou non, dont je porte le nom aujourd'hui. Avez vous deviné qui je suis au regard de ces mots? Surement, je ne ment pas au peuple, moi, et je ne lui dit pas ce qu'il souhaite entendre, mais la réalité. Mes dons n'engagent aucun autre don, et je n'ai jamais eu de clients. Cette répartition caractérise donc une opposition larvée interne au Sénat, incapable de dépasser ses contradictions, et sa manière de parler à la plèbe. 350 000 ares, c'est dérisoire, et réservé en priorité à ces vétérans que la désinformation a présenté comme spoliés. Il n'y a pas de spoliation, ni de corruption. Le consulaire Valerius même ne trouve rien à redire a des proportions d'un partage que les plus grands imperatores ne décrivait pas au Sénat.

Romanus Dobrasus


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Les Tribuns sont clairs et suivent la majorité du Sénat. Le Consulaire Poussinus semble s'enfoncer dans des non-arguements et perd encore des soutiens. Les Tribuns semblent porter un coup fatal. Les vétérans ne bronchent pas, alors que le Consulaire aurait besoin d'eux puisqu'il répète que ses hommes comprendront. Mais quoi comprendre à ce partage honteux et indigne d'un Consulaire ? Il s'entête dans son erreur, que tout le monde lui montre, mais il est le seul, ou presque, puisqu'évidemment ceux qui ont reçus des terres ne critiquent pas, a encore croire à sa version des faits !



Second débat: Le Triumvirat : Héros ou Dictateur ?'

Pour plus d'informations, voir : Années 250 à 255 AUC


Introduction :

Le plus grand danger qu’ai connu Rome, avant le débarquement de 75.000 Grecs en Italie durant la guerre de 320, avait été la double attaque (mal) coordonnée des Etrusques et des Napolitains, alors maîtres de la Campanie, pendant la guerre de 250. Alors que Rome semblait au fond du gouffre, trois hommes, ACTAE Marcus Lucius, ANDRONICUS Titus et CLAUDIUS Eusèbe, décident d’unir leurs forces dans le but annoncé de sauver la République. Comptant sur le soutien de l’armée, ils prennent le pouvoir de force, et mènent dès lors la politique de Rome. Mais la résistance opiniâtre des « légalistes’ , avec à leur tête Manius Ecritus Stilo, mettra fin à leur expérience originale et sans précédent. La fin trouble du Triumvirat et des Triumvirs, l’importance historique des protagonistes divers et les intérêts clientélistes qui en découlent ont depuis empêché toute analyse non partisane de ce qui fut sans conteste l’événement le plus important du III° siècle à Rome. Nous tenterons de combler ce manque par une analyse impartiale de la Crise, suivant l’approche suivante. La Crise de 250, ou l’apogée d’une schizophrénie bien Romaine. Pour ce faire, nous aborderons d’abord le problème de la situation très particulière que traverse Rome à cette époque. Ensuite, nous présenterons les deux politiques qu’adoptera la République, et nous nous attacherons enfin aux résultats de la Crise, maintenant bien connus.


I- La situation de Rome

A) Extérieure

En 250, Rome n’a jamais été en plus grand danger. 250, c’est l’année ou les armées Grecques campent sous les murs de l’Urbs, après avoir lentement conquis tout le Sud du Latium, profitant de la faiblesse numérique et de la désorganisation des Légions leur faisant face. Rome est vaincue.

Cependant, 250, c’est aussi l’année de la victoire finale en Etrurie, ou les troupes de Tarquin subissent défaites sur défaites, prises entre deux fronts. Au Sud, les forces Etrusques ne se sont jamais remises de la défaite de Castrum Novum. Désorganisées, artificiellement renforcées par des levées impopulaires, elles reprennent Tarquini (Victoriae), mais doivent maintenant faire face à une invasion Gauloise au Nord qui les oblige à diviser leurs forces. Les Légions repartent à l’attaque, reprennent Victoriae, assiègent Saturniae, la capitale. L’Etrusque est vaincu.

B) Intérieure

Mais dans l’Urbs, on ne chante pas ces victoires. En 250, le Censeur est Ecritus, les Consuls sont Actae et Andronicus. Après l’échec de la Dictature du vieux Karlus Marximus de 248, la fonction est discréditée et inutilisable. Face à l’avancée inexorable des hoplites Napolitains dans les plaines du Latium, la panique gagne toutes les couches de la population, et l’affolement règne en maître au Sénat. Devant la toute puissance Napolitaine, certaines voies du Sénat vont jusqu’à proposer la capitulation. Rapidement écartées, elles sont néanmoins symptomatiques de l’état de stress atteint par les élites Romaines. La principale agitation vient du Tribunat de la Plèbe, alors occupé par un Patricien. Talarius, Sénateur sulfureux, brillant et séduisant, mais sur lequel pèsent de lourds soupçons, est élu Tribun par le Sénat. Claudius Eusèbe y oppose son Veto Tribunitien avant de partir sur le front Etrusque superviser la prise de Saturniae. Ce faisant, il déclenche l’explosion de la crise, aggravée par l’avancée Napolitaine. Au Sénat, les Consuls soutiennent Claudius, tandis que le Censeur et une large majorité Sénatoriale prennent le parti de Talarius.

Manipulée par des démagogues, oiseaux de mauvais augure, la foule ne cesse de s’agiter. On vandalise la demeure du Censeur Ecritus. On se bat chaque jour dans les rues de Rome entre bandes rivales à propos de l’élection Tribunitienne, et ces bagarres se transforment bien vite en émeutes générales. Les rumeurs les plus folles circulent à propos de puits empoisonnés, de traîtres à la solde des Napolitains… On lynche des pérégrins dans l’indifférence générale. Les Vigiles sont totalement dépassés, incapable de maîtriser la situation, et la famine menace la Citée qui vit en état de siège.


II- Deux politiques

A) Les « caractériels »

Face au désordre qui règne en maître, les trois futurs Triumvirs mettent rapidement au point leur action. Leur vision des choses, connue par leurs discours de l’époque à la Curie et par la défense d’Andronicus à son retour de Naples, est simple : l’Ordre. Rome leur apparaît en proie au chaos, incapable de faire face à la menace qui pèse sur elle. Actae, prenant le contrôle de la Légion de défense qui campe dans les faubourgs, investit nuitamment la ville aux premiers jours de l’hiver 250. Ayant le contrôle effectif de la Citée, il déclare le lendemain la constitution d’un gouvernement provisoire tant que pèsera sur Rome la menace Napolitaine. Il fait de Talarius un bouc émissaire et le place en résidence (très) surveillée. Andronicus, de son côté, prend le commandement de toutes les troupes du Latium et les rassemble pour faire face aux armées Grecques. Claudius, enfin, a pris Saturniae et a stoppé pacifiquement l’avancée Gauloise. Il ramène à marche forcée la tête de Tarquin et une Légion pour soutenir le pouvoir tout récent du Triumvirat et les troupes d’Andronicus.

Il ressort de toutes ces mesures une énergie sans commune mesure avec celle déployée les années précédentes par le Sénat. Rome est enfin clairement dirigée, l’évolution de la situation s’accélère pour quelques mois, et va dans le sens d’un redressement. Cependant, les conditions du retour à une situation politique normale sont confuses, et les Triumvirs supportent mal les forces d’oppositions, réagissant avec une violence toujours contenue mais tout de même oppressante aux velléités d’autonomie de leurs opposants. On se doute d’ailleurs que si le soutien du peuple de Rome, attaché aux symboles de la République, n’avait pas été aussi important pour eux, ils n’auraient sans doute pas fait preuve de tant de mansuétude.


B) Les « légalistes »

Face au coup d’état d’Actae, c’est tout d’abord la stupeur. Mais rapidement les Sénateurs, manifestent leur désapprobation. L’influence d’Actae et le prestige de la gens Claudius donnent des appuis dans la Curie aux Triumvirs, mais la majorité du Sénat est opposée à cette perte du pouvoir. Ils se regroupent tout d’abord sous la bannière du Censeur Ecritus. Dans la lignée de son soutien à Talarius, qu’il a finalement imposé au Tribunat de la Plèbe en faisant déclarer illégal le veto de Claudius, il refuse de voire le double sacrilège du Triumvirat : Ils ont fait rentrer des hommes en armes dans le Pomerium pour prendre le pouvoir, et ils ont porté la main sur un Magistrat en plaçant de force Talarius en résidence surveillée. Ecritus fait donc déclarer le Triumvirat illégal. Extrêmement populaire, le Censeur n’est pas assassinable. Il est donc placé en résidence surveillée, comme Talarius. S’organise alors une double opposition. Ecritus en est la bannière, tandis qu’au Sénat c’est la jeune génération qui prend le relais, dirigé par Cornelius Scipio Publius. Leur opposition reste cependant assez vaine. La Loi est pour eux, mais pas la force, et le poids de leurs arguments ne suffit pas à faire bouger une Plèbe soulagée par la victoire contre les Napolitains. Et c’est encore Ecritus qui s’illustre. Malgré son emprisonnement, il réussit à persuader le Pontife de déclarer le Triumvirat impie. Profitant de la confusion ainsi crée dans les esprits Romains, il retourne ses gardes et profite de l’éloignement des Légions occupées à reprendre Ostie puis à poursuivre les Campaniens jusqu’à Naples pour reprendre le contrôle de l’Urbs. C’est la fin du Triumvirat. Soutenus par la tradition, les « légalistes » reprennent le contrôle de la situation.


III- Quels résultats ?

A) Rome sauvée

L’action du Triumvirat aura, c’est indéniable, eu le mérite d’accélérer grandement le mécanisme des décisions de Rome. Cette accélération permet de répondre à la crise militaire par le placement sous le commandement unique d’Andronicus, qu’on appellera bientôt Imperator, des Légions de la République. Exceptées celles qui restent en Etrurie maintenir l’ordre dans la nouvelle province et tenir en respect les Gaulois au nord, sous le commandement de Cnaeus Defontis Crassius. Les forces ainsi rassemblées remportent dans la plaine du Latium une grande victoire sur l’envahisseur Napolitains. Puis c’est la reconquête d’Ostie, et enfin la poursuite contre les armées napolitaines débandées. Finalement, Andronicus ne s’arrêtera que sous les murs de Naples, après avoir conquis toute la Campanie. Imprenable sans un blocus maritime, la Citée conservera son indépendance. Par ailleurs, les mesures énergiques des Triumvirs à Rome et dans les provinces permettent de répondre à la famine qui menaçait fortement la ville, leur assurant un surcroît de soutien populaire au passage. Enfin, les institutions Républicaines sont sauvées par le retour au pouvoir du Censeur et la reprise d’un fonctionnement normal de la République.


B) Rome perdue

Malgré tout, cet épisode laisse de cruelles marques dans une Rome encore jeune. La fin inexpliquée de deux des trois Triumvirs, Claudius étant « sucidé » et Actae très franchement assassiné sans que justice soit jamais faîte à ce sujet, la facilité avec laquelle le pouvoir a pu être pris par un homme charismatique avec une seule Légion, le souvenir cuisant du danger qu’on fait peser sur Rome les Napolitains, tout cela se mèle dans l’inconscient collectif Romain après la guerre, et fourni matière à de nombreux abus et à d’innombrables frustrations. En montrant qu’il était possible de résoudre bien des problèmes sans le Sénat, les Triumvirs ont ouverts une boîte de Pandore qui ne se refermera jamais, et leur action a modifié en profondeur la République Romaine, qui aujourd’hui n’a plus grand chose à voire avec la naïve innocence de ses débuts.


Conclusion :


Les Triumvirs se voyaient comme sans conteste comme des Héros dignes d’Hector, d’Énée et de Romulus, mais pour leurs détracteurs, ils étaient aussi nuisibles que des Rois car profitant de la situation pour s’arroger tout le pouvoir sans aucun contrôle. Mais ils n’étaient que des humains qui ont apporté aux problèmes de leurs temps les réponses qu’ils pensaient adaptées. Ce faisant, ils illustrèrent jusqu’à l’absurde la schizophrénie d’une Rome attendant une gestion forte et efficace de ses dirigeants mais viscéralement attachée à ses institutions qui entravent la marge de manœuvre de ces derniers. À ce titre, la Crise de 250 fourni donc un passionnant matériel de réflexion politique, et chaque Sénateur devrait s’attacher à étudier avec attention cet épisode-clé de la vie politique Romaine.

Cependant, par les plaies béantes qu’elle a laissé dans le cœur des Romains et plus particulièrement du Sénat, cette Crise, loin de résoudre toutes les questions, n’a fait qu’empirer un symptôme déjà grave. Rapellons que l'exil d'Andronicus dans les années 20 fut obtenu de haute lutte par Ecritus... Deux descendants des protagonistes de l'époque se déchiraient encore, et le destin de leurs aïeux étaient dans leurs mémoires. Si l'on précise maintenant qu'Andronicus, durant cet exil, est devenu "Traditor", traître à sa patrie, en prenant le commandement d'une force de mercenaires qu'il a fait marcher sur Massalia et Rome, on mesure combien cet épisode douloureux d'une vieille guerre gangrène encore Rome. Gageons donc que tant que cette question n’aura pas été résolue dans un sens ou dans l’autre par la voie légale ou par un changement de mentalité des Sénateurs, Rome se montrera incapable de se forger un destin à la hauteur de ses ambitions.

Portrait

Labienus Titus

Le petit Labienus Titus est né à Rome en 279, dans la famille alors peu illustre des Labienus, comme son nom l'indique fort bien.

Après une enfance heureuse et très discrète qui le verra faire le fripon chez maman Labienus d'abord, chez la regrettée grosse Lulu ensuite, il entre au Sénat en 314, à l'âge respectable de 35 ans.

Profitant de ce grand âge qui lui donne un avantage manifeste sur les jeunes Sénateurs entrés en même temps que lui, il postule et est élu à la Questure dès 315, moins d'un an après son arrivée à la Curie. Montrant un bel esprit d'abnégation, il décide d'abandonner sa magistrature dès l'année suivante pour briguer l'édilité, tâche au combien plus attrayante. Vu le nombre de candidat, il ne manque évidemment pas d'être élu pour 316. Décidant de faire taire les mauvaises langues qui pourraient l'accuser de pure et vil opportunisme, d'être un simple ambitieux désireux de compléter son Cursus Honorum, il abandonne dès que possible, c'est à dire dès la fin de son mandat, l'Édilité pour -enfin- revétir l'Imperium Prétorien, ce qui est mieux que rien.

Fait incroyable, il semble alors se découvrir une vocation pour la Préture, puisqu'il y restera trois années, de 317 à 320, alors qu'il aurait pu briguer le Consulat dès 319. Les mauvaises langues prétendirent alors qu'évidemment, face à des Sénateurs comme Tullius Imperator ou Valerius, il avait moins de chances de passer... Ce à quoi Labienus peut fort habilement répondre qu'après tout, Harpax a bien réussi à être élu Consul en 319, à une époque où son nom n'était pas encore couvert d'infamie, mais c'était en cours.

Ayant généreusement secondé Harpax qui menait sa petite révolution à Rome en 320 (bien que l'intéressé démente depuis: s'il était si proche de lui, c'était pour contrecarrer ses vils projets), Labienus se présente au Consulat en 321, et est élu en même temps que Tullius Imperator, qu'il secondera fidèlement en assurant la maintenance de ce qui reste de la République à Rome tandis que son illustre collègue part en vadrouille sur tout le territoire pour essayer de sauver quelques ares de la patrie des vils Grecs puis des vils Gaulois et enfin des vils Etrusques, qui décidémment se sont passé le mot.

Faisant toujours preuve d'opportunisme, il rejoint en 321 le tout jeune parti Ordes et Prosperitas, devenu depuis le POP de sinistre réputation. Le but étant bien évidemment de s'assurer le vote de la petite dizaine de jeunes Sénateurs inexpérimentés qui le composent. Manoeuvre habile qui lui permit de se maintenir au Consulat trois années durant, jusqu'en 323.

Son Cursus Honorum brillament achevé, il ne lui reste plus qu'à prendre une paisible retraite en profitant de la gloire qui lui est maintenant dûe. Et en effet, Labienus se retire peu à peu du Sénat, du moins n'y intervient-il plus autant qu'à l'accoutumée. Mais tapis dans l'ombre, il veille, attendant son heure.

Heure qui viendra avec la nouvelle crise qui secoue la République à partir de 325. Reprenant le flambeau d'un idéal connu de lui-seul, il réussit le tour de force de se faire élire Dictateur dans l'indifférence générale, Dictature oubliée par tous depuis, d'ailleurs, comme la majorité des magistratures de Labienus.

Après ce demi-échec, il décide quand même qu'il n'est pas revenu au Sénat pour rien, et, profitant là encore de l'absence de candidats, il se fait élire de nouveau au Consulat, de 327 à 329. Il aurait bien continué plus longtemps à occuper ce poste à sa manière discrète, mais la Loi empêche hélas de se faire élire plus de trois fois de suite à la même magistrature. Son grand dada, dans cette seconde période, fut d'essayer de mettre en place une alliance avec les Grecs du Sud contre Carthage, suivant un raisonnement assez tordu et compris de lui-seul, et malgré l'avis contraire de la totalité du Sénat, partisan au contraire d'une alliance avec Carthage contre les Grecs du Sud, ce qui fut d'ailleurs réalisé sitôt notre homme éjecté du pouvoir. Ce fut bien la seule fois où Labienus se fit remarquer à la Curie.

Depuis ce demi-échec, notre homme hante encore de manière sporadique les couloirs du pouvoir Romain, mais il a perdu toute influence au POP, et le grand nombre de Consulaire l'empèche de se faire de nouveau élire à la plus haute magistrature, la concurrence étant trop vive, comme le prouvèrent les élections suffectes de 333.

A noter tout de même la grande largesse de vue de Labienus, ainsi que sa fidélité en amitié. Il aura compté parmi ses amis proches Tullius Imperator, Olecranus (Populares), Ovatorius (Optimate), Andronicus (Optimate) et L.S.Carmanovius (mou). Tout au long de sa carrière politique, il leur mena de très fréquentes visites, au point, dit-on, de vider leurs cave, visites qu'ils lui rendirent nettement moins bien.

Sport

Equirria

Compte rendu

Le départ a été donné par le Flamine de Mars, après de grandes et belles festivité. L'atmosphère était à la fête, et Sénateurs et Equites rivalisaient de luxe et de majesté pour l'occasion.

Soutenu par les Dieux comme son maître le Consul Flaminius, Baebius Titus a pris immédiatemment la tête de la course. Il semble ne fair qu'un avec son superbe cheval, et il vole littéralement sur la piste. Il est la seule tête qui émerge du nuage de poussière de la course. On distingue à peine derrière lui Tigus Kaeso et Iletus Symetrius se livrer un épique duel pour avoir l'honneur de contempler son arrière train. Kaeso est repris par le peloton, et c'est Ebebus Octavius qui vient disputer la seconde place à l'inamovible Iletus! Baebius est toujours devant. Mais soudain, surgissant par l'exterieur à l'approche du dernier virage, voilà qu'apparait Jecus Tiberius!! Incroyable! Alors qu'il était bloqué par le peloton, il aréussi in extremis à s'en extirper, et il a dépassé par l'extérieur Baebius au milieu du dernier virage!!! Mais attendez, il semble que ce dernier n'abandonne pas, loin de là. Il profite de l'épuisement du cheval de Jecus pour le reprendre. Les deux bêtes magnifique et leurs cavaliers sont au coude à coude! Qui l'emportera?! Ils fournissent tout deux leur effort, prenant plusieurs longueurs d'avance sur leurs concurrent le plus direct, Iletus!!! Cette dernière ligne droite est vraiment passionnante, mais les Dieux devront faire leur choix!! Baebius semble avoir pris un mince avantage!! Oui, on le voit qui dépasse lentement mais surement Jecus!! Il prend l'avantage, il prend l'avant... IL A GAGNE!!!!!!

C'est bien lui le vainqueur final! Il porte les couleurs de l'Aventin, tout comme moi!! Quelle liesse, mes amis, quelle liesse dans les tribunes, ou le Consul Flaminius est porté en triomphe!! Et quel contraste avec les "cousins" Dobrasus et Poussinus, qui font grise mine devant les très médiocre performance de leurs montures qui finissent respectivement à la 10° et à la 12° position... Mais peut-être vont il maintenant porter plainte pour irrégularité, ou se fendre d'un grand discour aux chevaux afin de leur demander des explications!! Pour l'anecdote, le dernier est Nesebus, cavalier pour Mobius Tiberius et le Viminal... Entre nous, ma femme vient de se quartier, et quand je goute à sa cuisine, je ne peux pas être étonné par le résultat.

POSITION FINALE

1. BAEBIUS Titus (FLAMINIUS Gaius) Aventin

2. JECUS Tiberius (ECIREUS Achilleus) Vélabre

3. ILETUS Symetrius (BEDIUS Quintus) Capitole

4. IGECIBUS Laurentius (ECILEUS Methodius) Caelius

5. OTOHIUS Urbanus (ENOFEUS Claudius) Porte Capène

6. HIGICUS Gaius (OPPIUS Rupitus) Murcia

7. TIGUS Kaeso (IULIUS Emilius) Trastevère

8. EBEBUS Octavius (DARUS Benitus) Palatin

9. CEPUS Emilius (OPICIUS Silvanus) Esquilin

10. TOMCRUS Caius (DOBRASUS Romanus) Subure

11. ITEUS Gnaeus (JEMIUS Manius) Cispius

12. SALVIUS Lucius (POUSSINUS et anonyme) Argilete

13. IMIGOGUS Sebastianus (RUFFINUS Caius) Emporium

14. NESEBUS Fabianus (MOBIUS Tiberius) Viminal

Elections

[Ici la page historique sur les élections de 333[1]]


Comme prévu, le vote du Sénat a fait valider la plupart des candidats, homris Questus et Draco pour la Questure, qui passent à la trappe. On note tout de même que Dobrasus est en bonne voie pour devenir le Consul le moins bien élu de l'histoire de la République. Comme ça, il laissera quand même son nom dans l'histoire.

Cependant, alors que le scandale du butin d'Illyrie bat son plein, on peut se demander si les Comices, voire les Augures, valideront facilement les candidats POP, et notamment le Consul Dobrasus, qui se présente à sa propre réelection. Gageons que les campagnes battront leur plein sous peu pour tenter de faire pencher la balance d'un côté comme de l'autre.


Comme quoi, le peuple touchera finallement une part du butin d'Illyrie ^_^

Culture

Hé mec

Je me présente

Je m'appelle Olecranus T.

J'habite à Ostie

Dans un quartier mal paumé

Je suis simple orphelin

Dans une domus bien fréquentée

C'est la croix, la bannière

Pour me sustenter.

Pas un samaritain du coin

Ni un bon marché.


Rome ,Narnia,Ostie, tel est notre guetto !


Hé mec, mon nom à moi

C'est Carmanovius,

Karmhanovius ou

bien Sa-bi-nus

A 5 ans et guère plus

J'avais déjà ma Domus

J'pouvais pas habiter dedans

Fallait remplir la cave avant!


As-tu saisi mon pote

Notre envie de révolte?

J'ai envie de crier

"Zutus, flûtus, crottus, chierus..."


Rome ,Narnia, Ostie, c'est pas du gateau

Rome ,Narnia,Ostie, tel est notre guetto !


Avé , tu - vas - bien ?

Salve, tu - vas - bien ?


Y en a marre du pinard ,

Des gaulois , des Tarquins , des taulards


Salut, c'est Patrick,

A l'appareil

Ouais, c'est Pat',

Tu vas bien?

Et moi? Et moi?

Tu ne sais pas quelle est ma vie?

A côtoyer Vulcain , Saturne

Ou bien MJ Mercure

A faire l'arbitre

A des joueurs mal lunés

Enfin, j'ai voulu dire

A des sénateurs inexpérimentés...


Je veux être un voyou,

Vrai de vrai hors la loi.

Mais quand t'es né ici Pater ,

Tu n as pas vraiment le choix

Y en a marre des Lucia, des Julia

des Unia , Olivia, Leona,

Valeria-Catalia...


Y en a marre, Patres ,

On a de gros problèmes.

Y en a marre, Patres ,

De subir le système.


Mon avenir à moi est déja tout tracé :

ASLR, Sénat, Consul ou Légat

Et dans le pire des cas

Si je ne travaille pas,

Faudra que je reprenne

Le cursus de papa.


Rome ,Narnia, Ostie, c'est pas du gateau

Rome ,Narnia,Ostie, tel est notre guetto !


Avé, tu vas bien?


Nous sommes tous les produits

D'une république désargentée dépendante

Des grecs et de Carthage

Qui déstabilisent le marché.

Oui mec!

Et pour sortir de ce carcan

Optimate , Populiste

Il faut savoir dire non, non, non, mec!


Rome ,Narnia, Ostie, c'est pas du gateau

Rome ,Narnia,Ostie, tel est notre ghetto !


Avé, tu vas bien?


Nous sommes issus d'une famille

Qui n'a jamais souffert

Nous sommes issus d'une famille

Qu'on ne peut plus souffrir...


Rome ,Narnia, Ostie, c'est pas du gateau

Rome ,Narnia,Ostie, tel est notre guetto !


Olecranus, tous droits réservés

Divers

Tarantinus et Antonicus, une franche amitié ?

Chacun a pu se rendre compte de la passion des relations entre le vénérable Censeur, 47 ans, et l'Edile Tarantinus, 38 ans. On murmure que la dernière dispute qui a eu lieu n'avait pas vraiment un caractère politique... Et la réconciliation encore moins.

"Bah donc, si on avait dit au gars mézigue que l'maît' il envoyait ses filets des deux côtés du fleuve, j'aurais un peu plus serré le derrière ! D'par ma foi, j'savais ben qu'ses voyages à Naples ça nous l'avait rendu complétement timbré !" nous révèle l'intendant de l'Edile, Monsieur S. Le deuxième intendant de Tarantinus ajoute : "On a souvent vu que notre brave maître s'entourait pas mal d'hommes, mais on avait jamais fait le rapprochement. Je commence à comprendre les moues gênées de Titus Actae lorsqu'il sortait du bureau privé du maître. Et le Questeur Aquila qui parlait à sa femme de ses hémorroides... Que Junon me pardonne !"

Mais laissons le mot de la fin à son beau-père, Quintus V., qui lui aussi à tenu à garder l'anonymat pour éviter à sa respectable famille la honte d'être associé à de telles moeurs. "Je suis déçu. D'habitude c'est moi qui nique"


Les bons comptes du Sénateur Questus

Le Sénateur Questus a courageusement décidé de rendre publique ses comptes. Il est le premier Sénateur a avoir ce courage, le dernier aussi, sans doute.

Il n'en ressort rien de bien palpitant, hormis un très subtil montage financier avec le Sénateur Barbus, retiré depuis quelques années du Sénat, afin de récupérer les terres de ce dernier pour pas un as. Décidément, qu'elles soient d'Illyrie ou d'Italie, au PPTL, on aime beaucoup la terre.

Réclames

Avant, quand je voyais un joueur, je ne ressentais même plus la moindre excitation.

Plus ce petit chatouillis dans la nuque au moment où j'envoyais mon PNJ leur pourrir la vie.

Plus cette montée d'excitation au moment où les armées ennemis allaient piler leurs légats.

J'avais honte.

Depuis j'en ai parlé à mon affranchi-médecin.

Et j'ai pu reprendre une vie normale. J'ai pu à nouveau niquer en toute confiance.


Pour que ce ne soit plus une finalité :

TROUBLES DE L'ERECTION, PARLEZ EN A VOTRE APOTHICAIRE


HJ

Remarques, courrier des lecteurs

Poste ici tes messages. Peine de coeur, difficultée matérielle, âpreté du combat Politique trop épuisante? Mme Irma se fera un plaisir de te répondre en t'éclairant de ses judicieux conseils. N'hésite pas.


Cher courrier des lecteurs

Je m'appelle XXXXXX, je t'écris car il m'arrive des choses trés étranges. Voilà, je joue à RomeJpem depuis presque 2 ans maintenant et je reconnais y prendre beaucoup de plaisir. Toutefois, je crains que ce jeu me fasse avoir des comportements trés étranges.

Tiens, ce matin, je croise mon voisin de palier et je l'ai salué d'un "Avé citoyen" retentissant plutot que de l'habituel "Salut Raymond, ca boume !"......attend, attend, c'est pas tout je me suis une fois retrouvé au boulot enroulé dans le grand rideau de la salle de repos pour m'en faire une toge et debout sur un tabouret j'haranguais mes collègues pour me plaindre que la machine à café était encore en panne.....tu peux imaginer leur réaction.

Souvent, à la boulangerie je demande à la boulangère à combien d'as, elle me fait sa baguette !!! L'autre jour entendant à la télé qu'il fallait payer ses impots, j'ai cherché désespéremment dans les page jaune pour trouver le numéro de la questure afin d'y payer mon tributum !!!! Ah oui, une fois aussi dans mon supermarché du coin, j'ai engueulé comme de poisson pourri le vendeur car il n'avait pas de vin Sabin à me proposer.....

Je ne sais pas trop ce qui m'arrive mais je crois que cela à un lien avec le jeu. Pourrais-tu cher courrier des lecteurs faire paraitre ma lettre afin que je sache si je suis le seul dans ce cas là......franchement, ça m'inquiète !

Avé....euh....salut....enfin...j'sais plus !

Un lecteur anonyme.


* * * * * *


Cher et courageux lecteur anonyme.

Tu n'as pas à t'inquiéter, ce que tu éprouve est parfaitement normal. Tu arrive à une période de ta vie où ton corps change, se transforme, et tes habitudes de vie aussi. Évidemment, c'est un processus très troublant. Mais aussi très normal. Je le répète, tu n'as donc pas à t'inquiéter. Avec le temps, tes sentiments à ce sujet s'éclairciront, et tu sauras finalement au fond de ton coeur quelle voie prendre. Rassure toi, tu est loin d'être le seul dans ce cas. Si tu désire discuter avec des gens partageant ton handicap, je t'invite à te rendre sur ce site: [2]

La Réponse est en toi :-)

En ce qui concerne le vin Sabin... Malheureusement, la Sabine en tant que province n'existe plus de nos jours. Demandez plutôt du vin de la province de Lazio (en gros Latium+Sabine), et plus précisément de la ville de Rieti. Toutefois, en 2500 ans, il va sans dire que la qualité des vins produits dans cette région a pu énormément changer.

Mme Irma


Rome HJ

Ici, un enrichissement HJ des articles EJ est prévu, dans la mesure ou ça ne pose pas de problème avec les joueurs et les MJs. Certains sujets ne seront donc peut-être pas traités ici.